Monrecueilmagiquedepoesie

La tendresse tue,
L'absence de tendresse assassine,
Sans la tendresse,
L'amour ne serait rien.
La tendresse sauve tout, 

Quant l'amour à mis les bouts,
Rien n'est petit dans l'amour,
La tendresse est l'abat-jour de la passion
Elle en est même son repos. 

C'est cela la tendresse,
C'est l'équilibre des gestes,
Des mots,
Qui sont à la mesure des sentiments. 

La tendresse inspirée par la mort,
Fait aimer les vivants qui l'éprouvent,
Il n'y a rien de plus complet,
Qu'un couple qui traverse le temps,
Et qui accepte que la tendresse,
Envahisse la passion,
Car le plus court chemin du plaisir au bonheur,
Passe toujours par la tendresse.

Peurs de la vie, Peurs de la mort,
Peurs des autres ou de vous même,
L'heure est peut-être venue,
D'affronter vos angoisses. 

O peur, peur auguste et maternelle,
Peur sainte et salutaire,
Pénètre en moi,
Afin que j'évite ce qui pourrait me nuire. 

Peut être que la peur de mourir,
N'est-elle que le souvenir de la peur de naitre,
Je n'ai pas d'autre ennemie à craindre que la peur. 

Ne négocions jamais avec nos peurs,
Mais n'ayons jamais peur de négocier.
Exposez vous à vos peurs les plus profondes,
Après celà, la peur ne pourra plus vous atteindre. 

La peur ne peut se passer de l'espoir,
Et l'espoir de la peur,
Le courage consiste à dominer sa peur,
Non pas à ne pas avoir peur. 

Avoir peur c'est aimer,
Donner peur c'est hair,
C'est étrange on as tous peur de quelque chose,
Parce qu'on nous a préparer à avoir peur.

 J'ai peur du jour,
Ou je n'aurai plus peur,
Dans ce moment de panique,
Je n'ai peur que de ceux qui ont peur. 

Ne fuyez pas !!!!
Prenez votre courage à deux mains,
Affrontez la vérité,
Soyez braves et téméraires,
Et vous n'aurez pas peur,

Car l'homme libre est celui qui n'a pas peur,
Pas peur d'aller jusqu'au bout de sa pensée.

Mes souvenirs me genent,
Et me remplissent d'une profonde peine,
Quoi faire ? 
Je ne sais plus,
Je suis perdue. 

J'ai au fond de moi une blessure,
Comme une grande déchirure,
Une plaie qui ne se refermera pas.
Un mal qui restera en moi, 

L'amour, ça me blesse profondément,
Et je perds l'envie que j'avais avant,
L'envie de vivre,
L'envie de survivre,
Mon espoir s'enfuit,
Je ne veux plus de cette vie.

Désormais la solidarité la plus nécessaire,
Est celle de l'ensemble des habitants de la Terre,
Les grandes douleurs sont muettes,
Et les petites colères sont elles,
Une source incomparable de solidarité. 

Il n'y a pas d'autre voie vers la solidarité humaine,
Que la recherche et le respect de la dignité individuelle,
Tout groupe humain,
Prend sa richesse dans la communication,
L'entraide et la solidarité. 

Il vise un but commun,
L'épanouissement de chacun,
Dans le respect de la différence.
Enseigner la compréhension entre les humains,
Est la condition et le garant de la solidarité
Quel soit intellectuelle ou morale
C'est celà qui fait l'Humanité.

Enseigne aux autres la bonté et la beauté,
La bonté sage et raisonnée, 
Est la seule chose vraie en ce monde,
L'amour nait aussi bien d'un regard de mépris,
Que d'un regard de bonté. 

Ami du bien,
De l'ordre et de l'humanité,
Le véritable esprit marche avec la bonté,
Ce que l'on aime dans la bonté,
C'est plus que sa main,
C'est son regard. 

La politesse est à la bonté,
Ce que les paroles sont à la pensée,
Le parfum de la bonté,
Se compose des misères des pauvres,
Et des angoisses des opprimés. 

Un homme bon on le dit bête,
Un homme doux on le dit stupide,
Mais il est naturel d'être bon,
Car la bonté ne compte pas sur les actions,
Pour exister.

Ce n'est pas la jeunesse,
Mais la vieillesse qui n'a pas d'âge,
Dans la vieillesse de vos parents,
Souvenez vous de votre enfance,
L'enfance, c'est l'envers de la vieillesse,
C'est ne rien savoir,
Et pouvoir tout faire. 

L'existence de l'homme ,
Porte la vieillesse du monde,
La vieillesse nous apporte plus de rides,
En l'esprit qu'au visage.
La vieillesse qui est une déchéance pour les êtres ordinaires,
Et pour les hommes de génie,
Une apothéose. 

Le philosophe se doit de regarder la vieillesse comme un préjugé,
O rage ! O désespoir ! O vieillesse ennemie !
N'aie-je donc tant, tant vécu que pour cette infamie ?
Les conseils de la vieillesse éclairent sans réchauffer comme le soleil d'hiver. 

Si la jeunesse est la plus belle des fleurs,
La vieillesse elle au contraire,
Est le plus savoureux des fruits,
Tu récolteras dans ta vieillesse, 
Les fruits de ta conduite, 

Sois joyeux à dix-huit ans,
Sérieux à vingt-cinq ans,
Sage à trente,
Et tu seras riche à quarante ans.

L'Amour est la seule passion,
Qui ne souffre ni du passé ni de l'avenir,
L'Amour est une passion qui ne se soumet à rien. 

Toutes nos passions reflètent les étoiles,
Certaines passions demeurent à jamais insondables,
Les vrais passions donnent des forces,
En donnant du courage. 

On reconnait la passion,
A l'interdit de deux coeurs,
Car seules les courtes absences aiment les passions,
Les autres elles, les font mourir. 

Les raisonnables ont durés,
Les passionnés ont vécus,
L'attrait du danger,
Est au fond de toutes,
Les grandes passions.

Il faut aller à la sagesse,
Par le plus court,
Par des chemins de traverses, 

L'homme le moins sage,
Croit toujours avoir la sagesse,
Mais qu'est-ce-que la Sagesse ?
C'est une égalité d'âme que rien ne peut troubler. 

La sagesse se trouve sur les lèvres d'un homme brave,
Car il est rare de la voir alliée à la beauté,
Toute la sagesse de notre vie consiste à bien penser,
Et à acquérir des connaissances. 

A mon sens la gaité vaut presque la sagesse,
On dis que c'est un don ?
Cela je le confesse ... 

Que nous dis la sagesse ?
De nous connaitre nous - même
Sagesse, beauté et gentilesse,
Ne font pas bouillir le chaudron. 

L'homme trouve la raison en lui
Et la sagesse hors de lui.
Que votre autorité,
Ne tire sa force ni de la dureté du commandement,
Ni de la rigueur des châtiments,
Mais de la supériorité de votre sagesse. 

La meilleure sagesse est celle qui succède à la folie,

Pour accéder à la sagesse il faut le vouloir,
Ne m'éprisez pas tant l'expérience et la sagesse de vos pères,
L'homme et la femme pour être bons,
Ont besoin des mêmes choses,

SAVOIR - JUSTICE - SAGESSE.

L'Homme c'est comme un Arbre,
Et la Femme c'est comme une Feuille,
Vous me direz,

Qu'il n'y a aucune égalité,
Et pourtant,
L'Homme et la Femme,
Se complète. 

Nulle ne peut vivre sans l'autre,
C'est comme c'a,
L'Homme est le reflet de la Femme,
Ainsi ont-ils étaient crés. 

De l'union de l'Homme et de la Femme,
Vient l'Enfant,
Et il est bien souvent le reflet de la Passion,
De deux coeurs qui battent à l'unisson.

Aimer un enfant est un cercle sans fin,
Plus on recoit, et plus on a envie de l'aimer,
Si le nouveau-né savait ce qu'il l'attend,
Il retournerait aussitôt dans le ventre de sa mère. 

Un enfant est une façon pour Dieu,
De dire que le monde doit continuer,
Un enfant c'est d'un côté beaucoup de bruit,
Et de l'autre c'est aucun sens des responsabilités. 

Dans les bras de sa mère,
Tout enfant est beau,
Le coeur d'un enfant c'est grand,
Le temps s'y transforme en espace,
A chaque enfant qui nait,
Le monde recommence. 

Les enfants sont sans passé,
Et c'est tout le mystère de l'innocence,
Qui s'ouvrent à nous.