Tu n’as pas besoin, d’être le plus grand ou le plus rapide, d’être le plus intelligent, ou le plus intrépide. Pas besoin d’être le plus beau, le plus vif ou le meilleur. Tu battras tous les records, si tu parles avec ton Cœur.

Mardi 31 août 2010 à 16:47

Dans mon sommeil, ma chérie,
J'ai fait croyait le, le plus beau rêve,
Qui aurai dû durer toute la vie,
Pourquoi, a t-il fallu qu'il s'achève ?

Vous voyant bien loin du monde,
Bien seuls tous les deux sans émoi,
Et loin de la foule qui gronde,
Etant bien toute à moi.

Je buvais sur vos lèvres vermeilles,
Vos paroles d'amour et de baisers,
J'étais à vous et vous étiez mienne,
Et heureux, m'endormais à vos pieds...

Vous me faisiez jurer un éternel amour,
Et alors sous vos chaudes carresses,
J'ai fait serment de vous adorer toujours,
Et j'ai connu les meilleures ivresses.

Cruels réveils,
Sombres réalités,
De mes rêves bleus de langueur,
Plus rien, pas même mon aimée,
Oh, souvenir qui me brise le coeur.

Et j'ai cru, pardonnez moi ma muse,
Vraiment vous posséder,
Et mon songe m'a tout de même donné but,
Celui d'avoir vécu avec vous que j'adorée.

Samedi 5 juin 2010 à 16:31

O douce rêverie, illusion si chère,
Toi qui me fis revoir l'image que j'aimais,
Berce moi dans ton sein,
Le bonheur que j'espère,
N'étant pas ici-bàs ...
Je ne l'attends jamais.
Dans des lieux inconnus,
En Colchide magique,
Nous étions seul à seul,
Loin du monde réel,
Ta voix me sursurrait une aimable musique,
Et je pensais heureux :
C'est ici qu'est le ciel.
Je buvais le nectar de tes lèvres vermeilles,
Tes paroles d'amour,
Ainsi que tes baisers,
Je carressais ta gorge,
Une pure merveille,
Je sentas enivrés mes sens inapaisés.
Nous laissons déferler,
L'eau bourbeuse qui roule,
En ses flancs vagabonds,
Les insensés discours,
Oh ! Que nous importait cette vulgaire foule ! ...
Nous voguions sur le Tendre aux sinieux contours,
Hélas ! Cruel réveil ... Sombre banalité ! ...
Le chimérique espoir n'était qu'un vil mensonge,
Mes yeux s'étaient ouverts à la Réalité,
Et l'ange aux cheveux d'or, fuyait avec le songe.
O douce rêverie, illusion si chère,
Toi qui me fis revoir l'image que j'aimais,
Berce moi dans ton sein,
Le bonheur que j'espère,
N'étant pas ici bas ...
Je ne l'attendais jamais.

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