Tu n’as pas besoin, d’être le plus grand ou le plus rapide, d’être le plus intelligent, ou le plus intrépide. Pas besoin d’être le plus beau, le plus vif ou le meilleur. Tu battras tous les records, si tu parles avec ton Cœur.

Dimanche 13 avril 2014 à 22:30

Parfois sans crier gare,
Comme par inadvertance,
Dans les moments les plus inattendus,
Mes pensées s'élancent vers toi.

Alors dans ces cas là,
Je n'essaie pas de les retenir,
Puisqu'elles volent et virevoltent,
Plus vite que le vent.

Dimanche 13 avril 2014 à 22:22

Au champ d'honneur,
Les coquelicots sont parsemés de lot en lot.
Auprès des croix, et dans l'espace,
Les alouettes devenues lasses,
Mêlent leurs chants,
Au sifflement des obusiers.

Nous sommes morts !!!
Nous qui songions la veille encore,
À nos parents, à nos amis,
C'est nous qui reposons ici,
Au champ d'honneur...

À vous jeunes désabusés,
À vous de porter l'oriflamme
Et de garder au fond de l'âme
Le goût de vivre en liberté.

Acceptez le défi,
Sinon Les coquelicots se faneront
Au champ d'honneur.

Dimanche 13 avril 2014 à 22:17

Si je t'agresse,
Appelle le 17.

Si je te blesse,
Appelle le 15.

Si je t'allume,
Appelle le 18.

Et si je te manque ?
Et bien dans ce cas :
Appelle moi !!!

Mercredi 19 mars 2014 à 21:48

Apprenez à écrire vos blessures dans le sable,
Et à graver vos joies dans la pierre.
Le passé est rempli de souvenirs,
Le présent de choses,
Que l'on ne peut oublier,
Et le futur de rêves...

Alors ouvrez grand vos yeux et vos coeurs,
Ne laissez rien passer de la vie,
Attrapez au vol tout ce qui vous rendra heureux,
Et vivez dans le respect de vous-même et de l'autre.

Car la vie est un train qui ne s'arrête à aucune gare.
On le prend en marche,
Ou on le regarde passer sur le quai,
Mais  une chose est sûre,
il n'est pire tragédie qu'une gare fantôme.

Mercredi 19 mars 2014 à 21:42

Je rêve encore,
De dévaler ses pentes,
De mes doigts,
Longer ses fines côtes.
Cela seulement afin de ressentir,
L'effervescente animation,
De son coeur,
Où tous les sentiments s'entremêlent,
Car celui-ci,
Est tel un volcan,
Il est prêt à rugir.

Mercredi 19 mars 2014 à 21:40

 Sur leurs chevelures,
Autrefois à la couleur d'ébène,
Le temps à déposé,
Une fine pluie d'étoiles,
Comme un voile argenté.

Assis sur ce banc,
En cette place ombragée,
Main dans la main,
Sur genoux posés,
Ils ne se parlent pas,
Ils se regardent.

Leurs regards seuls,
Suffisent à deviner l'autre,
Car de toute évidence,
Les sons n'arrivent plus,
Ni à les troubler,
Ni à les effarouchés.

Ils ont tous entendus...
Ils ont tous écoutés...
Les mots...
Et les maux de chacun...
Maintenant,
Ils ne leur reste juste en résonance,
Que leurs mots d'amour,
Si longtemps proclamés.

Ils sont là...
Posés comme une évidence,
À "regarder" le temps,
Doucement s'écouler.
Ils sont là...
Pour combien de temps encore ?
Ils sont là...
Et ne savent pas,
Qu'à tous ils vont manquer...

Ils sont là, Et demain ?
Demain viendra se poser,
Un autre amour,
Avec toute sa spontanéité,
Avec toute son insouciance,
Avec toute sa légèreté.
Ils s'ouvriront à cet avenir incertain,
Sans chemin tracé,
Mais oh combien délicieux,
À goûter...
À savourer...
À vivre tout simplement.

Mercredi 19 mars 2014 à 21:35

Ne marche pas à côté de ta vie,
Ne la regarde pas passer,
Saute dedans à pieds joints,
À t'en "éclabousser".

Prend ta vie à bras le corps,
Joue avec elle,
En corps à corps,
Toujours et encore.

Qu'importe les bobos,
Voir même les malheurs,
Fait vibrer ses instants,
Fait vibrer tous ses moments.

C'est maintenant,
C'est jamais,
C'est encore,
C'est toujours,
Alors fait vibrer cette vie,
Fait vibrer ta vie.

Samedi 1er mars 2014 à 23:56

Qui nous dira jamais d'ou vient la sympathie,
Ce charme tout puissant qui lentement nous lie,
A des êtres naguère étrangers ou bien inconnus.

Ami(e)s d'hier qu'on croit toujours avoir connu,
Dont le regard émeut et dont la vie attire,
Qu'on se sent près d'aimer sans oser le leur dire,
Et qu'on oubliera jamais plus.

Samedi 1er mars 2014 à 23:54

Si la terre était un tableau,
Je prendrais mes plus beaux pinceaux,
Et les tremperais dans mon cœur,
Pour y redonner des couleurs.

Je couvrirais le gris de la maladie,
Par l'éclatant blanc de la vie,
Et je remplacerais le noir,
Par le vert, couleur de l'espoir.

Bien sûr, j'en laisserais un peu...
Pour les nuits des amoureux.
Quant au rouge, j'en mettrais partout
Car les enfants l'aiment beaucoup.

J'en peindrais le nez des gens,
Pour qu'ils soient moins sérieux.
Et à tous, je mettrais de l'or au fond des yeux.

Évidemment, tout cela sort de mon imagination...
Mais dans notre cœur,
On a tous des pinceaux et des crayons,
Pour colorer notre univers.
Il suffit de si peu pour le faire,
Et d'ailleurs, si je t'ai fait l'imaginer,
C'est que j'y suis un peu arrivé.

Samedi 1er mars 2014 à 23:50

Puissiez-vous sentir dans votre coeur,
Au delà de vos souffrances,
La présence toujours vivante de votre Ami,
La présence de votre Amour pour Lui !

Puissiez-vous, vous laisser remplir de cet Amour,
Et vous inonder en Lui et ainsi pouvoir franchir la Porte.
Car à l’intérieur, là où cette Fleur a offert toute son essence,
Vous découvrirez le plus beau des fruits.

Puissiez vous connaître ce grand et profond bonheur!
Puissiez-vous un jour parvenir à Le cueillir,
Et vous délecter de Son grand festin,
Dans un retour vers le UN !

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