Tu n’as pas besoin, d’être le plus grand ou le plus rapide, d’être le plus intelligent, ou le plus intrépide. Pas besoin d’être le plus beau, le plus vif ou le meilleur. Tu battras tous les records, si tu parles avec ton Cœur.

Vendredi 27 janvier 2012 à 15:18

Autour de nous le vent hurle,
Tout s'emballe, se tort, s'envole,
Les vagues s'écrasent en furie,
Je suis dans tes bras à l'abri. 

Pour un moment câlin,
Pour un moment serein,
Toi & Moi,
Main dans la main,
Affrontons nos lendemains.

Vendredi 27 janvier 2012 à 15:00

Il est...
Des rencontres magiques,
Qui surgissent dans notre vie sans prévenir. 

Il est...
Des rencontres qui ont un caractère magique,
Par la qualité de ce qu'elle révèlent,
En nous-même, ou chez l'autre. 

Il est...
Des rencontres qui nous appellent,
Au plus profond de notre être,
Du plus lointain de notre histoire. 

Il est...
Des rencontres qui éclaireront notre parcours de vie,
D'une lumière plus vive,
D'une lumière plus féconde. 

Je souhaite à chacun,
De pouvoir accueillir l'une de ces rencontres,
Si elle fait irruption dans sa vie,
Et de s'y abandonner de tout son cœur.

Vendredi 27 janvier 2012 à 14:37

Certains disent que l’amour est une rivière,
Qui submerge le roseau fragile,
Certains disent que l’amour est une lame,
Qui fait saigner votre âme,
Certains disent que l’amour est un désir ardent,
Un besoin qui fait souffrir sans cesse,
Moi je dis que l’amour est une fleur,
Et toi son unique graine. 

C’est un coeur qui a peur d’être blessé,
Qui n’apprend jamais à danser,
C’est un rêve qui a peur de prendre fin,
Qui ne saisit jamais sa chance,
C’est celui qui a peur de se laisser aller,
Qui ne semble pouvoir donner,
Et une âme qui a peur de mourir
Qui n’apprend jamais à vivre. 

Quand la nuit a été emplie de solitude,
Et que la route a été trop longue,
Et que tu penses que l’amour n’est fait que,
Pour ceux qui ont de la chance et qui sont forts,
Souviens-toi simplement qu’en hiver,
Sous la neige glaciale,
Repose cette graine qui grâce à l’amour du soleil,
Devient une rose au printemps.

Vendredi 27 janvier 2012 à 14:02

L' amour est comme un long couloir,
Ou parfois il fait bien noir,
Les portes restent closes,
On espère tellement de choses. 

Parfois les portes s'ouvrent,
Et la lumière apparaît,
Est c'est seulement à ce moment,
Que notre coeur renaît.

Vendredi 27 janvier 2012 à 13:58

La peur de la mort,
Est le dernier obstacle,
Cachant la peur de l’amour,
Car l’esprit regarde le rien,
Et l’appelle “quelque chose”,
Pour se garder de percevoir,
Ce que lui-même ignore.

 Chaque peur est la peur de l’amour,
Puisque découvrir la vérité de toute chose,
C’est découvrir qu’il n’y a personne,
Pas de “faiseur,” pas de moi. 

Pour créer la souffrance,
Ou pour s’identifier à quoi que ce soit.
Sans rien de tout ça,
Il n’y a plus que l’amour. 

Si vous voyez vraiment,
Quel miracle le travail intérieur,
Est pour vous,
Vous finirez par vous réjouir,
Du pire qui puisse arriver,
Parce que vous ne trouverez plus,
Un seul problème qui ne puisse être résolu de l’intérieur. 

Le mystère, c’est d’avoir jamais pu penser,
Qu’il y avait un problème,
Jamais,
C’est le paradis retrouvé. 

En résumé :
Pour aimer il faut être libre,
Et pour être libre, il ne faut pas avoir peur.

Vendredi 27 janvier 2012 à 13:43

Même si tu es dans un autre pays
Pendant que moi, je suis seule ici
Regarde au firmament cette étoile briller
C'est toi et moi enlacés
Cette étoile restera toujours dans le ciel
Comme notre amour, elle est éternelle
Tu ne pourras jamais m'oublier
Car elle sera toujours là pour te rappeler
Qu'ici dans mon pays
Il y a un cœur qui ne bat que pour toi
Pareil à cette étoile, nos yeux brilleront
Le jour ou tout les deux,
Enfin nous nous retrouverons

 

Je t'aime.

Vendredi 27 janvier 2012 à 13:35

Lorsqu'un verre,
Ou une assiette tombe par terre,
Il s'écrase avec un fracas,
A réveiller les morts. 

Lorsqu'une vitre éclate,
Qu'un cadre se décroche d'un mur,
Cela produit un bruit horrible.
Mais lorsque votre coeur se brise,
Il le fait dans un silence complet. 

On pourrait penser,
Vu la portée de l'évènement,
Qu'il produirait,
Un vacarme stupéfiant,
Ou même un son bien à lui,
Un timbre grandiose,
Comme un gong ou un petit bip. 

Bien au contraire : le silence est assourdissant,
Et rien ne vient vous distraire de la douleur.
Si bruit il y a, Il reste enseveli,
Au plus profond de vous. 

Votre coeur hurle mais personne ne l'entend,
Personne à part son propriétaire,
Il hurle si fort qu'il vous perce les tympans,
Voir même il vous vrille le crâne. 

Il se débat dans votre poitrine,
Cogne de toutes ses forces,
Rugit même de colère.
Voilà ce qu'évoque un coeur brisé :
Un animal pris au piège, épouvanté, ligoté, prisonnier de ses émotions. 

L'amour, ce sentiment qui n'épargne personne,
Peut se révéler aussi douloureux,
Qu'une plaie à vif rongée par l'eau de mer.
A l'intérieur, le chaos ;
Tout autour, le calme trompeur.

Vendredi 27 janvier 2012 à 13:15

A la sainte union de deux fidèles âmes
Je n’admets point d’obstacle : amour n’est pas amour
S’il varie en voyant varier l’autre flamme,
Non plus que, délaissé, il délaisse à son tour. 

Oh non ! C’est une marque à jamais établie ;
Témoin de la tempête, il n’est point ébranlé ;
C’est l’astre où toute barque errante se rallie :
On en prend la hauteur, ignorant son effet. 

Il n’est le fol du Temps, si jour et lèvres rouges
Dans l’aire de sa faux un jour doivent tomber ;
Heures brèves et mois en leur cours ne le bougent :
Jusqu’au bord du trépas il demeure inchangé.
Si l’on me peut prouver que je me suis trompé,
Je n’ai jamais écrit, nul n’a jamais aimé.

Mercredi 5 octobre 2011 à 23:06

Qu'il est doux,
Troublant, enivrant,
D'aimer passionnément,
D'un amour absolu,
Qui dévore le cœur! 

De suspendre son âme,
Au sourire d'un magicien,
De fondre sous la douceur,
De sa voix qui murmure,
Les mots tendres. 

De se noyer dans son regard,
Et de s'y voir belle, si belle,
Que le monde soudain,
Devient beau lui aussi. 

De s'abandonner,
Sans peur, sans pudeur,
Dans la chaleur de ses bras,
De se sentir mourir,
Sous la caresse de ses mains,
Qui amène les nuits,
Au portes du paradis,
Et d'oublier,
Dans un baiser,
La tristesse de la vie.

Mercredi 5 octobre 2011 à 23:02

Dans la douceur du printemps,
Naît la saison de l'amour,
C'est un coeur qui s'emballe,
Dans la pureté d'un regard,
C'est une envie de rire,
De courir à deux au hasard,
C'est un bonheur fou,
Partagé par l'autre chaque jour

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