Tu n’as pas besoin, d’être le plus grand ou le plus rapide, d’être le plus intelligent, ou le plus intrépide. Pas besoin d’être le plus beau, le plus vif ou le meilleur. Tu battras tous les records, si tu parles avec ton Cœur.

Mercredi 28 juillet 2010 à 16:42


C'était te souviens tu,

Un soir d'automne,
Tu fredonnais une chanson,
Une chanson un peu monotone.  
Je remarquais ton rire moqueur,
Un rire que je désire,
Et je laissais un peu de mon coeur,
Après ton rire.
C'était te souviens-tu,
Un beau dimanche,
Je t'emmenais à Robinson,
En robe blanche,
Que de baisers et que d'amour.
Joyeux délire....
Je me suis grisée tout un jour,
De ton faux rire.
C'était te souviens-tu,
Un soir d'orage,
Une querelle sans raison,
Te mis en rage.
Puis brusquement sans un regret,
Sans rien me dire,
Tu partis....
Et moi je pleurais,
Va, tu n'auras rien à me dire,
Et crois-le pour te rassurer,
Je te promets de ne pas rire,
Si parfois je te vois pleurer.

Lundi 12 juillet 2010 à 16:37

Pourquoi bouder ainsi méchante,
Et détourner tes yeux des miens,
Qu'ai-je fais qui te mécontente ?
J'ai beau chercher je ne vois rien.
Veux tu bien vite me sourire,
Mignonne, racommondons-nous,
Ne fuis pas ma main qui t'attire,
Viens te blottir sur mes genoux.
Donne moi ta lèvre,
Ta lèvre rose,
Et amoureusement ma lèvre s'y pose,
Et qui étroitement tout deux enlacés,
Nos querelles sont querelles de baisers.
Tu tressailles sous mes caresses,
De si voluptueux frissons,
Que pour avoir pareilles ivresses,
Debroullions-nous, recommençons.
Mignonne, fais encore la moue,
Boude un peu encore,
Car c'est avec grand plaisir, je l'avoue,
Qu'après j'obtiens ton pardon.
Donne moi ta lèvre rose,
Qu'amoureusement ma lèvre s'y pose,
Et qu'éperduement tous les deux enlacés,
Nos querelles finissent par des baisers.

Vendredi 9 juillet 2010 à 16:36

 

Ohhh ... mon front brule et mon âme est glacée, 
FATALITE, je sents ta main de fer,
Mon esprit succombe à la même pensée,
Et me fais souffrir dans les tourments de l'enfer.
Et toi saura tu pardonner l'injure,
Car ta fierté va s'unir ou mourrir,
Tu vis encore quand l'amante parjure,
Tu ecris ses mots "je ne vous aime pas".
Pitié mon Dieu, vois la souffrance,
Qui jour et nuit brise mon coeur,
Fais moi mourrir car l'espérance,
S'est éteinte avec mon bonheur.
Malheur à toi, ravisseur de ma flamme,
Le desespoir déborde menacant,
L'amour froissé va diriger sa lame,
Mais quand viendra l'heure silencieuse,
Rappelle toi femme capricieuse,
Les doux serments que tu me fis.
Mes doux yeux brulent encore une larme,
Fais moi démon qui me pousse du mal,
Jamais mon coeur n'a affronter sa haine
La seule hélas,
Qui coule en toi,
Je la réclame afin qu'elle désarme,
Le dieu vengeur irrité contre moi.

 

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