Je veux vous aimer, oh ! la douce chose,
Et seul, à l'abri de tous les indiscrets,
Je voudrais m'approcher de vos lèvres roses,
Et y déposer mes plus ardents baisers.
Ensuite, je voudrais vous tenir enlacée,
Fredonner à vos oreilles ma chanson d'amour,
Et dans mes bras fermés, tendrement bercés,
Admirer vos yeux et vous adorer toujours.
Hélas ! Pourquoi n'est-ce-que chimère ?
Et votre coeur nerait-il insensible à ma souffrance ?
Et pourtant, souvent, je fais de beaux rêves,
Et me souriez de me voir en extase.
Vous vous penchez vers moi,
Votre visage semble vouloir me dire,
Espérance,
Apportant un peu de quiétude à mon âme,
Et consolant un peu :
Qui vous aime.