Toi, que je considérais comme mon maître,
Toi, que j'aimais encore plus que mon être,
Hier, tu as pris ma laisse et tu m'as dis...
''Viens... on va se promener...
Viens mon chien''.
En voiture, on a roulé longtemps,
Si longtemps que j'ai cru,
Que cela duré une éternité.
Malgré tout,
J'ai bien vu à ton regard.
Tu essayais d'éviter le mien,
Tu n'osais pas me regarder dans les yeux.
Que se passe-il, bon dieu ???
Où allons nous ?
Quand enfin, on arrive.
Tu a ouvert la porte de la voiture.
La, je suis descendu,
Mais toi,
Toi tu es reparti,
Sans moi.....
Je cours après la voiture,
Je ne comprends pas ???
M'as tu oublié ???
Pourquoi me laisses tu là ???
Puis enfin vint le moment,
Ou tu me sème.
Pourquoi tu pars seul ???
Alors que Moi je t'aime...
Je m'assieds sur le béton brûlant,
Tu vas revenir me chercher,
Je le sais, et je t'attends.
Mais les jours passent,
Et moi, je trépasse.
Tu me manques mon maître adoré,
Jamais je ne cesserai de t'aimer.
Je pose mon museau sur le sol,
Qui est pour moi aussi chaud,
Que le sable du désert.
J'ai faim, j'ai soif, j'en ai marre de vivre.
Sans toi, je préfère mourir....
Je ferme les yeux,
Et je sens mon âme,
Qui s'envole doucement vers d'autres cieux.
Mon maître,
C'est à toi et à ton doux rire,
Que j'ai repensé juste avant de mourir,
Juste avant de partir.
Saches que jamais je ne t'oublierais,
Même si tu m'a abandonné.
Toi, que j'aimais encore plus que mon être,
Hier, tu as pris ma laisse et tu m'as dis...
''Viens... on va se promener...
Viens mon chien''.
En voiture, on a roulé longtemps,
Si longtemps que j'ai cru,
Que cela duré une éternité.
Malgré tout,
J'ai bien vu à ton regard.
Tu essayais d'éviter le mien,
Tu n'osais pas me regarder dans les yeux.
Que se passe-il, bon dieu ???
Où allons nous ?
Quand enfin, on arrive.
Tu a ouvert la porte de la voiture.
La, je suis descendu,
Mais toi,
Toi tu es reparti,
Sans moi.....
Je cours après la voiture,
Je ne comprends pas ???
M'as tu oublié ???
Pourquoi me laisses tu là ???
Puis enfin vint le moment,
Ou tu me sème.
Pourquoi tu pars seul ???
Alors que Moi je t'aime...
Je m'assieds sur le béton brûlant,
Tu vas revenir me chercher,
Je le sais, et je t'attends.
Mais les jours passent,
Et moi, je trépasse.
Tu me manques mon maître adoré,
Jamais je ne cesserai de t'aimer.
Je pose mon museau sur le sol,
Qui est pour moi aussi chaud,
Que le sable du désert.
J'ai faim, j'ai soif, j'en ai marre de vivre.
Sans toi, je préfère mourir....
Je ferme les yeux,
Et je sens mon âme,
Qui s'envole doucement vers d'autres cieux.
Mon maître,
C'est à toi et à ton doux rire,
Que j'ai repensé juste avant de mourir,
Juste avant de partir.
Saches que jamais je ne t'oublierais,
Même si tu m'a abandonné.