Tu n’as pas besoin, d’être le plus grand ou le plus rapide, d’être le plus intelligent, ou le plus intrépide. Pas besoin d’être le plus beau, le plus vif ou le meilleur. Tu battras tous les records, si tu parles avec ton Cœur.

Vendredi 27 janvier 2012 à 20:21

Ce sentiment est tellement beau
Quand il forme ce petit mot. 

Il représente le bonheur,
Celui pour qui l'on vit ou meurt 

La satisfaction d'exister
Et celle de se sentir aimer. 

Savoir qu'une femme pense à toi
Me donne un but et tant de joie. 

Quel but peut être plus honorable
Que de faire le bonheur d'une femme, 

Que de savoir se faire aimer
Et de vivre pour ses pensées. 

L'Amour ce simple petit mot,
A la fois si noble et si beau 

Quand il possède sa vérité
Basée sur les sentiments vrais: 

La confiance, la fidélité.
On ne peut trouver le bonheur 

Qu'avec de l'Amour dans le coeur,
Amour que l'on doit partager 
Avec l'homme ou la femme aimée.

Vendredi 27 janvier 2012 à 20:17

Poète d'amour, au coeur heureux
Poète de tristesse, au coeur malheureux
Poète de fiction, au coeur rêveur
Poète de la vie, au coeur sans peur. 

Tous parlent de la même manière
Tous vivent dans un même monde sans frontière
Tous regardent le monde d'une autre façon
Tous écrivent les mots de passion 

Mais eux seuls aiment les choses cachées de la vie
Mais eux seuls respirent le plus bel air sans soucis
Mais eux seuls regardent du plus bel oeil les milles couleurs
Mais eux seuls meurent de la plus gracieuse mort,
Celle de leur profondeur 

Ecriture qui a fait verser des larmes
Ecriture qui a fait transporter au-delà les âmes
Ecriture qui a réveillé les coeurs les plus durs
Ecriture qui a fermé et ouvert des blessures.

Vendredi 27 janvier 2012 à 19:17

Regarde à l'intérieur de mon cœur,
Dans le revers, sous la couture.
Se cache le délicat fil d'un bonheur,
Qui te mènera vers l'amour pur. 

Toi qui le tiens de tes doigts habiles,
Sache qu'il m'est très précieux.
C'est un lien à la matière fragile,
Le nerf qui fait briller mes yeux. 

Alors, qu'il parcourir ta dentelle,
Et sous l'épiderme d'élégance.
Tu accrocheras à ce bout de ficelle,
La raison de ton existence. 

Ainsi, ton cœur sera cousu au mien,
Nos vies se seront liées.
Par le désir de n'être plus qu'un,
Sur le fil des années.

Vendredi 27 janvier 2012 à 19:13

Parfois à marée basses,
Ont découvre des cœurs,
Échoués sur la plage,
Sec et couvert de sable,
Vestige d’un amour tragique,
À rendre leurs derniers souffles,
Comme certains animaux. 

Parfois aussi,
Une main tendre,
Et d’une douceur extrême,
Remet un cœur à l’eau,
Sur cet océan qu’est la vie. 

Puis,
Le soir ont peut entendre au loin,
Ces chants étranges des cœurs,
Revenir a la vie.

Vendredi 27 janvier 2012 à 19:10

Il secoue avec zèle,
L'arbre du bonheur.
Mais son escarcelle,
Epouse sa maigreur. 

L'homme désabusé,
Regarde vers le ciel.
Cherche le sommet,
Du paradis artificiel. 

Un ange s'approche,
Intrigué par ce fait.
Sors de sa sacoche,
Le cadeau d'une fée. 

Une pomme d'amour,
Tombe sur le bougre.
Elle lui danse autour,
Et s'envole en poudre. 

Ce fruit si tentateur,
Qui donnait tant faim.
Ne trouvait de saveur,
Qu'au pays des lutins. 

Moralité :

Un arbre du bonheur,
N'est point bananier.
Pour nourrir ardeurs,
Mieux vaut la réalité !

Vendredi 27 janvier 2012 à 19:07

Ils se parlent en sourires,
Personne ne peut s'imaginer.
Que leurs corps se désirent,
Dans ce lieu inapproprié. 

Il sert sa main, se mord,
Pour résister à cette envie.
De la prendre sans confort,
Sous leurs yeux ébahis. 

D’une morale impudique,
Il va s’affranchir de sa jupe.
Ses doigts se feront déclic,
Pour un rodéo de dupe. 

La présence de tiers excite,
Ils sauront masquer ce plaisir.
Eux, ne sont exhibitionnistes,
Mais souhaitent s'en offrir. 

De crispation en jouissance,
Son visage va se transformer.
Des spasmes en rare violence,
Le plaisir de la perversité. 

Il va la sentir partir si loin,
Que s'arrêter ici serait criminel.
Pas de mal à lui donner ce bien,
C’est la route du 7ème ciel. 

Après, ils éclateront de rire,
Personne ne pourra s’imaginer.
Qu'un corps est venu jouir,
Juste là, devant leur nez. 

Les bancs des jardins publics,
Cachent des amoureux écervelés.
Qui afficheront sourires sadiques,
Pour les âmes esseulées.

Vendredi 27 janvier 2012 à 19:04

Sourire, toujours sourire,
Ne rien laisser paraître
Les soucis, les ennuis,
Il faut en rester maître..... 

On n'ose pas en parler,
Peut-être par timidité
Où par simple discrétion.
On a peur de déranger
N'est-ce point un peu par fierté
Que d'être heureux nous feignons?..... 

Alors faut-il se résigner
Et abandonner
Ce rêve tant désiré
Non, d'autres essais je ferai
Sans me décourager, jamais.....

Vendredi 27 janvier 2012 à 18:28

Sourire, toujours sourire,
Ne rien laisser paraître
Les soucis, les ennuis,
Il faut en rester maître..... 

On n'ose pas en parler,
Peut-être par timidité
Où par simple discrétion.
On a peur de déranger
N'est-ce point un peu par fierté
Que d'être heureux nous feignons?..... 

Alors faut-il se résigner
Et abandonner
Ce rêve tant désiré
Non, d'autres essais je ferai
Sans me décourager, jamais.....

Vendredi 27 janvier 2012 à 15:55

Se voir le plus possible et s'aimer seulement,
Sans ruse et sans détours, sans honte ni mensonge,
Sans qu'un désir nous trompe, ou qu'un remords nous ronge,
Vivre à deux et donner son cœur à tout moment . 

Respecter sa pensée aussi loin qu'on y plonge,
Faire de son amour un jour au lieu d'un songe,
Et dans cette clarté respirer librement
Ainsi respirait t-elle et chantait son amant.

 Vous dont chaque pas touche à la grâce suprême,
C'est vous, la tête en fleurs, qu'on croirait sans souci,
C'est vous qui me disiez qu'il faut aimer ainsi. 

Et c'est moi, vieil enfant du doute et du blasphème,
Qui vous écoute, et pense, et vous réponds ceci :
Oui, l'on vit autrement, mais c'est ainsi qu'on aime.

Vendredi 27 janvier 2012 à 15:52

Elle se travaille avec le temps,
Car tout ce que vous avez vécu,
Même les moments les plus difficiles,
Peuvent devenir une source,
D’enrichissement et de joie. 

Rien, en effet,
N’arrive pour rien,
Tout a un sens,
Mais c’est à vous de le trouver. 

Au moment où vous éprouvez,
Une souffrance de quelque nature que ce soit,
Que votre pensée ne reste pas fixée sur elle-même,
Ligotée la à elle-même !
Projetez-la dans le futur,
En vous disant que bientôt,
Vous aurez oublié ce qui vous fait,
Maintenant tant de mal. 

Et si il vous est impossible de l’oublier,
Pensez à demain,
Vous verrez tout celà,
Sous un autre jour. 

Quand on sait combien,
Nos états intérieurs peuvent se modifier,
Avec le temps,
On en tire des leçons.

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