Tu n’as pas besoin, d’être le plus grand ou le plus rapide, d’être le plus intelligent, ou le plus intrépide. Pas besoin d’être le plus beau, le plus vif ou le meilleur. Tu battras tous les records, si tu parles avec ton Cœur.

Samedi 3 mars 2012 à 15:48

Plus il y a d'interdits,
Et plus le peuple est pauvre.
Plus il y a d'armes,
Et plus le pays est troublé.

Lorsque le peuple,
A recours à l'habilité,
D'étranges nouveautés apparaissent.
Car plus les lois et les règlements croissent,
Et plus le nombre de voleurs et de brigands,
Augmenteras.

Ne te contente pas,
De réfléchir,
Laisse surtout ton coeur,
Danser, chanter et rire.
Car rêver est une chose douce,
Qui ne coûte rien et qui rassure.

Dans la plupart des pays,
Les citoyens possèdent la liberté de paroles,
Mais dans une démocratie,
Ils possèdent encore la liberté après avoir parlés.

Ne laisse pas la crainte ni le doute te paralyser,
Ils limitent et détruisent tout.
Ce qu'il convient de faire, décide-le
Ce que tu as décidé entreprends-le
Ce que tu as entrepris, achève-le.

Par conséquent :
Brisez vos limites,
Faites sauter les barrières de vos contraintes,
Mobilisez votre volonté,
Et exigez la liberté comme un droit,

Soyez ce que vous voulez être.
Découvrez ce que vous aimeriez faire
Et faites tout votre possible pour y parvenir.

Car chacune des relations que vous vivez,
A quelque chose à vous apprendre.
Si vous refusez cette relation,
Si vous la bloquée par votre jugement ou par votre ignorance,
Alors vous vous privez des leçons et des enseignements,
Que la vie voulait vous apprendre à travers la personne.

La diversité ne doit donc pas vous effrayer.
Au contraire, ouvrez votre cœur et accueillez-la.

Samedi 3 mars 2012 à 15:44

Quand la vie
Ne tient qu'à un fil,
C'est fou le prix du fil.
Mais un seul fil de bonne qualité
Vaut milles fois mieux,
Qu'une poignée de fils truqués.

Samedi 3 mars 2012 à 15:42

J'aime voir la vie,
Comme l'eau qui coule.
Je ne peux la retenir,
Car la vie n'est pas figée.

J'accepte le changement,
Je m'accroche moins,
A ceux qui est.

J'ai de moins en moins peur,
De ce qui vient,
Car tout est en mouvement.

Tant le malheur,
Que le bonheur,
J'apprends à vivre,
Et à apprécier le temps présent

Samedi 3 mars 2012 à 15:37

À toi, l'ami(e),
Quelque part sur notre terre,
Au son de la flûte,
Je viens tout doucement,
Te souhaiter une agréable,
Fin de soirée
Et de beaux rêves étoilés.

Samedi 3 mars 2012 à 15:35

 J’ai fait un doux rêve,
Où tu venais me retrouver.
Ta bouche si tendre,
Venait déposer sur mes lèvres,
Un si doux baiser.

Tes mains si parfaites,
Caressaient mon visage.
Tu fermais les yeux,
Pour encrer en ton sein,
Le souvenir mon image.

J’ai pris tendrement ta main,
Et je l’ai placée sur mon coeur.
Et je sentais les battements,
Qui faisaient vibrer tout mon corps.

Nos âmes en fusion,
Recouvraient nos corps de sueur.
Et nous nous abandonnions,
Pour une nuit à notre fureur.

Ta peau était si douce,
Que je ne pouvais s’empêcher de la toucher.
Ton regard était si profond,
Que mes yeux éblouis par tant de beauté,
Se perdaient dans les profondeurs,
De ton être si parfait.

Je t’avais enfin retrouvé,
Toi mon petit ange tant recherché.
Mais je savais que tu partirais,
A nouveau là-bas…

Là-bas,
A des kilomètres de moi.
Et il ne me reste,
Que l’écran de mes pensées
Pour revoir l’image,
De mon petit ange tant aimé…

Samedi 3 mars 2012 à 15:33

Juger n'est pas mon rôle,
Je ne suis pas venue,
Sur terre pour cette mission.

Juger s'est condamner une personne.
Alors au lieu de juger ou critiquer,
Cherche au plus profond de cette personne,
Ses atouts et ses propres qualités
Ou apprivoise seulement son coeur.

Ne jugez pas sur les erreurs,
Car personne n'est parfait,
Essayez plutôt de les comprendre,
Car c'est ça la vraie compassion.

Laissez parler votre coeur,
Car comme la si bien dit W. Shakespeare :
"Il est bien plus simple de jugez autrui
Que de se juger soi même "

Méditez ses paroles
Pour que ensemble,
Nous fassions la farandole de l'amitié

Samedi 3 mars 2012 à 15:32

Sans rien me demander
Avec moi tu es né,
Ne pouvant entendre,
J'ai appris à regarder,
J'ai grandi avec toi,
Et j'ai appris la vie,
Celle qui fait sourire
Mais qui déçoit aussi.

J'ai connu les moqueries
Des enfants mal élevés,
J'ai connu les railleries
Des enfants mal intentionnés.

J'ai compris l'importance
Du mot "surdité",
Des milliers de gens le sont,
Ils ne l'ont même pas remarqué.

Ils sont sourds à l'Amour,
Ils sont sourd au malheur,
Bien plus sourd que moi,
Je ne les envie pas!
"Silence" mon ami.
J'ai appris à t'aimer,
Je puise mes forces
Dans ton calme et ta paix.

Les mots sont inutiles
Pour parler d'Amour ou d'amitié,
Mieux que de le dire
Il faut le montrer,
Et pour cela
Mon coeur, n'est pas handicapé

Samedi 3 mars 2012 à 15:30

Écrivez, écrivez poètes
Dites à vos contemporains
Que votre cœur est en fête
Quand la plume va bon train .

Dites le en vers ou en prose
Qu'importe la façon
C'est votre cœur qui explose
Pour exprimer sa passion.

Si votre vie est imparfaite
Votre plume, elle est parfaite,
Pour écrire toujours mieux
Pour écrire simplement vos mots.

Alors allez y,
Ecrivez !!!!!

Samedi 3 mars 2012 à 15:30

Additionne tes joies,
Soustrait tes peines,
Multiplie par toi et moi
Mais ne divise jamais
Par un autre car je t'aime.
Athée pieds voilà ma religion,
Avant de te coucher,
Regarde à ta fenêtre,
Les étoiles que tu verras,
Sont les milliers de baisers que je t'envoie.
Car c'est dans la flamme de tes yeux
Que brûle mon avenir.

C'est en regardant le ciel
Que j'ai compris que je n'étais rien,
Et c'est en te regardant
Que j'ai compris que tu étais tout.
Cela peut prendre l'éternité
Avant de trouver l'amour,
Mais depuis que le notre est né,
L'éternité ne fait que commencer.

Chaque jour je t'aime davantage,
Aujourd'hui plus qu'hier
Et bien moins que demain
Car chaque parole qui sort de ta bouche
Est pour moi comme sorcellerie
Elle m'envoute dans l'amour

Compte les étoiles dans le ciel
Et tu sauras combien je t'aime.
Dans la vie j'aime deux choses,
La rose et toi.
La rose pour un jour,
Et toi pour la vie.
Dans le ciel il y a des nuages,
Dans le désert il y a des mirages
Et dans mon coeur il y a ton visage.
Dans un an il y a douze mois,
Dans une main il y a cinq doigts,
Et dans mon coeur il n'y a que toi.

En bonne arithmétique,
Un plus un égale tout,
Et deux moins un égale rien.
Mais il n'y a rien au monde,
Ni sur cette terre que mon coeur,
Ne puisse te donner.

J'ai le sentiment que tu as volé,
Les clefs de mon coeur,
Et que tu t'y es enfermé à l'intérieur.
J'ai rêvé que le feu gelait,
J'ai rêvé que l'eau brûlait,
J'ai rêvé l'impossible,
J'ai rêvé que tu m'aimais

J'attends avec impatience
Le jour où nos deux coeurs
Ne feront plus qu'un.
Je n'ai peut-être pas
Beaucoup de qualité
Mais je suis sûr
D'en avoir au moins une,
C'est celle de t'aimer.
Je t'aime,
Jusqu'à te vouloir pour mon enfer.
Je t'aime,
Non seulement pour ce que tu es,
Mais pour ce que je suis,
Quand nous sommes ensemble.

Je t’envoie un bateau de caresses,
Sur un océan de tendresse.
Je t’envoie un wagon de baisers,
Sur les rails de l’amour,
Tiré par les ailes de mon cœur,
Pour te dire je t’aime.

Je veux ce que tu veux,
Tu veux ce que je veux
Alors cesse de vouloir
Et laisse moi t'avoir

Samedi 3 mars 2012 à 15:29

Les yeux remplis de sel, les larmes coulent sur ses joues
Une fois encore elle a, enduré tous les coups,
Coups de poings, paires de claques, tout est bon pour punir
Elle a peur, elle a mal, elle redoute l’avenir.

Elle n’a rien fait de mal sinon que de l’aimer,
Et cet homme qui l’a bat sans voir sa vie brisée
Ne sais pas à quel point son amour est immense,
Pour supporter toujours une telle indifférence.

Les brèves fiançailles, le mariage si joyeux
Ont terminés cauchemar si vite qu’elle ne peut
Comprendre ce qui a pu faire couler le navire
Alors qu’ils étaient deux à s’aimer et à rire.

Jamais elle n’a donné un sourire, un regard
Gardé toujours pour lui sa beauté et ses fards,
Pourquoi la jalousie quand tout était pour lui ?
Elle n’a jamais osé la plus petite envie.

Mais lui ne voit plus rien, perdu dans sa folie
Son esprit égaré par toute cette jalousie,
Ce n’est plus de l’amour que pour elle il ressent
Juste la possession, sentiment indécent.

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