Tu n’as pas besoin, d’être le plus grand ou le plus rapide, d’être le plus intelligent, ou le plus intrépide. Pas besoin d’être le plus beau, le plus vif ou le meilleur. Tu battras tous les records, si tu parles avec ton Cœur.

Lundi 20 mai 2013 à 22:59

Le bien et le mal,
Sont-ils complémentaires ?
L'un ne va pas sans l'autre...
Sinon pourquoi l'histoire,
Se répète-elle,
Depuis la nuit des temps.

Le bien et le mal
Peuvent être comparés,
Au yin et au yang.

Le yin,
Représente l'obscur,
Ce que l'on ne vois pas.
Il est creux,
Et c'est lui,
Qui reçoit la vie.

Le yin,
Est obscur et froid.
Il est l'énergie,
De la passivité féconde.
Il donne la vie,
C'est pourquoi on dit :
Qu'il est le symbole de la féminité.

Par opposition,
Le yang est celui,
Qui le complète.

Il représente le lumineux,
Ce qui est dur et rapide.
Il est actif et manifeste,
Toute l'énergie accumulée.

Le yang est toujours,
En action,
En mouvement,
Il est le masculin,
Il est l'étincelle de la vie.

Lundi 20 mai 2013 à 22:55

La couleur que j'ai perdue,
Est celle des souvenirs,
Des jours lointains.

En ouvrant délicatement,
Ma vieille boîte de couleurs,
Mon vieil ami d'enfance,
Était toujours là pour moi.

Avec ce sourire,
Qui ne le quittait jamais.

La toile de nos sentiments,
Où nous avons peint nos rêves,
N'a rien perdu de sa fraîcheur,
Ni de ses couleurs.

Je sens encore la chaleur,
De ta main dans la mienne,
De la mienne dans la tienne.

Pourquoi les gens,
Ne peuvent-ils vivre,
Sans Amour et sans Haine,
Au fond de leur coeur...

Une chose est sûre,
C'est que :
La Joie et la Tristesse s'entremêlent,
Pour tisser les liens éternels,
De la jeunesse,
En un bracelet de fleurs.

Lundi 20 mai 2013 à 22:46

Je ne peux supporter,
Cette douleur plus longtemps.
Car sur ce sol froid,
Mon coeur brisé,
Est en train d'agoniser.

Je sens que mon âme perdue,
Commence à tomber,
Dans cet abîme béant,
Sans fin et sans sentiments.

Toute mon existence,
Maintenant, se finit...
Je vois défiler sous mes yeux,
Toute ma vie...

Mes larmes ensanglantées,
Remplissent ce ciel rouge.
Ce néant, c'est mon monde.
Mais il n'y a malheureusement,
Plus rien qui y bouge.

Je commence à écrire,
Mes derniers adieux.
Aucun regret,
Car je ne crois en aucun dieu.

Parce que je suis celui /celle,
Que l'on damne,
Je vous retrouverais :
Aux croisements des âmes.

Ne me pleurer pas,
Parce que je suis déjà parti(e).
Avec autant de cruauté,
Ma destinée a été défaite.

Mon esprit est déjà devenu muet,
Les tenèbres,
Ont gagné leurs paris.

S'il vous plaît,
Brisez moi,
Prenez mon coeur,
Et laissez moi effacer,
Cette existence délaissée.

Ignorez mes blessures,
Laissez moi m'en aller,
Je trouverai peut être le repos dans l'éternité.

Tenez, voici mes rêves,
Et laissez moi dormir.
Puisque je ne peux plus supporter,
Cette douleur plus longtemps...
Mieux vaut en finir là

Lundi 20 mai 2013 à 22:40

Ce que l’on voit est toujours peu de chose,
En comparaison de ce que l‘on ne voit pas.
Alors, pourquoi n’accorde-t-on de l’attention et de l’importance qu’à ce que l’on voit ?

L’essentiel est toujours invisible, 
A commencer par la vie.
Est-ce que l’on voit la vie ?
Non, mais seulement ses manifestations.

On ne voit pas non plus,
Les pensées et les sentiments,
Mais on voit leurs expressions sur les visages,
Et surtout on constate les belles actions,
Ou les crimes qu’ils produisent dans le monde.

Cherchez,
réfléchissez.
Tout ce qui nous entoure,
Nous révèle les limites de ce que l’on voit,
Et l’immensité de ce que l’on ne voit pas.

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