La nuit ne cache rien, ni les lâches ni les fous.
Il faut que tu le saches en ce dernier rendez-vous.
La pluie ne masque rien, ni les frasques ni les phrases.
Elle emporte doucement ceux que l’existence écrase.
Ne pleure pas si je m’en vais car je m’en veux.
Plaire est sans espoir mais jamais je ne laisse croire en vain.
La vie je ne l’ai pas regardée, j’ai vu à travers.
Insensé, j’ai avancé même à découvert
Pour trouver mon étoile dans l’univers
Et je sais que l’on restera unis vers
Cette galaxie, cette constellation si
L’ataraxie de nos esprits dénote ainsi.
Mille étoiles descendent de tes doux yeux.
Le noir profond n’est que leur serviteur envieux.
Rien ne compense leur beauté qui n’est que récompense,
Puis rien n’a de sens ; l’abandon comme l’insistance.
La vivacité de leurs éclats naissants ne sont que
Des rêves de cristal où s’installent toutes réalités qui,
Chaque instant pourtant dérivent,
Pour autant de rives abandonnées.
Ton estime est mon abîme,
Mon repère, mon refuge
Où se fige toute particule ridicule,
Semblable au cœur amoureux,
Dont le vœu est qu’il ne s’abîme qu’un peu.
Voilà pourquoi il perd ses rimes
Et sa structure au point de tournoyer sans cesse,
De se noyer de tristesse dans son écriture.
Car si le passé te blesse,
Le futur te guérira, tu verras.
Il faut que tu le saches en ce dernier rendez-vous.
La pluie ne masque rien, ni les frasques ni les phrases.
Elle emporte doucement ceux que l’existence écrase.
Ne pleure pas si je m’en vais car je m’en veux.
Plaire est sans espoir mais jamais je ne laisse croire en vain.
La vie je ne l’ai pas regardée, j’ai vu à travers.
Insensé, j’ai avancé même à découvert
Pour trouver mon étoile dans l’univers
Et je sais que l’on restera unis vers
Cette galaxie, cette constellation si
L’ataraxie de nos esprits dénote ainsi.
Mille étoiles descendent de tes doux yeux.
Le noir profond n’est que leur serviteur envieux.
Rien ne compense leur beauté qui n’est que récompense,
Puis rien n’a de sens ; l’abandon comme l’insistance.
La vivacité de leurs éclats naissants ne sont que
Des rêves de cristal où s’installent toutes réalités qui,
Chaque instant pourtant dérivent,
Pour autant de rives abandonnées.
Ton estime est mon abîme,
Mon repère, mon refuge
Où se fige toute particule ridicule,
Semblable au cœur amoureux,
Dont le vœu est qu’il ne s’abîme qu’un peu.
Voilà pourquoi il perd ses rimes
Et sa structure au point de tournoyer sans cesse,
De se noyer de tristesse dans son écriture.
Car si le passé te blesse,
Le futur te guérira, tu verras.