Que n’ai-je un pinceau,
Qui puisse peindre,
Les fleurs du prunier,
Avec leur parfum !
Dans cette main,
Pas de pinceau.
Devant ces yeux,
Pas de tableau.
Que n’ai-je un pinceau,
Pour peindre le fruit,
Et son goût exquis.
Mais si je ferme mes yeux,
Voilà un tableau, un pinceau,
Et le chant doux d’un oiseau.
J’ouvre les yeux, au contraire,
Tout est beau, tout est bon,
Pourquoi chercher des chimères ?
Il n’y a pas à dire,
Le printemps est une belle saison.
Et ceux qui disent le contraire,
Ne sont que des ronchons.
Je me suis amusée,
Pour écrire ce haïku.
Car chez moi,
C’est la rime qui prime.
Qui puisse peindre,
Les fleurs du prunier,
Avec leur parfum !
Dans cette main,
Pas de pinceau.
Devant ces yeux,
Pas de tableau.
Que n’ai-je un pinceau,
Pour peindre le fruit,
Et son goût exquis.
Mais si je ferme mes yeux,
Voilà un tableau, un pinceau,
Et le chant doux d’un oiseau.
J’ouvre les yeux, au contraire,
Tout est beau, tout est bon,
Pourquoi chercher des chimères ?
Il n’y a pas à dire,
Le printemps est une belle saison.
Et ceux qui disent le contraire,
Ne sont que des ronchons.
Je me suis amusée,
Pour écrire ce haïku.
Car chez moi,
C’est la rime qui prime.