Monrecueilmagiquedepoesie

Je me sent mal....
Aujourd'hui c'est mon anniversaire,
Et nous sommes en plein après midi.

Tout le monde à oublié.
Comment se fait-il qu'ils aient oubliés ?
Ne pensent-ils pas à moi ?
Bon, il est vrai que j'ai un très mauvais caractère.
Mais est ce une raison pour oublié ?

Je défoule ma rage...
En donnant des coups dans un pilier délabré...
Oui je suis énervé et alors ?
Apparemment tout le monde s'en moque.

Est ce vraiment des amis ?
Ou bien ais-je rêvée ?
Même l'autre avec sa gentillesse m'a oublié.
C'est quoi ces gens ?
Moi je ne les oublis pas.
Que c'est ingrat...

Vie injuste, faux amis, bandes de naze, bande d'idiots.
Ha ha, bas oui j'ai les nerfs et alors ?
C'est normal, non ?
Le font-ils exprès ?
Ce n'est pas possible,
Je dois rêver.
Je ne suis peut-être pas indispensable.

Les nerfs à vif..
Je monte les escaliers menant à mon sanctuaire sacré.
Je traverse toutes les pièces d'un pas rageur,

Bizarrement je ne croise personne.
Où sont-ils tous passés ?
Je commence à vraiment me sentir seul(e)....
C'est quand même bizarre de ne croiser personne.

Je prend donc la décision de partir à leur recherche
Arrivé dehors,
Je me retourne et regarde la maison d'en face.

Aucunes traces du jardinier,
Même pas dans son jardin,
Où d'habitude il s'occupe de ses fleurs.

M'éviteraient-ils tous ?
Tampis,
je repart vers mon chez-moi.

Avec un soupir je m'arrête devant la porte,
Me retournant une dernière fois vers l'extérieur.
Pourquoi être aussi stressé ?
Après tout : Je n'ai rien à me reprocher.

Prenant quand même mon courage à deux mains :
J'ouvre la porte.
Et la :
Prise de surprise par des cris qui s'élevaient de partout :
Disant "Joyeux anniversaire",

Je hurle en sursautant car je ne mit attendais pas du tout.
Quand je fus à peu près calmée,
Reprenant mon souffle,
Je regarde la salle en détail.
Je vis tout mes amis,

Ému(e), je regarde la banderole,
Et là je ne pus retenir mes larmes,
Qui coulèrent le long de mes joues.

Je suis heureu(x)se mes amis ne m'avaient pas oubliés !!!!
Ils me faisaient juste une surprise, une agréable surprise.

La vie est une danse,
Où l’on s’invite d’un regard.
La vie,
C'est comme le tango :
On en connaît les pas,
Mais rien n’est prévu à l’avance...
Car l'on voit :
Les partenaires marchant dans une direction,
Qui change à chaque instant.
La vie est une tromperie,
Où celui qui n’en connaît pas les codes :
Est blessé ou pire encore.
La vie est comme la vengeance,
Le temps la rend plus belle et plus terrible.
Malgré tout même si :
La vie est une tromperie,
Celle ci vaut le coup d'être vécue,
Alors profitez-en !!!

Les fleurs ont un langage
Qui parle aux gens sages,
Pour leur dire en silence
Tout l'amour que l'on pense

Salut tu va bien ?
Pourquoi t'es si gentil(le) avec moi ?
Je le suis pas d'habitude ?
C'était il y a longtemps...
Aller dis moi pourquoi ?
Parce qu'il est temps de rallumer les étoiles !!!
Quelles étoiles ?
Celles qui brillaient dans tes yeux,
Quand tu me regardais.
 

Les hommes sont des petits garçons devenus adultes.
Ils ont les mêmes peurs que les femmes,
Les mêmes doutes,
Peut être plus encore...

On leur demande tellement.
Se battre pour leur honneur,
Leur pays, leur entreprise...

Gravir des montagnes,
Traverser des mers,
Conquérir des déserts,
Négocier,
Argumenter,
Parler plus fort…

Ils sont parfois capables :
De tout ça parce que la société et leur éducation,
Les ont préparés... Conditionnés...

Mais face à une femme, ils ne savent plus !!!!
Certains se retranchent derrières des stéréotypes,
Miment la séduction, l’amour, voire la tendresse.

Mais la plupart restent des enfants,
Enfermés dans des corps d’adultes,
Et face au seul véritable enjeu,
Celui de l’amour, ils ne savent pas quoi dire ni quoi faire.

Parce qu’ils ont compris :
Que l’amour peut les mettre à nu,
Révéler leurs faiblesses et les laisser seuls,
Gamins apeurés,
Au milieu de la foule.

Un mot, un seul, pour tout rassembler,
Pour tout résumer.
Un mot qui n'en finit pas d'être prononcé,
Qui ne finira jamais de construire.

Voici ce mot qui brûle les lèvres :
Il monte du fond du cœur,
Il éclate comme un bonheur.

Par lui, toute la création s'est mise à chanter,
Pour transmettre d'âge en âge le sens de la vie,
La véritable force qui fait grandir l'humanité.

Un mot ! Prononcez-le autour de vous,
Faites-le grandir au fond de vous,
Vivez-le les uns avec les autres.

Soyez féconds de mille mains tendues,
Soyez joyeux d'un sourire qui efface les rides,
Soyez lumineux de l'esprit qui rappelle à la vie.

Ayez en vous le mouvement vers l'autre,
Ayez pour vous la force des déracinements,
Ayez au-delà de vous la seule attitude qui vous sauvera...

Jetez vos vieilles habitudes à la brocante des bons sentiments,
Rejetez les fantômes de vos trop vieilles coutumes,
Abandonnez toutes vos fausses pudeurs pour vivre l'esprit de vérité.

Voici ce mot : Il est trop simple, pour qu'on le vive seul.
Il est trop pur pour que nous puissions,
Nous y accrocher de notre propre force.
Il est trop doux pour la dureté de nos cœurs,

Pour la complexité de nos tendresses.
Alors courage !
Par lui, le monde fut vaincu.
Il suffit de ce précepte,
d'un simple mot :
Et ce terme c'est : AIMER.

Dans ce monde égoïste,
Personnel et implacable,
Il est important,
Pour les personnes qui savent le vivre et le partager,
Que l’amitié est un formidable élan de solidarité,
Et de partage d’idéal.

Car la différence entre l’amour et l’argent,
C’est que si on partage son argent,
Il diminue....
Mais si on partage son amour,
Il augmente....

Les larmes sont une sorte d'oiseaux,
Qui habitent le cœur des êtres.
Quelquefois,
Elles apparaissent en bande,
Souvent ce n'est qu'une seule,
Qui prend son envolée,
Pour se poser sur le bord d'une paupière.

En s'envolant de nous,
Ces oiseaux-larmes entraînent :
Comme des peines sous leurs ailes,
La douleur qui rend le coeur,
Si lourd et si dur à porter.

Mais pour se rendre jusqu'à nos yeux,
D'où ils s'échappent,
Ils doivent lutter contre les vents de l'indifférence,
Et contre ceux de l'orgueil :
Ceux-là qui quelquefois,
Attrapent les oiseaux dans un grand filet,
Au centre de la gorge.

Ne capturons jamais d'oiseaux-larmes,
Car ce sont des messages du monde,
Ceux sont ceux de notre cœur,
Ils ont quelque chose à dire,
A montrer aux autres.

Les oiseaux-larmes chantent la beauté de notre être.
Lorsqu'une larme jaillit des yeux d'un être,
Pour se laisser glisser sur une joue,
Cueillez-la d'un baiser,
Elle donnera à vos lèvres des paroles d'amour.

Les gens sont souvent déraisonnables,
Illogiques et centrés sur eux-mêmes,
Pardonne les quand même...

Si tu es gentil(le),
Les gens peuvent t'accuser d'être égoïste,
Et d'avoir des arrières pensées,
Sois gentil(le) quand même...

Si tu réussis,
Tu trouveras des faux amis
Et des vrais ennemis,
Réussis quand même...

Si tu es honnête et franc(he),
Il se peut que les gens abusent de toi,
Sois honnête et franc(he) quand même...

Ce que tu as mis des années à construire,
Quelqu'un pourrait le détruire en une nuit,
Construis quand même...

Si tu trouves la sérénité et la joie,
Ils pourraient être jaloux,
Sois heureux(se) quand même...

Le bien que tu fais aujourd'hui,
Les gens l'auront souvent oublié demain,
Fais le bien quand même...

Donne au monde le meilleur que tu as,
Et il se pourrait que cela ne soit jamais assez,
Donne au monde le meilleur que tu as quand même...

Tu vois, en faisant une analyse finale,
C'est une histoire entre Toi et Dieu,
Cela n'a jamais été entre Eux et Toi.

La vie s’apparente à un jardin.
Où Les feuilles flétrissent,
Et les fleurs se fanent naturellement.

C’est seulement si nous éliminons les déchets,
Que nous profitons pleinement,
De la beauté des nouvelles feuilles et fleurs.

De même,
Nous devons éliminer de notre esprit :
Les expériences mauvaises, sombres du passé.

Car vivre, c’est se souvenir d’oublier.
Par conséquent,
Pardonne ce qui doit être pardonné,
Et oublie ce qui doit être oublié.

Embrasse la vie avec une vigueur renouvelée.
Car nous devrions pouvoir accueillir
Et cela à chaque instant de la vie,
Par le biais d'un regard neuf,
La nouvelle vie qui doit éclore.