Tu n’as pas besoin, d’être le plus grand ou le plus rapide, d’être le plus intelligent, ou le plus intrépide. Pas besoin d’être le plus beau, le plus vif ou le meilleur. Tu battras tous les records, si tu parles avec ton Cœur.

Mardi 28 septembre 2010 à 16:52

Venez entendre le doux chant de l'alouette,
Qui du haut de son arbre perché,
Chante le renouveau du passé.

La nature rit,
La nature chante,
Toute personne sachant l'écouter,
Découvrira ses milles secrets.

Venez humez la terre,
Venez découvrir ses couleurs,
Ainsi comme dans un tableau de grands maîtres,
Celle - ci demeurera dans l'éternité.

Mercredi 22 septembre 2010 à 16:50

Belle fermez vos yeux,
Voici votre amoureux,
Dont les lèvres fidèles,
Brulent de déposer,
Un bien tendre baiser,
Sur le satin,
Le satin de vos oules.

Une fauvette avait dit-on,
Un amoureux dans le village,
Mais adroite comme jamais,
Chacun la croyait sage.

Pourtant une jeune rime,
Dans le nid avec cette duchesse,
Bien souvent lever le rideau,
En lui chantant ma mignonnette.

Un matin le galand moineau,
Alla conter l'aventure,
Au chevreuil très feingnant,
Entreprenant de sa nature,
Il profita de l'obscurité.

Quand fut tombé le crépuscule,
A son tour, à cette beauté,
Le chevreuil chanta sans scrupules.

Mais un moine remplit d'espoir,
Un soir qu'il rêvait à la lune,
Entendant la chanson se dit :

Là, ma foi, l'heure est importune,
Empruntant sa plus belle voix,
Le lendemain chez la brunette,
Il lui dit d'un simple mot,
Je t'aime.

Samedi 11 septembre 2010 à 16:49

Pour Toi, mon aimée,
Aux amoureuses caresses,
Souvent, j'ai pleuré,
Au souvenir des ivresses.

Mais hélas, tout est passé,
La vie telle une ombre,
Souvent j'ai pleuré,
Après avoir été sobre.

Je ne crois plus à l'amour,
Je fuïs à coeur aimé,
Tu m'a fait malheureux en ce jour,
Souvent j'ai pleuré.

J'irai de par le monde,
Insensible aux beautés,
Menant une vie vagabonde,
Car j'ai trop pleuré

Vendredi 3 septembre 2010 à 16:48

Mon voisin par la nuit douce,
N'auriez-vous pas rencontré,
Un baiser couleur de rose,
Qui dans l'air s'est égaré,
Sous les ailes de la brise,
Il s'est envolé vers vous. 

J'en trembles encore de surprise,
C'était un baiser si doux,
C'est par la fenêtre,
Qu'il a fui peut-être,
Pour aller joyeux,
Vers les pays bleus. 

Brise vagabonde,
Parcourant le monde,
Quand me rendras-tu,
Mon baiser perdu. 

Un beau soir au clair de lune,
J'ai vu rôder près d'ici,
Un lutin cherchant fortune,
Marchandeur que rien ne lasse,
Cherchant les fruits défendus,
On prétend qu'il fait la chasse,
A tous nos baisers perdus. 

J'avais entre-ouvert à peine,
La fenêtre du balcon,
Que le voilà par la plaine,
Voltigeant comme un gai papillon,
Par la soirée prinptannière.

 Que de baisers tous les jours,
Font l'école buissonnière,
Par les chemins des Amours.
Mais qui vient,
Frapper de l'aile,
A ma vitre vint le jour,
Est-ce dejà l'hirondelle.

 Non voisin, c'est l'amour,
Qui vous offre quelque chose,
Du bout de ses petits doigts,
C'est un joli baiser rose,
Qu'il a trouvé dans les bois. 

Sur mes lèvres roses,
Fraiches et demies closes,
Un gentil baiser vient ici se poser,
Sous cette caresse,
J'ai frémis d'ivresse,
Car j'ai reconnu,
Mon baiser perdu.

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