Tu n’as pas besoin, d’être le plus grand ou le plus rapide, d’être le plus intelligent, ou le plus intrépide. Pas besoin d’être le plus beau, le plus vif ou le meilleur. Tu battras tous les records, si tu parles avec ton Cœur.

Jeudi 29 septembre 2011 à 23:57

J'ai un profond respect,
Des dates anniversaires,
Ces portes,
Que le temps dispose,
Autour de nous,
Pour ouvrir un instant,
Nos coeurs à ses mystères,
Et permettre au passé,
De voyager vers nous. 

Les souvenirs,
Sont nos forces,
Quand la nuit essaie,
De revenir,
Il faut allumer,
Les grandes dates,
Comme,
On allume des flambeaux. 

Si on oublie,
De te souhaiter ton anniversaire,
C'est,
Qu'on ne te voit pas vieillir,
Car les années,
N'ont pas de prises sur toi. 

C'est pour cela,
Que je tiens à te souhaiter,
Un Joyeux Anniversaire,
Tout en couleur.

 Tu peux le célébrer,
Sans craintes,
Alors amuse toi bien,

Et encore BON ANNIVERSAIRE. 

Gros Bisous 

Mercredi 28 septembre 2011 à 21:57

La vie est belle,
Mais elle n'est pas éternelle,
Elle est comme une fleur,
Qui rayonne de bonheur. 

Mais petit à petit,
Elle se meurt,
Mais il suffit d'ouvrir son coeur,
Pour pouvoir en profiter. 

Car demain,
C'est peut-être,
Vous qui vous fannerez,
Alors ne perdez pas une seconde,
Goûter à ce que vous offre le monde

Mercredi 28 septembre 2011 à 21:43

J’aurais pu me noyer dans l’uniformité,
Pour être inaperçu dans cette réalité,
Afin que les regards ne se posent pas sur moi,
Et que ma disparition ne fasse pas d’émoi. 

J’aurais pu ne pas combattre ma timidité,
Et rester recroqueviller dans ma grande tranchée,
Pour que les tirs de déchirement ne m’atteignent pas,
Et que les obus de peur ne sonnent pas mon glas. 

Et pour autant, je fais partie de sa longue liste,
Celle écrite avec l’encre individualiste,
Qui grave dans le marbre le caractère et l’esprit,
Façonnant cette indifférence et ce mépris. 

Mourir comme un inconnu, c’est ce qui m’attend !
Je ne suis donc pas, à ce point, intéressant !
Moi qui croyais à toute cette solidarité,
Si seulement vous aviez voulu me regarder.

Mercredi 28 septembre 2011 à 21:40

J'écris et cris,
L'écrit est un combat,
L'écriture est ma raison,
J'écris pour être,
J'écris pour vous. 

J'écris pour exister,
Il s'agit d'exister sans but,
D'exister sans plus,
Si je peux m'exprimer ainsi. 

Exister sans attendre,
Sans même une demande,
Sans recherche particulière,
Dans la simple délectation,
De sa propre présence.

Mercredi 28 septembre 2011 à 21:37

A l'intérieur de moi,
Deux petites voix
L'une dit: à quoi bon?
A quoi ça sert tout ça?
Faut que ça s'arrête! 

Et l'autre dit: ah ! que c'est bon La Vie,
Quelle merveille,
Quelle joie
Chaque jour est nouveau,
Chaque jour nous étonne. 

Quand la première prend le dessus,
Je m'enlise.
Quand la seconde triomphe,
Tout devient simple et facile.

Mercredi 28 septembre 2011 à 21:35

J'aimerais me cacher là.
Attendre.
Entendre le vent souffler.
Entendre le bois craquer.
Enveloppée dans un cocon tout chaud,

Attendre.
Entendre les cloches sonner au loin,
Répondre à toutes les cloches du monde.
Entendre les douze coups de minuit.
Surtout attendre.

Entendre les branches del'arbre tout près,
Chuchoter que c'est fini.
Terminé.

Se pencher doucement à la fenêtre.
Regarder.
S'étonner, et s'émerveiller de la Vie !

Mercredi 28 septembre 2011 à 21:32

Dédiés à tous les PAPAS

 Mon Père aimé,
Mon Père à moi,
Toi qui me faisais bondir sur tes genoux,
Comme un chamois. 

Que pourrais-je Te dire,
Que tu ne sais déjà ?
Il faisait si doux,
Quand ton sourire éclairait tout,
Tout sous notre toit. 

Avec toi,
Je me sentais forte,
Je me sentais reine,
Surtout,
Quand je marchais,
A côté de Toi.

Mercredi 28 septembre 2011 à 21:30

Je ne sais pas où va notre chemin,
Mais je marche mieux,
Quand ma main est dans la tienne. 

Je ne sais pas où va mon destin,
Mais je marche mieux,
Quand ton âme est près de la mienne. 

Cette vie c'est la mienne,
Cette vie est la tienne,
Elle nous appartient,
Jusqu'au bout du chemin.

Mercredi 28 septembre 2011 à 21:23

Je ne veux plus perdre mes doigts,
Dans les bagarres de la vie,
Je les garde pour les caresses,
Et saisir le fil de « soi »,
Avec lequel nous tissons toi et moi,
Le hamac de nos jours et de nos nuits. 

J'ai refait mon maquillage,
Dans le miroir de l'amour,
Je sais que les portes,
Ne suffisent pas,
A faire oublier les murs. 

Je préfère les poignées de mains,
A celles des portes,
Pour ouvrir l'espoir. 

Les fleurs sur les papiers peints,
Ne font pas le printemps,
Mes genoux,
Sont les gonds de mes pas. 

Je n'ai pas attendu l'arthrose des regrets,
Pour courir vers mes émois,
L'envers du mensonge est-il la vérité ? 

Je n'ai pas attendu demain,
Pour chercher la réponse,
Et curieusement,
C'est en moi que je l'ai trouvée. 

Mes baillons sont tes baisers,
Ils étouffent mes cris de honte,
Ceux d'appartenir malgré moi,

A un monde d'oppression et de violence,
Qui ne jure plus de rien,
Sinon l'injure et le parjure. 

J'ai tressé mon échelle de corde,
Dans l'abîme des hommes,
Il reste tant de place,
Sur mon arche nommée "bonheur".

 Ce n'est pas,
Sur un rayon de kérosène,
Que la vitesse de la pensée,
Atteindra celle des rêves.

Mercredi 28 septembre 2011 à 21:21

Aujourd'hui,
Trop de choses,
Se bousculent dans ma tête,
Pas moyen de mettre de l'ordre. 

Si j'écris,
C'est disons pour ouvrir une porte,
Mais le plus curieux,
C'est que j'ignore,
A quel moment se fait cette ouverture ! 

D'ailleurs ce qui se lève,
C'est peut-être un rideau,
Sur le passé,
Sur le présent,
Mais surtout sur l'avenir.

<< Page précédente | 1 | Page suivante >>

Créer un podcast