Tu n’as pas besoin, d’être le plus grand ou le plus rapide, d’être le plus intelligent, ou le plus intrépide. Pas besoin d’être le plus beau, le plus vif ou le meilleur. Tu battras tous les records, si tu parles avec ton Cœur.

Mardi 25 mai 2010 à 16:30

J'emporte en te quittant, tout ce qui fut ma vie,
Le parfum de ton corps et l'écho de ta voix,
Absente, je t'entend, lointaine je te vois !
C'est toute la beauté, hélas qui est ravie !
Jalousement je garde en mon âme asservie,
Le souvenir sacré du bonheur de nos soirs,
Qui ravive ma fièvre avec un fol espoir,
Par avance et te rends toute à mon envie.
Je bois, frissonnant la coupe de tes baisers,
Tous mes désirs en touffes, jamais inapaisés,
S'élevant douloureux jusqu'au seuil de ta bouche.
Entre tes lèvres luit l'ivoire de tes dents,
Et grisé par le feu de mes lèvres ardents,
Pamé, je crois sentir ta lèvre qui me touche

Jeudi 20 mai 2010 à 16:28

Il y a de celà longtemps,
Je t'avais perdue,
Ma bien aimée,
Et tout en moi,
N'était qu'amertume.
Et puis dans le soir,
D'un merveilleux printemps,
J'ai senti le parfum,
De la nouvelle,
Qui envoute les fleurs,
Et fait chanter la terre.
Et dans la tiédeur de l'Avril,
Toujours nouveau,
Je t'ai retrouvée avec ta chair,
Aussi féconde que la terre d'août,
Aussi odorante que l'air de la nuit,
Et nous ne voulions pas savoir,
Si le printemps devait finir,
Nous étions maîtres du temps.

Samedi 15 mai 2010 à 16:24

Vous qui faîtes la Paresseuse,
Au milieu de votre lit,
Avez-vous eu, blonde amoureuse,
Les yeux ouverts toute la nuit ?
Dans la chambre silencieuse,
Vous avez dû bailler d'ennui,
Allons ne soyez pas menteuse,
Qu'avez-vous donc fait cette nuit ?
Paresseuse, Paresseuse,
Oh ! La vilaine Paresseuse.
Vous qui faîtes la Paresseuse,
Avez vous rêvée tendrement,
Que d'une voix voluptueuse,
Vous parlez du Prince Charmant ?
Combien vous devez être heureuse,
Tant près du coeur de votre ami,
Allons ne soyez pas menteuse
L'avez-vous rêvée cette nuit ?
Paresseuse, Paresseuse,
Oh ! La vilaine Paresseuse.
Vous qui faîtes la Paresseuse,
Un oeil de velours me sourit,
Vous n'êtes pas grande dormeuse,
Et votre oreille aime le bruit.
D'ailleurs,
Vous êtes bien trop joueuse,
Pour rester seule là,
Après minuit,
Allons ne soyez pas menteuse.
Non, non, vous n'avez pas dormi,
Paresseuse, Paressuse,
Oh ! la vilaine Paresseuse.
Vous qui faîtes la Paresseuse,
C'est mon petit doigt qui me l'a dit,
Ce matin, à l'aube rieuse,
Un homme de chez vous s'enfuit.
Et d'une démarche joyeuse,
En fredonnant,
Il est partit,
Allons ne soyez pas menteuse,
Vous avez aimé cette nuit.
Paresseuse, Paresseuse,
Et celà vous rend Paresseuse.

Lundi 10 mai 2010 à 16:16

Sous votre costume, madame,
Bat un coeur, un coeur d'amante,
Aimant, à vous rendre passionnée....
Quand nous nos sommes rencontrés.
Mais depuis quelques temps,
Ce coeur s'est fané,
Comme une belle fleur,
Qui a quitté la vie,
A peine éclose,
Ainsi je vous l'assure,
L'a fait le vôtre.
J'ai beaucoup pleuré quand j'ai su,
Qu'avec un autre on vous avez vu,
Souriante, percée sur son bras,
En vous dirigeant ou nous allions là-bas.
Pourquoi m'avoir donner de doux baisers,
Quand vos aviez jurer de m'aimer,
Pourquoi m'avoir profané ce lieu solitaire,
Qui fut le temoin de nos ivresses.
Adieu, femme mensongère, Adieu......
Qui pour vous punir,
Il se trouve qu'il existe un Dieu,
Qui venge votre lache abandon,
Vous oblige à implorer mon pardon.
Mais sachez le bien,
Je serai impitoyable,
Qui m'a trahie,
Je haïe comme Hériodiate,
Pour vous, ans pitié,
Je souhaite ardemment,
Ne plus pleurer

Dimanche 9 mai 2010 à 16:10








 




 




Dimanche 9 mai 2010 à 16:00

 







 

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