Les larmes sont une sorte d'oiseaux,
Qui habitent le cœur des êtres.
Quelquefois,
Elles apparaissent en bande,
Souvent ce n'est qu'une seule,
Qui prend son envolée,
Pour se poser sur le bord d'une paupière.
En s'envolant de nous,
Ces oiseaux-larmes entraînent :
Comme des peines sous leurs ailes,
La douleur qui rend le coeur,
Si lourd et si dur à porter.
Mais pour se rendre jusqu'à nos yeux,
D'où ils s'échappent,
Ils doivent lutter contre les vents de l'indifférence,
Et contre ceux de l'orgueil :
Ceux-là qui quelquefois,
Attrapent les oiseaux dans un grand filet,
Au centre de la gorge.
Ne capturons jamais d'oiseaux-larmes,
Car ce sont des messages du monde,
Ceux sont ceux de notre cœur,
Ils ont quelque chose à dire,
A montrer aux autres.
Les oiseaux-larmes chantent la beauté de notre être.
Lorsqu'une larme jaillit des yeux d'un être,
Pour se laisser glisser sur une joue,
Cueillez-la d'un baiser,
Elle donnera à vos lèvres des paroles d'amour.
Qui habitent le cœur des êtres.
Quelquefois,
Elles apparaissent en bande,
Souvent ce n'est qu'une seule,
Qui prend son envolée,
Pour se poser sur le bord d'une paupière.
En s'envolant de nous,
Ces oiseaux-larmes entraînent :
Comme des peines sous leurs ailes,
La douleur qui rend le coeur,
Si lourd et si dur à porter.
Mais pour se rendre jusqu'à nos yeux,
D'où ils s'échappent,
Ils doivent lutter contre les vents de l'indifférence,
Et contre ceux de l'orgueil :
Ceux-là qui quelquefois,
Attrapent les oiseaux dans un grand filet,
Au centre de la gorge.
Ne capturons jamais d'oiseaux-larmes,
Car ce sont des messages du monde,
Ceux sont ceux de notre cœur,
Ils ont quelque chose à dire,
A montrer aux autres.
Les oiseaux-larmes chantent la beauté de notre être.
Lorsqu'une larme jaillit des yeux d'un être,
Pour se laisser glisser sur une joue,
Cueillez-la d'un baiser,
Elle donnera à vos lèvres des paroles d'amour.