Larmes de sang, perles rougeâtres qui ornent mon visage,
Vous qui coulaient le long de mes joues, emportez ma peine.
Mains sanglantes, autrefois pâle, brisez ma cage,
Et, dans un dernier élan de violence, prenez ma haine.
Mon coeur éprit se déchire tel une feuille de papier,
Et je sens poindre en moi les dernières secondes de joie,
Joies qui se meurent à présent....
Mon corps lui-même en est brisé,
Mon souffle se tarit alors...
Et le silence emprisonne ma voix.
Cette étreinte mortelle qui m'enserre la gorge,
Et fais couler mes larmes, Semblent s'être attachée à mon âme et m'empêche d'avancer.
Son étau se resserre peu à peu, je vais surement rendre les armes,
Puis je finirai par lâcher prise et me laisser suffoquer.
Est-ce cela qu'on nomme "AMITIE" ?
Je l'ignore, je ne crois pas...
La souffrance est si importante que plus rien ne me touche,
Hormis ce martèlement sur mon coeur, qui ne cesse pas,
Et ce goût acre du souvenir où tu me confiais tout.
Mon coeur saigne comme au premier jour de ma naissance,
Je m'enlise dans cette souffrance plus qu'improbable,
Et me laisse dériver sur les eaux de l'impatience,
Je souhaiterais mourir rapidement près d"un érable.
A toi, qui fit poindre l'amitié en moi et qui maintenant me fuï,
Je te Hais... Car à présent, mon âme s'est asséchée de ton eau,
Et je ressens un dégoût incroyable pour mon possible avenir,
Car celui-ci se fera sans Toi et sera bien moins beau.
Vous qui coulaient le long de mes joues, emportez ma peine.
Mains sanglantes, autrefois pâle, brisez ma cage,
Et, dans un dernier élan de violence, prenez ma haine.
Mon coeur éprit se déchire tel une feuille de papier,
Et je sens poindre en moi les dernières secondes de joie,
Joies qui se meurent à présent....
Mon corps lui-même en est brisé,
Mon souffle se tarit alors...
Et le silence emprisonne ma voix.
Cette étreinte mortelle qui m'enserre la gorge,
Et fais couler mes larmes, Semblent s'être attachée à mon âme et m'empêche d'avancer.
Son étau se resserre peu à peu, je vais surement rendre les armes,
Puis je finirai par lâcher prise et me laisser suffoquer.
Est-ce cela qu'on nomme "AMITIE" ?
Je l'ignore, je ne crois pas...
La souffrance est si importante que plus rien ne me touche,
Hormis ce martèlement sur mon coeur, qui ne cesse pas,
Et ce goût acre du souvenir où tu me confiais tout.
Mon coeur saigne comme au premier jour de ma naissance,
Je m'enlise dans cette souffrance plus qu'improbable,
Et me laisse dériver sur les eaux de l'impatience,
Je souhaiterais mourir rapidement près d"un érable.
A toi, qui fit poindre l'amitié en moi et qui maintenant me fuï,
Je te Hais... Car à présent, mon âme s'est asséchée de ton eau,
Et je ressens un dégoût incroyable pour mon possible avenir,
Car celui-ci se fera sans Toi et sera bien moins beau.