Accueille tes larmes,
Comme tu accueilles la joie.
Interroge ton chagrin,
Ne ferme pas les bras…
Tu as refusé de sentir, d’écouter,
De faire corps avec ce qui était.
Ce qui était, ne pouvait être,
A tes yeux, c’était trop laid.
Tu as tissé mille et une pensées,
Pour étouffer la réalité.
Tu as élaboré un immense filet,
Au fond duquel tu t’es enfermée.
Tu te sens misérable depuis,
Comme si tu n’étais plus rien.
Tu croyais qu’au fond du puit,
Tu ne sentirais plus rien.
Mais si tu jettes le moi,
Tu jettes aussi le Soi.
Le moi est un temple sacré,
Tel qu’il est, apprend à l’aimer.
Comme tu accueilles la joie.
Interroge ton chagrin,
Ne ferme pas les bras…
Tu as refusé de sentir, d’écouter,
De faire corps avec ce qui était.
Ce qui était, ne pouvait être,
A tes yeux, c’était trop laid.
Tu as tissé mille et une pensées,
Pour étouffer la réalité.
Tu as élaboré un immense filet,
Au fond duquel tu t’es enfermée.
Tu te sens misérable depuis,
Comme si tu n’étais plus rien.
Tu croyais qu’au fond du puit,
Tu ne sentirais plus rien.
Mais si tu jettes le moi,
Tu jettes aussi le Soi.
Le moi est un temple sacré,
Tel qu’il est, apprend à l’aimer.