Monrecueilmagiquedepoesie

Je ne sais pas dire,
Ce qui me traverse,
Je ne sais pas le ressentir,
Assez fort,
Assez juste,
Pour l'exprimer,
Le redonner. 

Je me sens parfois inutile,
Comme une flûte abandonnée,
Accepter cet état,
Cela aussi,
C'est de la vie en mouvement. 

Et viendra alors,
Quand on ne l'attend pas,
Le sourire,
Le geste,
La lecture,
La rencontre,
l'Arc en ciel,
Qui à nouveau,
Nous rendra vibrants,
Et surtout vivants.

Qui suis - je ?

Je ne suis qu’une petite plume,
Dans le jardin des mots,
A l'encre de ma plume,
Je glisse sur l'écume,
Transportant le lecteur,
Dans mon jardin,
De " sol "en " si "
Pour qu'il soit bien

Tu es la clarté,
Je suis l'ombre,
Et la clarté que je désire,
N'est pas celle,
Qui nous masque l'ombre,
Mais celle qui se découvre,
Au bout de la nuit .

L’indifférence fait mal,
Quand le regard est vide,
Noyé au loin,
Quand les paroles sont creuses,
Sans aucune réponse,
Par cette indifférence,
La culpabilité apparaît. 

Un sentiment de médiocrité,
D’infériorité naît,
Ces pensées déchirantes,
Brisent un être,
Quel qu’il soit… 

L’indifférence est muette,
Cessez ce regard d’indifférence,
Tendez cette main,
Offrez ce sourire,
Vous n’en serez que plus heureux.

C'est assez facile,
Avec de simples mots,
De refaire le monde,
De le rendre plus beau,
Plus chaud et plus joyeux,
Et d'aller deux par deux,
Faire la ronde,
Autour du monde,
Puisque chacun le sait,
La terre est vraiment ronde. 

Mais s'il s'agit d'offrir,
Un sourire sincère,
A celui-là même,
Qui m'exaspère,
De donner ce que j'aime,
A un qui ne m'est rien,
Qui est simplement,
Comme moi un être humain,
Les mots ne sont plus suffisants.

Ce poème n'est pas fini,
Et cependant s'arrête là,
Pour aujourd'hui.

Dans le grand océan,
Une petite vague,
Est amoureuse du vent. 

Celui-ci lui demande :
Tu veux que je te fasse une tempête ou un ouragan ?
Oh non,
Dit la petite vague,
Je veux juste,
Une petite bise

Parfois, tant de blessures nous assaillent!
Parfois, tant de malaises nous habitent et nous dérangent!
Parfois tu aimes rire, parfois tu es triste.
Parfois tu laisses aller le temps.
Parfois tu te sens prisonnière,
Malgré tout ce que tu as à ta portée pour voler là où tu en sens le besoin.
Parfois, tu es relaxée et parfois très angoissée.
Parfois, tu ris aux larmes et parfois, tu te caches pour pleurer.
Parfois, tu aimes le silence et parfois, ce silence te fait mal car trop de douleur remonte à la surface... Mais ,
Parfois, si tu oses prendre le temps de t'aimer,
Tu verras que ce temps est merveilleux pour corriger les erreurs passées ;
Ajoutes un peu de douceur sur ta route, ainsi, la vie t'apportera le calme tant recherché

Les chemins sont parsemés de pierres,
Les plages de coquillages,
La galaxie d’étoiles,
Notre vie de rencontres. 

Plus ou moins longues,
Passionnantes, intenses, brèves,
Ou sans intérêt, mais rarement inutiles. 

Celui qui deviendra peut-être un jour votre ennemi,
Celui qui sera Judas,
Sur votre route vous enseignera sûrement plus,
Que celui qui vous suivra sans rien dire,
Se ralliant vos idées uniquement pour vous plaire. 

Toutes ces personnes qui se croisent, se recroisent,
Se perdent, se retrouvent,
S’aiment et se haïssent,
Jonchent l’univers de nos existences,
Il ne faut ignorer aucune d’entre elles. 

L’échange est toujours présent,
Tout le monde apportera un petit rien qui restera,
Comme un fil d’or.
Fidèle,
Il nous attache et nous lie pour l’éternité. 
Heureuse de vous retrouver
Pour une excellente semaine d'amitié

La tendresse est plus forte que la dureté,
L'eau est plus forte que le rocher,
L'amour est plus forte que la violence,
Celui qui réclame l'amour des autres,
Mais n'en donne pas lui - même,
Ne peut être aimé. 

Soyez le premier à donner de l'amour,
Et on vous le donneras,
Tant que vous ne donnez pas,
Votre coeur le premier,
Vous serez loin de l'amour.

Trois jolies roses offertes,
Blanches, roses et vertes, 

L'une venant du cœur,
En épongeant mes peines,
A sorti du satin,
Du fond de son écrin,
Pour que je me souvienne. 

L'autre pour l'amitié,
En se faisant plus belle,
A lissé ses dentelles,
Je fus émerveillée. 

La troisième des fleurs,
Comme un gage d'amour,
M'a donné pour toujours,
L'affection d'un cœur.