Tu n’as pas besoin, d’être le plus grand ou le plus rapide, d’être le plus intelligent, ou le plus intrépide. Pas besoin d’être le plus beau, le plus vif ou le meilleur. Tu battras tous les records, si tu parles avec ton Cœur.
Vendredi 22 octobre 2010 à 16:56
Mercredi 13 octobre 2010 à 16:53
Mardi 28 septembre 2010 à 16:52
Mercredi 22 septembre 2010 à 16:50
Samedi 11 septembre 2010 à 16:49
Vendredi 3 septembre 2010 à 16:48
Mon voisin par la nuit douce,
N'auriez-vous pas rencontré,
Un baiser couleur de rose,
Qui dans l'air s'est égaré,
Sous les ailes de la brise,
Il s'est envolé vers vous.
J'en trembles encore de surprise,
C'était un baiser si doux,
C'est par la fenêtre,
Qu'il a fui peut-être,
Pour aller joyeux,
Vers les pays bleus.
Brise vagabonde,
Parcourant le monde,
Quand me rendras-tu,
Mon baiser perdu.
Un beau soir au clair de lune,
J'ai vu rôder près d'ici,
Un lutin cherchant fortune,
Marchandeur que rien ne lasse,
Cherchant les fruits défendus,
On prétend qu'il fait la chasse,
A tous nos baisers perdus.
J'avais entre-ouvert à peine,
La fenêtre du balcon,
Que le voilà par la plaine,
Voltigeant comme un gai papillon,
Par la soirée prinptannière.
Que de baisers tous les jours,
Font l'école buissonnière,
Par les chemins des Amours.
Mais qui vient,
Frapper de l'aile,
A ma vitre vint le jour,
Est-ce dejà l'hirondelle.
Non voisin, c'est l'amour,
Qui vous offre quelque chose,
Du bout de ses petits doigts,
C'est un joli baiser rose,
Qu'il a trouvé dans les bois.
Sur mes lèvres roses,
Fraiches et demies closes,
Un gentil baiser vient ici se poser,
Sous cette caresse,
J'ai frémis d'ivresse,
Car j'ai reconnu,
Mon baiser perdu.
Mardi 31 août 2010 à 16:47
Mardi 17 août 2010 à 16:45
Mercredi 28 juillet 2010 à 16:42
C'était te souviens tu,
Un soir d'automne,
Tu fredonnais une chanson,
Une chanson un peu monotone.
Je remarquais ton rire moqueur,
Un rire que je désire,
Et je laissais un peu de mon coeur,
Après ton rire.
C'était te souviens-tu,
Un beau dimanche,
Je t'emmenais à Robinson,
En robe blanche,
Que de baisers et que d'amour.
Joyeux délire....
Je me suis grisée tout un jour,
De ton faux rire.
C'était te souviens-tu,
Un soir d'orage,
Une querelle sans raison,
Te mis en rage.
Puis brusquement sans un regret,
Sans rien me dire,
Tu partis....
Et moi je pleurais,
Va, tu n'auras rien à me dire,
Et crois-le pour te rassurer,
Je te promets de ne pas rire,
Si parfois je te vois pleurer.
Lundi 12 juillet 2010 à 16:37
Et détourner tes yeux des miens,
Qu'ai-je fais qui te mécontente ?
J'ai beau chercher je ne vois rien.
Veux tu bien vite me sourire,
Mignonne, racommondons-nous,
Ne fuis pas ma main qui t'attire,
Viens te blottir sur mes genoux.
Donne moi ta lèvre,
Ta lèvre rose,
Et amoureusement ma lèvre s'y pose,
Et qui étroitement tout deux enlacés,
Nos querelles sont querelles de baisers.
Tu tressailles sous mes caresses,
De si voluptueux frissons,
Que pour avoir pareilles ivresses,
Debroullions-nous, recommençons.
Mignonne, fais encore la moue,
Boude un peu encore,
Car c'est avec grand plaisir, je l'avoue,
Qu'après j'obtiens ton pardon.
Donne moi ta lèvre rose,
Qu'amoureusement ma lèvre s'y pose,
Et qu'éperduement tous les deux enlacés,
Nos querelles finissent par des baisers.