Tu n’as pas besoin, d’être le plus grand ou le plus rapide, d’être le plus intelligent, ou le plus intrépide. Pas besoin d’être le plus beau, le plus vif ou le meilleur. Tu battras tous les records, si tu parles avec ton Cœur.

Vendredi 26 novembre 2010 à 17:02

L'amour est un grand mot,
L'amour est le mot le plus beau,
Pourtant l'amour me semble si loin,
Si inaccessible, que je me demande si un jour je le trouverais.
Cupidon m'aurai t'il oublié,
Ou bien s'amuse t-il à me chercher,
Vais-je un jour rencontrer le grand amour,
Telle est la grande question,
Que chacun se pose un jour.
J'ai l'impression que l'amour me fuit,
Ou est-ce moi qui prend la fuite,
Ai-je peur de l'engagement,
Ou de l'amour lui même.
L'amour peut faire souffrir,
L'amour peut faire mourir,
Mais vivre sans amour,
Signifie ne plus vivre du tout.
Comment trouver l'amour,
Dans un monde cruel et sans retour,
Doit-on se lancer,
Ou bien reculer.
L'amour est beau,
L'amour est grand,
Mais sait-on vraiment,
Comment le conserver.

Mercredi 17 novembre 2010 à 17:00

Un être pleure,

Un être pleure. Un autre reste sans cœur.
Le Sud meurt. Le Nord remplit d'or ses demeures.
Moi, je consomme pendant que d'autres se consument
Je suis un con en somme car l'autre sa souffrance seul assume.

Ma vie comble mes envies. Sa seule envie rester en vie.
J'écris, deale de la poésie. Lui pousse un cri, survit.
Ce monde ment, se ment. Alors, que celui qui ment, songe !
Que puis-je faire, mon frère, contre cet enfer qui te ronge ?

Mon encre, pour toi, dessine des mots.
Une ancre pour que se dessine une vie sans maux.
Mélange d'espoir et de doutes
Que les anges montrent d'autres routes.

Alors les cœurs s'ouvriront.
Les êtres jamais plus souffriront.
Ethiopie, Somalie et d'autres encore.
L'utopie de la poésie vous remplit d'or.

Jeudi 11 novembre 2010 à 16:59

Belle que j'aime et si rieuse,
A t-elle gardée sa gaité
De l'avenir plus soucieuse,
M'a t-elle une fois regrettée ?

Rapide comme l'hirondelle,
Cette nuit je voudrais aller,
Aller lui dire que loin d'elle
Mon coeur, mon coeur ne peut se consoler.

Envole toi vers cette femme,
Brise des nuits, Brise de nuits,
Avec mon coeur, avec mon âme,
Va je te suis, je te suis.

A sa fenêtre,
Elle qui si rieuse,
A t-elle versée quelques pleurs,
Dans sa chevelure soyeuse,
Où je respirais souvent un doux parfum de fleurs.

Sur ses lèvres, je lui ai déposé un baiser,
Si tu la vois seule et pensive,
S'égarer à l'ombre des nuits,
Ou courir le long de la rive,
Dis lui que malgré les années,
Son nom ne s'est jamais effacé
Dans mon coeur se sont fanés
Seules les roses du passé

Vendredi 5 novembre 2010 à 16:57

En ma vie triste et solitaire,
Toi seule me rends joyeux,
Mais j'ai du fuïr la terre,
Et longtemps je ferme les yeux.

Alors je te vois apparaître,
Dans le miroir du souvenir,
En un songe, beau peut être,
Qui ne devrait pas finir.

Je revois ta frimousse, mon amant,
Sous tes beaux cheveux dorés,
Avec les beaux yeux d'un ange,
Que j'ai si souvent baisés.

Je revois ton corps nu,
D'où la chemise à glissée,
Je revois ta gorge menue,
Que ne pali même pas le corset.

Je revois ton spacieux sourire,
Je me souviens de ton corps parfumé,
Qu'emporte l'air que tu respire,
Et mes suis grisée de tes baisers.

Je t'ai pourtant quitté ma chérie,
Mais ce n'est qu'un rêve joyeux,
Et je me retourne triste et solitaire.

<< Page précédente | 1 | Page suivante >>

Créer un podcast