Sous votre costume, madame,
Bat un coeur, un coeur d'amante,
Aimant, à vous rendre passionnée....
Quand nous nos sommes rencontrés.
Mais depuis quelques temps,
Ce coeur s'est fané,
Comme une belle fleur,
Qui a quitté la vie,
A peine éclose,
Ainsi je vous l'assure,
L'a fait le vôtre.
J'ai beaucoup pleuré quand j'ai su,
Qu'avec un autre on vous avez vu,
Souriante, percée sur son bras,
En vous dirigeant ou nous allions là-bas.
Pourquoi m'avoir donner de doux baisers,
Quand vos aviez jurer de m'aimer,
Pourquoi m'avoir profané ce lieu solitaire,
Qui fut le temoin de nos ivresses.
Adieu, femme mensongère, Adieu......
Qui pour vous punir,
Il se trouve qu'il existe un Dieu,
Qui venge votre lache abandon,
Vous oblige à implorer mon pardon.
Mais sachez le bien,
Je serai impitoyable,
Qui m'a trahie,
Je haïe comme Hériodiate,
Pour vous, ans pitié,
Je souhaite ardemment,
Ne plus pleurer
parfois des trahisons qui courent
ou bien de merveilleux duos d'amour