Je ne peux supporter,
Cette douleur plus longtemps.
Car sur ce sol froid,
Mon coeur brisé,
Est en train d'agoniser.
Je sens que mon âme perdue,
Commence à tomber,
Dans cet abîme béant,
Sans fin et sans sentiments.
Toute mon existence,
Maintenant, se finit...
Je vois défiler sous mes yeux,
Toute ma vie...
Mes larmes ensanglantées,
Remplissent ce ciel rouge.
Ce néant, c'est mon monde.
Mais il n'y a malheureusement,
Plus rien qui y bouge.
Je commence à écrire,
Mes derniers adieux.
Aucun regret,
Car je ne crois en aucun dieu.
Parce que je suis celui /celle,
Que l'on damne,
Je vous retrouverais :
Aux croisements des âmes.
Ne me pleurer pas,
Parce que je suis déjà parti(e).
Avec autant de cruauté,
Ma destinée a été défaite.
Mon esprit est déjà devenu muet,
Les tenèbres,
Ont gagné leurs paris.
S'il vous plaît,
Brisez moi,
Prenez mon coeur,
Et laissez moi effacer,
Cette existence délaissée.
Ignorez mes blessures,
Laissez moi m'en aller,
Je trouverai peut être le repos dans l'éternité.
Tenez, voici mes rêves,
Et laissez moi dormir.
Puisque je ne peux plus supporter,
Cette douleur plus longtemps...
Mieux vaut en finir là
Cette douleur plus longtemps.
Car sur ce sol froid,
Mon coeur brisé,
Est en train d'agoniser.
Je sens que mon âme perdue,
Commence à tomber,
Dans cet abîme béant,
Sans fin et sans sentiments.
Toute mon existence,
Maintenant, se finit...
Je vois défiler sous mes yeux,
Toute ma vie...
Mes larmes ensanglantées,
Remplissent ce ciel rouge.
Ce néant, c'est mon monde.
Mais il n'y a malheureusement,
Plus rien qui y bouge.
Je commence à écrire,
Mes derniers adieux.
Aucun regret,
Car je ne crois en aucun dieu.
Parce que je suis celui /celle,
Que l'on damne,
Je vous retrouverais :
Aux croisements des âmes.
Ne me pleurer pas,
Parce que je suis déjà parti(e).
Avec autant de cruauté,
Ma destinée a été défaite.
Mon esprit est déjà devenu muet,
Les tenèbres,
Ont gagné leurs paris.
S'il vous plaît,
Brisez moi,
Prenez mon coeur,
Et laissez moi effacer,
Cette existence délaissée.
Ignorez mes blessures,
Laissez moi m'en aller,
Je trouverai peut être le repos dans l'éternité.
Tenez, voici mes rêves,
Et laissez moi dormir.
Puisque je ne peux plus supporter,
Cette douleur plus longtemps...
Mieux vaut en finir là