La Femme porte quelquefois,
La culotte dans son menage,
Le fait est constaté, je crois,
Dans les liens du mariage.
Mais quand elle va pédalant,
La chose me semble plus grave,
Et je me dis en la voyant :
Frou - Frou !!!!!
Par son jupon, la femme,
Frou - Frou !!!!!
De l'homme troubla l'âme
Certainement, la femme,
Séduit partout,
Par son gentil frou -frou.
La femme ayant l'air d'un garçon,
Ne fut jamais très attrayante,
C'est le frou-frou de son jupon,
Qui la rend surtout excitante !!!
Lorsque l'homme entend ce frou - frou,
C'est étonnant tout ce qu'il ose,
Soudain il voit la vie en rose,
Il s'electrise et devient fou !!!!
En culotte me direz-vous,
On est bien mieux a bycyclette,
Mais moi je dis que sans frou - frou,
Une femme n'est pas complete.
Lorsqu'on la vois se retrousser,
Son cotillon nous encorcelle,
Son frou - frou est comme un bruit d'aile
Qui passe et vient nous caresser !!!!
Tu n’as pas besoin, d’être le plus grand ou le plus rapide, d’être le plus intelligent, ou le plus intrépide. Pas besoin d’être le plus beau, le plus vif ou le meilleur. Tu battras tous les records, si tu parles avec ton Cœur.
Samedi 26 juin 2010 à 16:35
Vendredi 18 juin 2010 à 16:33
Vous aimez les beaux vers,
Vous adorez les fleurs,
Toute la femme est là.
C'est une âme choisie,
Qui vit d'amour,
De chants ailés,
De poésie,
De parfums enivrants,
Et de vives couleurs.
Fleur elle même,
Elle est l'amante de nos coeurs,
Car sans elle,
Il n'est pas de charme.
Dans la vie rose,
Elle aspire de sa narine ravie,
Tes roses qui pour elle,
Sont des senteurs.
L'encens subtil flottant autour des azalées,
Comme un baume d'amour qui se glisse dans nos coeurs,
Et souverainement, y donne au vainqueur.
L'éclat luxuriant des fleurs auréolées,
Captivent vos regards,
Miroites dans vos yeux,
Femme & Fleur,
C'est le couple à former.
Elle aspire
Samedi 5 juin 2010 à 16:31
O douce rêverie, illusion si chère,
Toi qui me fis revoir l'image que j'aimais,
Berce moi dans ton sein,
Le bonheur que j'espère,
N'étant pas ici-bàs ...
Je ne l'attends jamais.
Dans des lieux inconnus,
En Colchide magique,
Nous étions seul à seul,
Loin du monde réel,
Ta voix me sursurrait une aimable musique,
Et je pensais heureux :
C'est ici qu'est le ciel.
Je buvais le nectar de tes lèvres vermeilles,
Tes paroles d'amour,
Ainsi que tes baisers,
Je carressais ta gorge,
Une pure merveille,
Je sentas enivrés mes sens inapaisés.
Nous laissons déferler,
L'eau bourbeuse qui roule,
En ses flancs vagabonds,
Les insensés discours,
Oh ! Que nous importait cette vulgaire foule ! ...
Nous voguions sur le Tendre aux sinieux contours,
Hélas ! Cruel réveil ... Sombre banalité ! ...
Le chimérique espoir n'était qu'un vil mensonge,
Mes yeux s'étaient ouverts à la Réalité,
Et l'ange aux cheveux d'or, fuyait avec le songe.
O douce rêverie, illusion si chère,
Toi qui me fis revoir l'image que j'aimais,
Berce moi dans ton sein,
Le bonheur que j'espère,
N'étant pas ici bas ...
Je ne l'attendais jamais.