Devant la porte sombre,
De la vieille prison.
Des gens dans l'ombre,
Descendent d'un fourgon.
Soudain la sinistre machine,
Se dresse dans la nuit.
C'est ainsi que la bourreau,
Monte sa guillotine.
Lentement, sûrement, sans bruit...
Dans un silence profond,
La foule observe ce qu'ils font.
C'est à ce moment,
Qu'une porte sombre s'ouvre.
Un homme en sort,
Revêtut d'un habit gris.
Il marche sans but jusqu'à la guillotine,
Sans un regard ni même une parole.
Puis vint l'heure du couperet,
Et tout est finit.