Monrecueilmagiquedepoesie

La vie c'est,
Frémir... Assouvir... Offrir.
C'est Aimer... Désirer... Partager.
C'est ressentir,
Sans se mentir,
C'est jamais oublier,
Mais toujours espérer.

Elle est la somme d'une multitude,
De petits brins ficelés,
Les uns aux autres. 

Entrelacés,
Chacun d'eux rend plus costaud,
Et plus performant,
Le plus faible des hommes, 

Car même si cette journée,
N'a pas été comme vous le souhaitez,
Faites confiance à cette main qui vous est tendue,
Et souriez à la vie,
A votre Vie....

Chacun de nous est un chemin,
Ce qui est demandé à l'un,
N'est pas demandé à l'autre,
On ne demande pas à un pommier,
De faire des figues,
On demande à un pommier,
De donner des pommes,
Au figuier de donner des figues. 

La seule chose qui nous est demandée,
Et que demande la Vie en nous,
C'est de produire nos propres fruits,
Les fruits de notre propre sève,
Le chant de notre propre cœur,
La marche de notre propre Vie. 

On fait souvent de nous des arbres artificiels,
Un peu comme les sapins de Noël,
Nous ne donnons alors pas les fruits de notre arbre,
Mais d'autres fruits,
Des fruits qui viennent d’ailleurs. 

Ils sont certes brillants,
Appétissants et beaux à voir,
Mais ils manquent,
De sève et de saveur. 

Il nous arrive ainsi,
D'en avoir assez,
D'être un sapin de Noël,
Et de vouloir être enfin,
Un arbre bien planté en terre,
Pour porter enfin nos fleurs,
Et donner nos propres fruits,
Ces fruits qui seront tournés vers la lumière. 

Pour cela, Il nous suffit de savoir,
Quelle est notre manière propre,
D'incarner la vie, l'amour, la passion....
À chacun de devenir le nom,
Le secret qu'il est,
De révéler cette forme particulière que prend l’être,
La Vie en lui. 

Chacun de nous est un chemin unique,
Celui que prend l’Amour,
Pour éclairer le monde,
Chacun de nous est une forme unique,
Particulière que prend la Vie pour éclairer la terre.

Sans toi la vie me parait impossible
Mon coeur m'a murmurerais,
Regarde le, c'est lui :
Lui que tu aimeras toute ta vie. 

Je ne savais que dire...
Je savais que tu ne me regarderais jamais,
Mais j'ai continué à t'aimer.
Je ne veux pas te perdre au milieu de ce monde,
Ou la vie est parfois bien courte. 

Si aujourd'hui je t'écris ce poème,
C'est avant tout pour te dire a quel point je t'aime.
Je n'y peux rien car je n'es pas su contrôlais mon coeur.
Ta personnalité me plaît, tu me plaît, 

Et parfois ta timidité revient alors.
As tu réussi a l'oublier,
Moi cette chose qui détruit ma vie elle,
Ne s'en ira jamais. 

Elle fait partie de moi,
Et m'empêche de te crier
Cette phrase qui me torture chaque jour,
Cette phrase c'est Mon Amour je t'aime.

Si je pouvais...
Attraper un arc-en-ciel,
Je le ferais juste pour toi.
Je partagerais ainsi,
Avec toi sa beauté. 

Si je pouvais...
Je construirais une montagne,
Que tu pourrais considérer,
Comme ta propriété. 

Si je pouvais...
Je te donnerais,
Un endroit où trouver la sérénité
Un endroit où l'on peut être seul. 

Si je pouvais....
Prendre tes problèmes,
Je les jetterais à la mer. 

Mais je me rends compte,
Que toutes ces choses sont impossibles pour moi :
Je ne peux pas construire une montagne,
Ni prendre un arc-en-ciel lumineux. 

Mais laisse-moi juste être,
Ce que je sais faire le mieux :
C'est-à-dire,
Un ami toujours présent,
Sur qui tu peux compter.

Ne regrette jamais,
D'avoir connu une personne dans ta vie,
Car les bonnes personnes
Te donnent du bonheur. 

Les mauvaises personnes elles,
Te donnent de l'expérience
Et les plus méchantes personnes
Te donnent une leçon.
 

Dans tous les cas,
Tu gagnes quelque chose,
Et tu ne peux jamais être perdant,
Car dans la vie tant que tu apprends,
Tu es gagnant.

La non violence,
Est une arme puissante et juste,
Elle tranche sans blesser,
Et annoblit l'homme qui la manie. 

La non violence,
Est avant tout,
Et pour toujours,
Une épée qui guérit.

A  toi je les dédies,
Les bisous du lundi. 

Ils sont déjà partis.
Ceux qui égayaient mardi. 

Si câlins, si gentils,
Sont ceux du mercredi. 

Attends je les écris,
Les bisous du jeudi. 

Remplis de poésie,
Pour ceux de vendredi. 

Déjà tu me souris,
Voila ceux de sam'di. 

C'est un vrai jour de chance,
Avec ceux de dimanche. 

Baisers d'une semaine,
Pour te dire je t'aime.

Et pour l'éternité,
Tu peux recommencer,
La ronde des baisers.

Dans le creux de ma vie,
Coule un ruisseau tranquille,
Je m'y laisse bercer,
Loin des bruits de la ville. 

Yeux clos et coeur en paix,
Je me sens si sereine,
J'imagine ta main,
Doucement dans la mienne.

Quand le soleil me caresse,
Je sais que c'est toi,
Qui pose ta main,
Sur mon épaule. 

Quand le vent souffle,
Je sais que c'est toi,
Qui ébouriffe mes cheveux. 

Quand la pluie tombe,
Je sais que c'est toi,
Qui ruisselle sur mon visage. 

Quand l'orage gronde,
Et que les éclaircies fendent le ciel,
Je sais que c'est toi,
Qui m'envoie un signe. 

Je n'ai qu'une seule chose à te dire :
Je t'Aime