Le temps s'étire indéfiniment,
L'éternité nous englobe dans son sein,
Comment la percevoir,
La définir ou la saisir.
L'homme bien qu'il soit lui-même mortel,
Ne peut se représenter ni la fin de l'espace,
Ni la fin du temps,
Il paraphrase,
Il vit toujours dans un infini illusoire.
La fin d'une vie n'est rien,
A côté de la fin de l'amour,
Le peuple voudrait en finir,
Or il n'y a point de fin.
Car même dans la fin,
Il y a un commencement,
Et dans le commencement,
Il y a qu'une seule et unique fin.