Tu n’as pas besoin, d’être le plus grand ou le plus rapide, d’être le plus intelligent, ou le plus intrépide. Pas besoin d’être le plus beau, le plus vif ou le meilleur. Tu battras tous les records, si tu parles avec ton Cœur.

Vendredi 9 juillet 2010 à 16:36

 

Ohhh ... mon front brule et mon âme est glacée, 
FATALITE, je sents ta main de fer,
Mon esprit succombe à la même pensée,
Et me fais souffrir dans les tourments de l'enfer.
Et toi saura tu pardonner l'injure,
Car ta fierté va s'unir ou mourrir,
Tu vis encore quand l'amante parjure,
Tu ecris ses mots "je ne vous aime pas".
Pitié mon Dieu, vois la souffrance,
Qui jour et nuit brise mon coeur,
Fais moi mourrir car l'espérance,
S'est éteinte avec mon bonheur.
Malheur à toi, ravisseur de ma flamme,
Le desespoir déborde menacant,
L'amour froissé va diriger sa lame,
Mais quand viendra l'heure silencieuse,
Rappelle toi femme capricieuse,
Les doux serments que tu me fis.
Mes doux yeux brulent encore une larme,
Fais moi démon qui me pousse du mal,
Jamais mon coeur n'a affronter sa haine
La seule hélas,
Qui coule en toi,
Je la réclame afin qu'elle désarme,
Le dieu vengeur irrité contre moi.

 

Samedi 26 juin 2010 à 16:35

La Femme porte quelquefois,
La culotte dans son menage,
Le fait est constaté, je crois,
Dans les liens du mariage.
Mais quand elle va pédalant,
La chose me semble plus grave,
Et je me dis en la voyant :
Frou - Frou !!!!!
Par son jupon, la femme,
Frou - Frou !!!!!
De l'homme troubla l'âme
Certainement, la femme,
Séduit partout,
Par son gentil frou -frou.
La femme ayant l'air d'un garçon,
Ne fut jamais très attrayante,
C'est le frou-frou de son jupon,
Qui la rend surtout excitante !!!
Lorsque l'homme entend ce frou - frou,
C'est étonnant tout ce qu'il ose,
Soudain il voit la vie en rose,
Il s'electrise et devient fou !!!!
En culotte me direz-vous,
On est bien mieux a bycyclette,
Mais moi je dis que sans frou - frou,
Une femme n'est pas complete.
Lorsqu'on la vois se retrousser,
Son cotillon nous encorcelle,
Son frou - frou est comme un bruit d'aile
Qui passe et vient nous caresser !!!!

Vendredi 18 juin 2010 à 16:33

Vous aimez les beaux vers,
Vous adorez les fleurs,
Toute la femme est là.
C'est une âme choisie,
Qui vit d'amour,
De chants ailés,
De poésie,
De parfums enivrants,
Et de vives couleurs.
Fleur elle même,
Elle est l'amante de nos coeurs,
Car sans elle,
Il n'est pas de charme.
Dans la vie rose,
Elle aspire de sa narine ravie,
Tes roses qui pour elle,
Sont des senteurs.
L'encens subtil flottant autour des azalées,
Comme un baume d'amour qui se glisse dans nos coeurs,
Et souverainement, y donne au vainqueur.
L'éclat luxuriant des fleurs auréolées,
Captivent vos regards,
Miroites dans vos yeux,
Femme & Fleur,
C'est le couple à former.
Elle aspire

Samedi 5 juin 2010 à 16:31

O douce rêverie, illusion si chère,
Toi qui me fis revoir l'image que j'aimais,
Berce moi dans ton sein,
Le bonheur que j'espère,
N'étant pas ici-bàs ...
Je ne l'attends jamais.
Dans des lieux inconnus,
En Colchide magique,
Nous étions seul à seul,
Loin du monde réel,
Ta voix me sursurrait une aimable musique,
Et je pensais heureux :
C'est ici qu'est le ciel.
Je buvais le nectar de tes lèvres vermeilles,
Tes paroles d'amour,
Ainsi que tes baisers,
Je carressais ta gorge,
Une pure merveille,
Je sentas enivrés mes sens inapaisés.
Nous laissons déferler,
L'eau bourbeuse qui roule,
En ses flancs vagabonds,
Les insensés discours,
Oh ! Que nous importait cette vulgaire foule ! ...
Nous voguions sur le Tendre aux sinieux contours,
Hélas ! Cruel réveil ... Sombre banalité ! ...
Le chimérique espoir n'était qu'un vil mensonge,
Mes yeux s'étaient ouverts à la Réalité,
Et l'ange aux cheveux d'or, fuyait avec le songe.
O douce rêverie, illusion si chère,
Toi qui me fis revoir l'image que j'aimais,
Berce moi dans ton sein,
Le bonheur que j'espère,
N'étant pas ici bas ...
Je ne l'attendais jamais.

Mardi 25 mai 2010 à 16:30

J'emporte en te quittant, tout ce qui fut ma vie,
Le parfum de ton corps et l'écho de ta voix,
Absente, je t'entend, lointaine je te vois !
C'est toute la beauté, hélas qui est ravie !
Jalousement je garde en mon âme asservie,
Le souvenir sacré du bonheur de nos soirs,
Qui ravive ma fièvre avec un fol espoir,
Par avance et te rends toute à mon envie.
Je bois, frissonnant la coupe de tes baisers,
Tous mes désirs en touffes, jamais inapaisés,
S'élevant douloureux jusqu'au seuil de ta bouche.
Entre tes lèvres luit l'ivoire de tes dents,
Et grisé par le feu de mes lèvres ardents,
Pamé, je crois sentir ta lèvre qui me touche

Jeudi 20 mai 2010 à 16:28

Il y a de celà longtemps,
Je t'avais perdue,
Ma bien aimée,
Et tout en moi,
N'était qu'amertume.
Et puis dans le soir,
D'un merveilleux printemps,
J'ai senti le parfum,
De la nouvelle,
Qui envoute les fleurs,
Et fait chanter la terre.
Et dans la tiédeur de l'Avril,
Toujours nouveau,
Je t'ai retrouvée avec ta chair,
Aussi féconde que la terre d'août,
Aussi odorante que l'air de la nuit,
Et nous ne voulions pas savoir,
Si le printemps devait finir,
Nous étions maîtres du temps.

Samedi 15 mai 2010 à 16:24

Vous qui faîtes la Paresseuse,
Au milieu de votre lit,
Avez-vous eu, blonde amoureuse,
Les yeux ouverts toute la nuit ?
Dans la chambre silencieuse,
Vous avez dû bailler d'ennui,
Allons ne soyez pas menteuse,
Qu'avez-vous donc fait cette nuit ?
Paresseuse, Paresseuse,
Oh ! La vilaine Paresseuse.
Vous qui faîtes la Paresseuse,
Avez vous rêvée tendrement,
Que d'une voix voluptueuse,
Vous parlez du Prince Charmant ?
Combien vous devez être heureuse,
Tant près du coeur de votre ami,
Allons ne soyez pas menteuse
L'avez-vous rêvée cette nuit ?
Paresseuse, Paresseuse,
Oh ! La vilaine Paresseuse.
Vous qui faîtes la Paresseuse,
Un oeil de velours me sourit,
Vous n'êtes pas grande dormeuse,
Et votre oreille aime le bruit.
D'ailleurs,
Vous êtes bien trop joueuse,
Pour rester seule là,
Après minuit,
Allons ne soyez pas menteuse.
Non, non, vous n'avez pas dormi,
Paresseuse, Paressuse,
Oh ! la vilaine Paresseuse.
Vous qui faîtes la Paresseuse,
C'est mon petit doigt qui me l'a dit,
Ce matin, à l'aube rieuse,
Un homme de chez vous s'enfuit.
Et d'une démarche joyeuse,
En fredonnant,
Il est partit,
Allons ne soyez pas menteuse,
Vous avez aimé cette nuit.
Paresseuse, Paresseuse,
Et celà vous rend Paresseuse.

Lundi 10 mai 2010 à 16:16

Sous votre costume, madame,
Bat un coeur, un coeur d'amante,
Aimant, à vous rendre passionnée....
Quand nous nos sommes rencontrés.
Mais depuis quelques temps,
Ce coeur s'est fané,
Comme une belle fleur,
Qui a quitté la vie,
A peine éclose,
Ainsi je vous l'assure,
L'a fait le vôtre.
J'ai beaucoup pleuré quand j'ai su,
Qu'avec un autre on vous avez vu,
Souriante, percée sur son bras,
En vous dirigeant ou nous allions là-bas.
Pourquoi m'avoir donner de doux baisers,
Quand vos aviez jurer de m'aimer,
Pourquoi m'avoir profané ce lieu solitaire,
Qui fut le temoin de nos ivresses.
Adieu, femme mensongère, Adieu......
Qui pour vous punir,
Il se trouve qu'il existe un Dieu,
Qui venge votre lache abandon,
Vous oblige à implorer mon pardon.
Mais sachez le bien,
Je serai impitoyable,
Qui m'a trahie,
Je haïe comme Hériodiate,
Pour vous, ans pitié,
Je souhaite ardemment,
Ne plus pleurer

Dimanche 9 mai 2010 à 16:10








 




 




Dimanche 9 mai 2010 à 16:00

 







 

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