Tu n’as pas besoin, d’être le plus grand ou le plus rapide, d’être le plus intelligent, ou le plus intrépide. Pas besoin d’être le plus beau, le plus vif ou le meilleur. Tu battras tous les records, si tu parles avec ton Cœur.

Mercredi 19 mars 2014 à 21:42

Je rêve encore,
De dévaler ses pentes,
De mes doigts,
Longer ses fines côtes.
Cela seulement afin de ressentir,
L'effervescente animation,
De son coeur,
Où tous les sentiments s'entremêlent,
Car celui-ci,
Est tel un volcan,
Il est prêt à rugir.

Mardi 4 septembre 2012 à 23:15

Ô mystérieuse amie des cœurs amoureux !!!
Complice des amants interdits,
Confidente des mal aimés.
Ta brise répond à nos incertitudes,

La tendre lumière de ton astre éclaire et rassure,
Les étoiles, diamants scintillants,

Eparpillés dans les profondeurs de ton ciel,
Soutiennent et soignent les blessures d'un cœur solitaire.

Ô Nuit ... Ô Tendre Nuit...
Toi par qui j'atteins le monde de l'amour et du rêve,
Veille sur le sommeil de l'amour de ma vie.

Lune, bel astre solitaire,
Eclaire lui, son chemin dans la pénombre.
Belles et lumineuses étoiles,
Rappelez vous que tout comme vous,
Mon amour pour lui / elle est grand et infini.

Ô Nuit ... Ô Tendre Nuit...
Douce complice,
Veille sur lui / elle,
et surtout dis lui :
Que malgré la distance, ou les frontières,
Je l'aime d'un amour infini.

Lundi 2 juillet 2012 à 22:02

Un rêve, une rencontre, un baiser
Une caresse, un amour.

Puis...

Un jour
Un adieu, un silence,
Un plus jamais.

Que de mal m'a fait ce rêve.

Dimanche 20 mai 2012 à 22:41

Je rêve tous les soirs
Quand les volets sont au noir
De mon bien aimé
Qui vient me caresser la joue
Soupirant des mots doux
Chantant sa joie de m’aimer.

Ses yeux luisent dans la pénombre
S’éclipsent au ciel où les étoiles jouent dans l’ombre.
J’ai reçu un soir
Quand les volets étaient bordés de noir
La caresse de ses douces lèvres
Et mon songe ne fut que fièvre.

La délicatesse de ses mains
Repose un instant sur mon corps
Quand au fil du temps je soupire de mon songe.
J’ai voulu un jour m’envoler avec mon trésor
Mais l’entrevue de mes yeux désireux
Il s’en est retourné à son essor
M’adressant un dernier soupir malheureux

Dimanche 20 mai 2012 à 22:16

 Pour s'aimer bien,
Il existe de tendres liens,
Qui font goûter les moments exquis,
La minute douce où l'on dit :
Je n'aime que toi chéri(e)

Dans mon coeur,
Même trop, même mal,
Je te garderais,
Sans force et déchirure.

Dans mon coeur,
Je relirais mes rêves.
Je te garderais,
Peu importe le temps.

Dans mon coeur,
J'y casserais,
Tous les liens d'amour,
Peu importe le moment.

Dans mon coeur,
J'y garderais,
Tous les moments exquis,
Car toujours je garderais l'espoir.

Dimanche 20 mai 2012 à 22:15

 Trop de monde dans mon lit,
J'ai mal dormi....

Monsieur Cauchemar fut le premier,
A me réveiller, à me secouer...

Madame la Crainte la succédée,
Se bloquant à mes côtés....

Mademoiselle Larme est arrivée,
De toutes ses soeurs accompagnées....

Les frères Ennui se sont approchés,
Et ne m'ont plus quittés....

Puis c'est Dame Pipi,
Qui m'a carrément fait sortir du lit...

Enfin le Petit Crayon,
S'est blotti contre ma main....

Et grâce à toi,
Mon Amie Poésie,
J'ai mis tout le monde hors du lit,
Et je me suis rendormie.....

Samedi 3 mars 2012 à 15:07

Saisir l’instant tel une fleur,
Qu’on insère entre deux feuillets.
Et rien n’existe avant après,
Dans la suite infinie des heures.

Saisir l’instant. S’y réfugier.
Et s’en repaître. En rêver.
À cette épave s’accrocher.
Le mettre à l’éternel présent.

Saisir l’instant. Construire un monde.
Se répéter que lui seul compte,
Et que le reste est complément.
S’en nourrir inlassablement.

Saisir l’instant tel un bouquet
Et de sa fraîcheur s’imprégner.
Et de ses couleurs se gaver.
Ah ! combien riche alors j’étais !

Saisir l’instant à peine né
Et le bercer comme un enfant.
A quel moment ai-je cessé ?
Pourquoi ne puis-je… ?
Saisir l'instant.

Dimanche 5 février 2012 à 14:25

J'imagine un monde
Aux mille éclats de rire
Où la peine serait un lointain souvenir
Où la paix règnerait en maître
Où l'amour ferait vibrer chaque être 

Je rêve un monde
Où les cœurs battraient à l'unisson
Où le soleil brillerait en toutes saisons
Où la maladie n'existerait plus
Où le respect redeviendrait une vertu

Samedi 4 février 2012 à 23:43

Le train de la vie...
 

Dédiés à tous ceux et celles,
Qui feront partit de mon train,
Je vous souhaite :
Un bon voyage.  

La vie est comme,
Un voyage dans un train,
On monte et on descend.
Il y a de nombreux accidents,
Et à certains arrêts,
Il y a des surprises. 

Quand on monte dans le train,
Les premières personnes,
Que l'on rencontrent,
Sont nos parents.

Nous croyons qu'ils resteront,
Toujours avec nous,
Malheureusement,
La vie est tout autre.

Mais d'autres personnes,
Importantes pour nous,
Montent aussi dans ce train. 

Ce sont nos frères... Nos soeurs...
Ou bien encore nos ami(e)s...
Ceux sont en résumé,
Toutes ses merveilleuses personnes,
Que nous aimons.

Quelques unes considèrent le voyage,
Comme une petite promenade,
D'autres ne trouvent,
Que de la tristesse,
Pendant le trajet. 

Certaines seront toujours présentes et prêtes,
A aider ceux et celles qui en ont besoin,
Ses personnes resteront fidèles,
Malgré la distance,
Ou malgré ce qui pourrait arriver.

D'autres laisseront pour toujours,
Une profonde nostalgie,
Quand elles descendent.
Naturellement, Personne,
Ne peux nous empêcher,
De les chercher,
Partout dans le train.

Beaucoup de voyageurs,
Montent et descendent,
Tout de suite,
Nous avons juste le temps,
De nous croiser. 

Parfois,
Nous sommes surpris,
Que des passagers,
Que nous aimons,
S'assoient dans un autre wagon,
Et que pendant ce temps,
Ils nous laisse voyager seul.

Malheureusement,
Nous ne pouvons pas toujours,
Nous assoir à côté d'eux,
Car la place est déjà prise,
Ce n'est pas grave,

Le voyage est comme ça.
Pleins de rêves,
De surprise et d'espoir,
Pleins de défis... D'adieux...
Mais sans retour. 

Rappelons nous,
Que à chaque moment du voyage,
Un de nos compagnons,
Peut vaciller et tomber,
Ou avoir besoin,
Tout simplement,
De notre compréhension.

Car nous aussi,
Nous pouvons vaciller,
Et nous seront heureux de voir,
Qu'il y aura toujours quelqu'un,
Pour nous comprendre. 

Le grand mystère du voyage,
Et que nous ne savons pas,
Quand on descendra,
Pour toujours du train.

Nous ne savons pas non plus,
Quand nos compagnons,
En feront de même.
Ou bien même,
Quand celui qui est à côté de nous
Descendra à son tour. 

Moi je pense que je serai triste,
De descendre de ce train,
J'en suis sure,
Et vous qu'en pensez-vous ? 

La séparation,
De tous ceux que j'ai aimés,
Sera très douloureuse.

Mais je suis sûre,
Qu'un jour ou l'autre,
J'arriverais à la gare centrale,
Et les reverrai tous arriver,
Avec un bagage,
Qu'ils n'avaient pas,
En montant dans le train.

Par contre,
Je serais heureuse,
D'avoir contribuer,
A augmenter et à enrichir les leurs. 

Faisons tout notre possible,
Pour faire un bon voyage,
Et essayons de laisser,
Un bon souvenir de nous,
Au moment où nous descendront,
De ce fabuleux train.

Dimanche 29 janvier 2012 à 22:53

L'hiver, nous irons dans un petit wagon rose,
Avec des coussins bleus.
Nous seront bien.
Si bien ....
Car un nid de baisers fous repose,
Dans chaque coin moelleux. 

Tu fermeras l'oeil,
Pour ne point voir par la glace,
Ces monstruosités hargneuses,
De cette populace vorace,
Qui tel des loups,
Se confondent en masse. 

Puis tu sentira,
Sur ta joue égratignée,
Un petit baiser,
Qui comme une folle araignée,
Te courra dans le cou. 

Et tu me dira :
"Cherche", en inclinant la tête,
Et nous prendront le temps,
De trouver cette petite bête,
Qui voyage beaucoup. 

Heureux nous sauront,
Car unis nous resterons,
Dans ce moment,
Rien qu'à nous,
Mais ce n'est qu'un rêve,
Un rêve à l'hiver.

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