Tu n’as pas besoin, d’être le plus grand ou le plus rapide, d’être le plus intelligent, ou le plus intrépide. Pas besoin d’être le plus beau, le plus vif ou le meilleur. Tu battras tous les records, si tu parles avec ton Cœur.

Vendredi 22 octobre 2010 à 16:56

La Mort c'est le Renouveau,
La Mort est intimement liée à la Vie,
Chaque être devrait pouvoir la Choisir,
Sans pour autant en avoir Peur.

La Mort est le passage qui mène à l'Immortalité,
La Mort conduit au Paradis,
La Mort permet la Renaissance de l' Être.

Il ne faut pas la Provoquer,
Est encore moins l'Ignorer,
La Mort n'épargne Personne,
La Mort fait partie de l'Existence de l'homme depuis Toujours.

La Mort est pour beaucoup le Néant,
Car ils ne savent pas où elle Mène,
Certains voyent dans la Mort,
La Lumière.

La Mort prend l'être par Surprise,
La Mort peut être Brutale ou Douce,
La Mort et la Vie s'opposent,
Dans une lutte sans Merci.

Lorsque la Mort l'emporte,
Une nouvelle Vie renaît,
Dans un Monde,
Dans l'Univers,
Partout.

Mercredi 13 octobre 2010 à 16:53

Le monde c'est la terre,
Le monde s'est l'univers,
Jamais le monde ne cesse de tourner,
Et pourtant je recherche ma place dans ce monde.
Le monde est vaste,
Toutefois personne ne me l'a vraiment jamais expliqué,
Alors comme bien d'autres,
Je tente de survivre,
Dans un monde,
Où la loi du plus fort gagne toujours.
Je passe de plus en plus de temps,
A me demander si le monde tourne rond,
Car plus le temps passe,
Et plus je me noie dedans.
Vais-je un jour remonter à la surface,
Ou bien sombrer dans le néant le plus total,
Le monde va t-il m'anéantir,
Ou bien me rejeter,
Avec une fureur inavouée.
Comment vivre dans un monde,
qui n'est pour moi qu'une ombre,
Comment trouver ma place,
Sans pour autant vivre dans l'ombre

Mardi 28 septembre 2010 à 16:52

Venez entendre le doux chant de l'alouette,
Qui du haut de son arbre perché,
Chante le renouveau du passé.

La nature rit,
La nature chante,
Toute personne sachant l'écouter,
Découvrira ses milles secrets.

Venez humez la terre,
Venez découvrir ses couleurs,
Ainsi comme dans un tableau de grands maîtres,
Celle - ci demeurera dans l'éternité.

Mercredi 22 septembre 2010 à 16:50

Belle fermez vos yeux,
Voici votre amoureux,
Dont les lèvres fidèles,
Brulent de déposer,
Un bien tendre baiser,
Sur le satin,
Le satin de vos oules.

Une fauvette avait dit-on,
Un amoureux dans le village,
Mais adroite comme jamais,
Chacun la croyait sage.

Pourtant une jeune rime,
Dans le nid avec cette duchesse,
Bien souvent lever le rideau,
En lui chantant ma mignonnette.

Un matin le galand moineau,
Alla conter l'aventure,
Au chevreuil très feingnant,
Entreprenant de sa nature,
Il profita de l'obscurité.

Quand fut tombé le crépuscule,
A son tour, à cette beauté,
Le chevreuil chanta sans scrupules.

Mais un moine remplit d'espoir,
Un soir qu'il rêvait à la lune,
Entendant la chanson se dit :

Là, ma foi, l'heure est importune,
Empruntant sa plus belle voix,
Le lendemain chez la brunette,
Il lui dit d'un simple mot,
Je t'aime.

Samedi 11 septembre 2010 à 16:49

Pour Toi, mon aimée,
Aux amoureuses caresses,
Souvent, j'ai pleuré,
Au souvenir des ivresses.

Mais hélas, tout est passé,
La vie telle une ombre,
Souvent j'ai pleuré,
Après avoir été sobre.

Je ne crois plus à l'amour,
Je fuïs à coeur aimé,
Tu m'a fait malheureux en ce jour,
Souvent j'ai pleuré.

J'irai de par le monde,
Insensible aux beautés,
Menant une vie vagabonde,
Car j'ai trop pleuré

Vendredi 3 septembre 2010 à 16:48

Mon voisin par la nuit douce,
N'auriez-vous pas rencontré,
Un baiser couleur de rose,
Qui dans l'air s'est égaré,
Sous les ailes de la brise,
Il s'est envolé vers vous. 

J'en trembles encore de surprise,
C'était un baiser si doux,
C'est par la fenêtre,
Qu'il a fui peut-être,
Pour aller joyeux,
Vers les pays bleus. 

Brise vagabonde,
Parcourant le monde,
Quand me rendras-tu,
Mon baiser perdu. 

Un beau soir au clair de lune,
J'ai vu rôder près d'ici,
Un lutin cherchant fortune,
Marchandeur que rien ne lasse,
Cherchant les fruits défendus,
On prétend qu'il fait la chasse,
A tous nos baisers perdus. 

J'avais entre-ouvert à peine,
La fenêtre du balcon,
Que le voilà par la plaine,
Voltigeant comme un gai papillon,
Par la soirée prinptannière.

 Que de baisers tous les jours,
Font l'école buissonnière,
Par les chemins des Amours.
Mais qui vient,
Frapper de l'aile,
A ma vitre vint le jour,
Est-ce dejà l'hirondelle.

 Non voisin, c'est l'amour,
Qui vous offre quelque chose,
Du bout de ses petits doigts,
C'est un joli baiser rose,
Qu'il a trouvé dans les bois. 

Sur mes lèvres roses,
Fraiches et demies closes,
Un gentil baiser vient ici se poser,
Sous cette caresse,
J'ai frémis d'ivresse,
Car j'ai reconnu,
Mon baiser perdu.

Mardi 31 août 2010 à 16:47

Dans mon sommeil, ma chérie,
J'ai fait croyait le, le plus beau rêve,
Qui aurai dû durer toute la vie,
Pourquoi, a t-il fallu qu'il s'achève ?

Vous voyant bien loin du monde,
Bien seuls tous les deux sans émoi,
Et loin de la foule qui gronde,
Etant bien toute à moi.

Je buvais sur vos lèvres vermeilles,
Vos paroles d'amour et de baisers,
J'étais à vous et vous étiez mienne,
Et heureux, m'endormais à vos pieds...

Vous me faisiez jurer un éternel amour,
Et alors sous vos chaudes carresses,
J'ai fait serment de vous adorer toujours,
Et j'ai connu les meilleures ivresses.

Cruels réveils,
Sombres réalités,
De mes rêves bleus de langueur,
Plus rien, pas même mon aimée,
Oh, souvenir qui me brise le coeur.

Et j'ai cru, pardonnez moi ma muse,
Vraiment vous posséder,
Et mon songe m'a tout de même donné but,
Celui d'avoir vécu avec vous que j'adorée.

Mardi 17 août 2010 à 16:45

 

Je veux vous aimer, oh ! la douce chose,
Et seul, à l'abri de tous les indiscrets,
Je voudrais m'approcher de vos lèvres roses,
Et y déposer mes plus ardents baisers.

Ensuite, je voudrais vous tenir enlacée,
Fredonner à vos oreilles ma chanson d'amour,
Et dans mes bras fermés, tendrement bercés,
Admirer vos yeux et vous adorer toujours.

Hélas ! Pourquoi n'est-ce-que chimère ?
Et votre coeur nerait-il insensible à ma souffrance ?
Et pourtant, souvent, je fais de beaux rêves,
Et me souriez de me voir en extase.

Vous vous penchez vers moi,
Votre visage semble vouloir me dire,
Espérance,

Apportant un peu de quiétude à mon âme,
Et consolant un peu :
Qui vous aime.

Mercredi 28 juillet 2010 à 16:42


C'était te souviens tu,

Un soir d'automne,
Tu fredonnais une chanson,
Une chanson un peu monotone.  
Je remarquais ton rire moqueur,
Un rire que je désire,
Et je laissais un peu de mon coeur,
Après ton rire.
C'était te souviens-tu,
Un beau dimanche,
Je t'emmenais à Robinson,
En robe blanche,
Que de baisers et que d'amour.
Joyeux délire....
Je me suis grisée tout un jour,
De ton faux rire.
C'était te souviens-tu,
Un soir d'orage,
Une querelle sans raison,
Te mis en rage.
Puis brusquement sans un regret,
Sans rien me dire,
Tu partis....
Et moi je pleurais,
Va, tu n'auras rien à me dire,
Et crois-le pour te rassurer,
Je te promets de ne pas rire,
Si parfois je te vois pleurer.

Lundi 12 juillet 2010 à 16:37

Pourquoi bouder ainsi méchante,
Et détourner tes yeux des miens,
Qu'ai-je fais qui te mécontente ?
J'ai beau chercher je ne vois rien.
Veux tu bien vite me sourire,
Mignonne, racommondons-nous,
Ne fuis pas ma main qui t'attire,
Viens te blottir sur mes genoux.
Donne moi ta lèvre,
Ta lèvre rose,
Et amoureusement ma lèvre s'y pose,
Et qui étroitement tout deux enlacés,
Nos querelles sont querelles de baisers.
Tu tressailles sous mes caresses,
De si voluptueux frissons,
Que pour avoir pareilles ivresses,
Debroullions-nous, recommençons.
Mignonne, fais encore la moue,
Boude un peu encore,
Car c'est avec grand plaisir, je l'avoue,
Qu'après j'obtiens ton pardon.
Donne moi ta lèvre rose,
Qu'amoureusement ma lèvre s'y pose,
Et qu'éperduement tous les deux enlacés,
Nos querelles finissent par des baisers.

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