Je refuse de croire,
Que les circonstances actuelles,
Rendent les hommes incapables,
De faire une terre meilleure.
Je refuse de partager l'avis de ceux :
Qui prétendent que l'homme,
Est à ce point captif de la nuit.
Que l'aurore de la paix et de la fraternité,
Ne pourra jamais devenir une réalité.
Je crois que la vérité et l'amour,
Sans conditions soit elles,
Auront le dernier mot effectivement.
La vie, même vaincue provisoirement,
Demeure toujours plus forte que la mort.
Je crois fermement :
Qu'il reste l'espoir d'un matin radieux,
Je crois que la bonté pacifique,
Deviendra un jour la loi.
Chaque homme pourra s'asseoir sous son figuier,
Dans sa vigne ou sur son rocher,
Et plus personne n'aura plus de raison d'avoir peur.
Que les circonstances actuelles,
Rendent les hommes incapables,
De faire une terre meilleure.
Je refuse de partager l'avis de ceux :
Qui prétendent que l'homme,
Est à ce point captif de la nuit.
Que l'aurore de la paix et de la fraternité,
Ne pourra jamais devenir une réalité.
Je crois que la vérité et l'amour,
Sans conditions soit elles,
Auront le dernier mot effectivement.
La vie, même vaincue provisoirement,
Demeure toujours plus forte que la mort.
Je crois fermement :
Qu'il reste l'espoir d'un matin radieux,
Je crois que la bonté pacifique,
Deviendra un jour la loi.
Chaque homme pourra s'asseoir sous son figuier,
Dans sa vigne ou sur son rocher,
Et plus personne n'aura plus de raison d'avoir peur.