Tu n’as pas besoin, d’être le plus grand ou le plus rapide, d’être le plus intelligent, ou le plus intrépide. Pas besoin d’être le plus beau, le plus vif ou le meilleur. Tu battras tous les records, si tu parles avec ton Cœur.

Lundi 29 septembre 2014 à 19:09

Larmes de sang, perles rougeâtres qui ornent mon visage,
Vous qui coulaient le long de mes joues, emportez ma peine.
Mains sanglantes, autrefois pâle, brisez ma cage,
Et, dans un dernier élan de violence, prenez ma haine.

Mon coeur éprit se déchire tel une feuille de papier,
Et je sens poindre en moi les dernières secondes de joie,
Joies qui se meurent à présent....

Mon corps lui-même en est brisé,
Mon souffle se tarit alors...
Et le silence emprisonne ma voix.
Cette étreinte mortelle qui m'enserre la gorge,
Et fais couler mes larmes, Semblent s'être attachée à mon âme et m'empêche d'avancer.

Son étau se resserre peu à peu, je vais surement rendre les armes,
Puis je finirai par lâcher prise et me laisser suffoquer.
Est-ce cela qu'on nomme "AMITIE" ?
Je l'ignore, je ne crois pas...

La souffrance est si importante que plus rien ne me touche,
Hormis ce martèlement sur mon coeur, qui ne cesse pas,
Et ce goût acre du souvenir où tu me confiais tout.

Mon coeur saigne comme au premier jour de ma naissance,
Je m'enlise dans cette souffrance plus qu'improbable,
Et me laisse dériver sur les eaux de l'impatience,

Je souhaiterais mourir rapidement près d"un érable.
A toi, qui fit poindre l'amitié en moi et qui maintenant me fuï,
Je te Hais... Car à présent, mon âme s'est asséchée de ton eau,
Et je ressens un dégoût incroyable pour mon possible avenir,
Car celui-ci se fera sans Toi et sera bien moins beau.

Lundi 29 septembre 2014 à 19:06

Mon cœur saigne de ton absence
Mes yeux pleurent de ton silence
Ma voix s’étouffe en sanglot
Sans ton souffle sur ma peau

Je donnerais tout ce que j’ai
Pour savoir ce que tu fais
Je me meurs quand tu es loin
Sans toi je ne suis plus rien

Et ce brasier qui me ronge
De ces flammes qui ne songent
Qu’à lécher langoureusement
Chaque goutte de mon sang.

Lundi 29 septembre 2014 à 19:04

Ne jamais dire jamais.
J'ai beau me répéter cette phrase en boucle,
Je sais désormais que tu reviendras plus .

J'aimerai tellement remonter le temps,
Revenir a l'époque où on rigolait ensemble, où tu m'appréciais,
Ou du moins, Je le pensais ...

Regarde maintenant où on en n'est,
Tu ne m'adresses plus un seul mot,
Plus un seul sourire ...

Je ne pense pas que tu te rends compte du mal que tu me fais,
Je te voulais a mes cotés,
Dans les bons comme les mauvais moments...
Je rêve encore d'une amitié durable avec toi .
Cette présence qui me faisait tant de bien a disparu

Je me suis rendu compte a quel point:
Je tenais a toi lorsque je t'ai perdu ..
Perdu définitivement ?
Je pense maintenant que oui ,

Tu es sorti de ma vie,
Mais pas de mon coeur.
Je serais toujours là pour toi si tu le souhaite,
Malgré tout ce que tu m'a fais souffrir.

Ouvrons les yeux,
Des gens a qui tu fais du mal
Et qui sont près a t'accueillir les bras ouverts ensuite,
Il y en a pas des tonnes..
A par ceux qui t'aiment vraiment ..
J'attends...
Mais le temps passe et tu ne reviendra surement pas.
Nos chemins se séparent donc là...
Mais les souvenirs nous unirons à jamais .

Lundi 29 septembre 2014 à 19:01

Pourquoi avoir lié, cette profonde amitié,
Pour ensuite la briser ?
Pourquoi être devenues, inséparables,
Pour ensuite se séparer ?
Pourquoi avoir établi, des liens,
Pour ensuite les couper ?
Pourquoi s’être soutenue,
Pour ensuite se laisser tomber ?
Pourquoi avoir effacer, des larmes,
Pour ensuite faire pleurer ?
Pourquoi s’être dit, tant de choses,
Pour ensuite ne plus se parler ?
Pourquoi avoir été complices,
Pour ensuite ne plus se regarder ?
Pourquoi s’être dites « sœur de coeur »,
Pour ensuite casser cette fraternité ?
Pourquoi dire pourquoi,
En se rappelant tout ces moments
Passés à tes côtés ?
Nos échanges, nos secrets:
Tout ça c’est du passé
Entre nous, un mur c’est construit ,
Notre amitié est finie.

La perte d'un ami est la plus grande de toutes les pertes
Mais ne vas pas en public censurer la conduite, de cette personne qui longtemps fut un(e) de tes ami(e)s.
Bien qu'il ait changé dans la suite, pense toujours aux nœuds qui vous avaient unis....

Lundi 29 septembre 2014 à 18:58

La douceur c'est l'écrin,
Dans lequel vous offrez vos sentiments.
Elle est la musique de l'amour.
Elle vous permet de saisir et de donner,
A l'autre l'air de votre être,
En quelque sorte de danser sur les étoiles.
Elle est la fourrure de la vie
Lorsque l'hiver frappe à vos portes.
Elle est un partage tout simplement.

Lundi 29 septembre 2014 à 18:57

On l'appelait le jardinier des relations humaines...

Ses outils se nomment
* Oser se dire en parlant de soi
* Oser donner sans réserve
* Avoir le courage de dire non
* Oser recevoir sans se transformer en poubelle
* Oser demander sans exiger

Sa passion :
Est d'inviter les hommes et les femmes de ce monde :
* A mieux se relier à soi et aux autres
* A respecter ses besoins relationnels profonds
* D'agir en se respectant et en restant fidèle à ses choix de vie.

Alors le jardin de vie qui est en chacun ensoleillé de tant d'offrandes resplendira de tous ses fruits et de toutes ses fleurs.

Lundi 29 septembre 2014 à 18:55

Il y a les mots que l'on dit,
Ceux qui sont chuchotés.
Il y a ceux que l'on tait,
De peur de faire souffrir.

Il y a les mots que l'on aime dire,
Pour rendre le sourire.
Ceux que l'on a envie de chanter,
Plutôt que de les dire.

Il y a aussi les mots que l'on laisse courir,
Sur une feuille de papier,
Vous savez, ses mots tout doux,
Qui font toujours rêver.

Il y a les mots qui servent à raconter,
De belles histoires aux petits,
Ceux dit dans le passé,
Qu'on voudrait voir oublier.

Il a aussi les mots mots que l'on offre aux amis,
Pour leur souhaiter :
Une Excellente Journée

Lundi 29 septembre 2014 à 18:53

La promesse d'un jour nouveau,
Pointe à l'Horizon.
Oserai-je lui donner enfin....
Une autre direction.

Le gouvernail de ma vie,
Oscille entre mes mains,
Qu'elle impulsion lui donnerai-je ce matin.

Je tangue et ballotte au gré de courants contraires...
Affrontant les remous,
Je repousse les corsaires assoiffés d'argents, de temps,
Car ce ne sont que des misérables sangsues...
M'envoyant aux galères où je trime et je sue.

La chasse au trésor,
N'est plus de mon âge...
Cap sur d'autres contrées et paysages,
La grande voile claque au vent nouveau,
A moi la belle vie,
Hisse et Ho !!! Matelot !!!

Lundi 29 septembre 2014 à 18:46

Quand le désespoir s'installe au plus profond de ton coeur.
Que la peine menace de te détruire,
Et qu'une violente colère,
Capable de provoquer de violents maux de tête s'empare de toi.
Alors, les ténèbres naissent dans les profondeurs de ta colère.
Ses ténèbres et cette fureur, Forment à elles seules,
Le véritable pouvoir destructeur.

Mais un simple faisceau de lumière,
Reste un faisceau de lumière...
Un simple faisceau est capable d'éclairer le chemin.

Et si la lumière est très faible,
Elle brille d'autant plus fort,
Quand elle est dans les ténèbres.
Alors, quoi qu'il arrive,
Ne vous laisser pas envahir par les ténèbres,
Car ce faisceau de lumière,
C'est le chemin de nôtre espoir.

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