Tu n’as pas besoin, d’être le plus grand ou le plus rapide, d’être le plus intelligent, ou le plus intrépide. Pas besoin d’être le plus beau, le plus vif ou le meilleur. Tu battras tous les records, si tu parles avec ton Cœur.

Jeudi 28 mars 2013 à 22:29

SI VOUS ÊTES DES VIVANTS...
CESSEZ DE REPANDRE LA MORT!!!


Cessez de détruire, de mortifier,
De violer , de voler, de violenter,
Laissez tomber les armes!!!

Prenez un miroir et allez
Au fond de votre regard,
Chercher la Flamme de l'Amour
Elle subsiste bien quelque part.

Bien cachée, bafouée, dissimulée
Au tréfond de votre subconscient,
Cette flamme miséricordieuse,
Qui est vous , que vous ne reconnaissez pas!

Posez un instant vos yeux sur le Ciel
Que vous dit-il exactement ?
Que les cigognes sont de retour...
Que les hirondelles arrivent bientôt..


OUI! C'EST LE PRINTEMPS DE LA TERRE!

Les nuages les plus sombres disparaissent peu à peu...
Mais votre vue obscurcie par toutes vos frustrations
Ne discerne plus le Blanc du Noir!

Et vous vous répétez" Je vais me battre"
C'est exactement ce que vous faites à travers les autres!
Vous vous aimez si peu...qu'au fond vous voudriez disparaître...
Vous anéantir, et vous vous acharnez sur les autres.

Votre Femme, vos enfants, vos amis, vos voisins,
Les autres races! Tout ce qui est différent et qui vous fait peur!

Vous êtes passés maîtres en dissimulation!
"Je suis un brave! je n'ai peur de rien!
Je veux être tranquille chez moi..."
Puis vous achetez des armes...on ne sait jamais...
Puis votre EGO se gonfle, vous vous présentez aux élections...
En rameutant les fonds de gamelles revendicatrices
Vous êtes élus!
Pour soi disant défendre vos concitoyens
Vous faites le commerce des armes..
Et vous répandez la Terreur!

Vous transformez une planète verte et fleurie
En un champ jonché de corps ensanglantés
Car vous avez mis sur pied une armée...
Qui détruit à votre place ...et à celle d'une poignée
De fous à l'identique , de peureux, de lâches,
Qui du haut de la colline observent le massacre!


SI VOUS ÊTES DES VIVANTS...
LAISSEZ TOMBER LES ARMES !!!

Jeudi 28 mars 2013 à 22:27



J'ai de tout temps été folle et mal élevée.
J'ai aimée des hommes insensibles à mes avances.
J'ai couru derrière des trains dont j'ignorais la destination.
Et adorée des villes dont je ne parlais pas les langues.

J'ai rencontré des coqs chantant pour des matins incertains.
Et commis bon nombre d'énormes maladresses.
Malgré tout, j'ai gardé en mon coeur,
Frais et propre, ton visage et tout ce qui va avec.

Puis j'ai repris la route de ce long chemin qu'est l'existence
Et lorsque j'ai atteint le sommet,
Et bien je suis redescendu,
Bien décidé :
A poursuivre mon ascension.

Jeudi 28 mars 2013 à 22:25


Les jours printaniers passent et se ressemblent,
Pourquoi, tant de déchirures et de souffrances.
Où est-il passé, cet amour en abondance,
Dont nous étions envoûtés en permanence.

Encore hier tes yeux, rayonnaient de bonheur,
Tes caresses, tes mots, tes tendresses.
Telle la beauté délicate, d'une fleur,
Je t'emportais en moi,
Aujourd'hui, je te pleure en silence.

Avec certitude, tu m'as quitté sans aucune difficulté,
Pourquoi vouloir faire tant de mal, à un être que l'on a aimé.
Mon cœur, vraiment tu l'auras écorché,
Sans regrets, mais volontairement prémédité.

Aujourd'hui je paye le prix, de simplement avoir voulu t'aimer,
Tu me donnes en retour, qu'un cadeau empoisonné.
J'aurais dû avoir certainement, mes méfiances,
Simplement j'ai voulu te faire confiance.

A toi qui ne lira jamais ces mots sincères...
Sache qu'aujourd'hui, encore plus qu'hier,
Je te pleure en silence...
Je manque la chaleur de ta présence,
Je te pleure en silence, oui en silence.
Pour ne pas entendre les murmures de mes souffrances .

Jeudi 28 mars 2013 à 22:24



Soudain,
Arrive le souffle de la vie.
Oui,
Dans un petit être naissant.
C’est le commencement d’une vie,
Force et puissance apparaissant.

Ainsi du ventre d’une mère sortant,
Cet être fragile mais si important,
Va grandir,
Devenir un jeune enfant,
Sous les yeux de parents triomphants.

Ensuite,
L’enfant va devenir,
Un homme ou une femme,
Aller savoir...

Il va connaitre les aléas de la vie,
Qui enflamme le cœur et l’âme
Ainsi que celles,
Qui apportent la souffrance ou la joie
Tous ses aléas de l'existence,
Le feront grandir peut être,
Dans l’intelligence et la foi.
Ou dans l’ignorance,
Sans aucune ambition et volonté.

Il entrera ensuite dans la vieillesse,
Redeviendra fragile...
Son cœur et son corps fatigués?
Chercheront à se reposer
Et c'est dans ce souffle de vie,
Que doucement cet être fragile,
Repartira comme il sera venu...

Lundi 25 mars 2013 à 23:17


Je n’ai pas eu souvenir de ressentir,
Une douleur particulière,
Après avoir demandé le pardon à quelqu’un,
Bien au contraire.

Dire et poser des mots soulage.
C’est une libération de l’esprit,
Mais surtout,
C’est une façon de réparer partiellement
Un acte raté et d’alléger l’âme de celui qui a été offensé.

Et pourtant ….
Il semblerait qu’il soit plus aisé,
De mal faire, de défaire,
Plutôt que de mieux faire
A défaut de ne pas avoir bien fait !

Demander pardon n’arrache pas le cœur,
Demander pardon n’est pas un crime.
Alors quel est ce venin,
Ce poison qui paralyse la voix de ceux
Qui avancent dans la vie sans jamais se retourner
Sur le mal qu’ils ont semé.

Quelle est cette indifférence qui les habite ?
Est-ce la peur ou le manque de courage ?
Est-ce de l’orgueil ?
Est-ce l’ignorance ?
Peu importe, car à ceux là,
le courage ne leur a pas manqué,
Et la peur ne les a pas empêchés d’accomplir leurs actes.

Demander pardon c’est reconnaitre l’erreur,
C’est en effacer une partie au moins.
Et puis, c’est aussi se laisser la possibilité de recevoir le pardon
De la part de celui qui a été blessé, bafoué à tort.
Et il est parfois bien difficile de pardonner.

Demander pardon
C’est marcher sur le chemin de la paix,
Le chemin de la sérénité,
C’est une façon de respecter l’autre
En commençant par se respecter soi-même.
Oui, se respecter soi-même !
Car celui qui fuit sa propre erreur,
Celui qui fait semblant de ne pas la voir,
Celui là trouvera au fond de ses yeux la lueur du mensonge.
Car se mentir à soi-même,
C’est ne pas se respecter.
Demander pardon,
Ce n’est pas se rabaisser,
Bien au contraire, c’est s’élever.

Lundi 25 mars 2013 à 23:03


Tout commence par des regards furtifs,
Des sourires, des soupirs,
Et des yeux qui tourbillonnent.
L’esprit s’évade et imagine,
Il chante, il fredonne.

Le même prénom se promène,
Au bout des mots, le jour et la nuit.
Les rêves deviennent des contes de fées,
des aventures magiques,
Des romans sans chapitres qui racontent et inventent,
Ce que le cœur décide.

Chaque jour qui passe annonce une couleur,
Des incertitudes et des envies,
Mais surtout apporte une plénitude nourrit par un désir.

Deux êtres se croisent et s’embrassent du regard,
Leurs yeux effleurent leur bouche,
L’air qu’ils respirent se mélange...

Le métronome se met en route,
Au rythme des cœurs.
Il dicte la cadence des clignements de cils,
Et de leurs pas lorsqu’ils se frôlent.
La raison n’est plus et l’instinct montre le chemin.

Un voile d’incertitude les enveloppe,
Mais l’envie les dépasse,
Les frissons les rattrapent et la solitude respire le souvenir.

Une majuscule se dessine à l’encre rouge,
Sur une page blanche les lettres attendent d’être ordonnées,
Pour écrire leur histoire au goût de poésie.

Une danse se prépare,
Un tourbillon s’annonce,
Une tornade ou même l’apocalypse …
Un tremblement de terre peut-être …
Un feu d’artifice sans doute.

Une flamme va s’allumer,
Des étincelles vont jaillir pour donner naissance :
Au feu de l’amour.

Cet instant attendu approche,
Ce jour unique empreint d’une fusion des corps.
L’ombre de leurs caresses survole déjà leur âme,
Ils inventeront des étreintes et des baisers parfumés de douceur, De chaleur et de givre.

L’essence de leur mélange à l’effet de l’opium ...
L’autre disparait pour n’être plus qu’un,
Pour naître en elle ...

Le volcan est brûlant et il gronde sa joie et son plaisir,
L’explosion des saveurs et des émotions s’élèvent dans le ciel :
Tel un feu d’artifice aux mille délices.
Que l’amour est beau ….
Que l’amour est belle ….
Sans artifice.

Lundi 25 mars 2013 à 22:53



Le silence est pire que tout
Le silence est pire que rien.
Il détruit les rêves fous,
Il annonce que c’est la fin.

Sans te retourner, sans un regard
Tu es parti, tu t’es enfui,
Il est si tôt mais bien trop tard,
Tu as menti, tu as trahi.

Il suffisait de me le dire,
De me parler, de m’expliquer,
Peut être bien tout réécrire,
L’indifférence me déchire.

Toutes ces années, toutes ces heures,
Tu me disais que tu m’aimais,
Me nourrissant de ta chaleur,

Je te buvais, je te croyais.
Je ne peux pas te détester,
Je sens ton corps qui vit en moi,
Comment fais tu pour t’échapper,
Tu ne m’as pas laissé le choix.

Quand j’ai voulu te retenir,
Comme un lâche tu m’as quitté,
Sans aucun mot et sans soupir,
Tu es parti la retrouver.

Je suis femme et tu es homme,
Je porte en moi ton seul enfant,
Tu n’entends pas tu m’abandonnes,
Tu m’as tué en un instant.

Le silence est pire que tout
Le silence est pire que rien.

Lundi 25 mars 2013 à 22:52


Ce matin j’étais assise sur un banc,
Et je regardais les gens...
Les passants défilent dans les rues,
Ils marchent et se perdent.

Certains s’observent de loin.
Puis des regards se croisent furtivement,
Mais sans jamais se caresser des yeux.

Il semble que les gens se fuient,
s’évitent, ou bien s’ignorent.
Car lancés dans la course poursuite de leur existence,
Ils agissent tels des solitaires.

Et pourtant,
La foule est partout
Et l’autre fait partie du décor...

Dans leur esprit où mille pensées s’agitent,
Préoccupés par leur histoire personnelle,
Ils s’éclipsent du présent et deviennent des étrangers,
Qui voyagent à tous les temps.

Mais, parfois, une bousculade,
Un frottement de bras, une voix ou un cri,
Les ramènent à la réalité le temps d’un éclair.

Pour un instant ils réalisent qu’ils ne sont pas seuls.
Ces gens qui vont et viennent,
Pressés, soucieux,
Heureux ou malheureux,
Le regard fixe et déterminé ….

Où vont-ils ?
Ne vous êtes vous jamais interrogés en silence,
Sur ces inconnus croisés dans la rue au milieu de la foule ?

Ces gens, ces anonymes …
Ils sont nous, ils sont vous,
Ils sont toi, ils sont moi.

Quand je me promène au delà de l'existence,
Je croise aussi ces inconnus, ces anonymes.
Je ne vois pas leurs yeux ni leurs regards,
Mais j’entends leurs pensées, et je lis leurs mots.

Il n’y a pas de rue,
Mais des chemins magiques et imaginaires,
Des chemins choisis parsemés de mots et d’images.

Au fil des jours,
Il me semble les connaitre sans les connaitre vraiment …
leur présence devient chaque jour familière,
Et les moments de partage réchauffent les cœurs.

L’indifférence n’existe pas.
La complicité naît même parfois.
La solitude de certains est rompue.

Nous vivons une ère,
Où les émotions traversent les écrans d’ordinateurs,
Où les gens communiquent,
Ce qu’ils n’arrivent pas à communiquer ailleurs.

D’un côté les corps se croisent et ne se voient pas,
Et de l’autre, les coeurs ne se croisent pas mais se voient.

Le monde est fou !
Vous allez me dire mais c'est ainsi...

Lundi 25 mars 2013 à 19:19



Quand je ne serai plus là, lâchez-moi !
Laissez-moi partir,
Car j'ai tellement de choses à faire et à voir !
Ne pleurez pas en pensant à moi !

Soyez reconnaissants pour les belles années
Pendant lesquelles je vous ai donné mon amour !
Vous ne pouvez que deviner :
Le bonheur que vous m'avez apporté !

Je vous remercie pour l'amour que chacun m'a démontré !
Maintenant, il est temps pour moi de voyager seul....

Pendant un court moment vous pouvez avoir de la peine.
La confiance vous apportera réconfort et consolation.
Car nous ne serons séparés que pour quelques temps.

Laissez les souvenirs apaiser votre douleur !
Je ne suis pas loin et et la vie continue !
Si vous en avez besoin, appelez-moi et je viendrai !
Même si vous ne pouvez me voir ou me toucher, je sera là.

Et si vous écoutez votre cœur, vous sentirez clairement
La douceur de l'amour que j'apporterai !
Quand il sera temps pour vous de partir,
Je serai là pour vous accueillir.

Absent de mon corps, présent avec Dieu !
N'allez pas sur ma tombe pour pleurer !
Je ne suis pas là, je ne dors pas.

Je suis les mille vents qui soufflent,
Je suis le scintillement des cristaux de neige,
Je suis la lumière qui traverse les champs de blé,
Je suis la douce pluie d'automne,
Je suis l'éveil des oiseaux dans le calme du matin,
Je suis l'étoile qui brille dans la nuit !

N'allez pas sur ma tombe pour pleurer
Je ne suis pas là, je ne suis pas mort...

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