Pourquoi bouder ainsi méchante,
Et détourner tes yeux des miens,
Qu'ai-je fais qui te mécontente ?
J'ai beau chercher je ne vois rien.
Veux tu bien vite me sourire,
Mignonne, racommondons-nous,
Ne fuis pas ma main qui t'attire,
Viens te blottir sur mes genoux.
Donne moi ta lèvre,
Ta lèvre rose,
Et amoureusement ma lèvre s'y pose,
Et qui étroitement tout deux enlacés,
Nos querelles sont querelles de baisers.
Tu tressailles sous mes caresses,
De si voluptueux frissons,
Que pour avoir pareilles ivresses,
Debroullions-nous, recommençons.
Mignonne, fais encore la moue,
Boude un peu encore,
Car c'est avec grand plaisir, je l'avoue,
Qu'après j'obtiens ton pardon.
Donne moi ta lèvre rose,
Qu'amoureusement ma lèvre s'y pose,
Et qu'éperduement tous les deux enlacés,
Nos querelles finissent par des baisers.
Et détourner tes yeux des miens,
Qu'ai-je fais qui te mécontente ?
J'ai beau chercher je ne vois rien.
Veux tu bien vite me sourire,
Mignonne, racommondons-nous,
Ne fuis pas ma main qui t'attire,
Viens te blottir sur mes genoux.
Donne moi ta lèvre,
Ta lèvre rose,
Et amoureusement ma lèvre s'y pose,
Et qui étroitement tout deux enlacés,
Nos querelles sont querelles de baisers.
Tu tressailles sous mes caresses,
De si voluptueux frissons,
Que pour avoir pareilles ivresses,
Debroullions-nous, recommençons.
Mignonne, fais encore la moue,
Boude un peu encore,
Car c'est avec grand plaisir, je l'avoue,
Qu'après j'obtiens ton pardon.
Donne moi ta lèvre rose,
Qu'amoureusement ma lèvre s'y pose,
Et qu'éperduement tous les deux enlacés,
Nos querelles finissent par des baisers.