Tu arpentais les trottoirs de la nuit
Et un jour sans le vouloir, je t’avais suivie
A l’époque ma surprise fut très grande
Car j’étais trop petit pour comprendre.
J’ai encore cette vision musicale
Où pour Strasbourg Saint Denis c’était normal,
Dans ce bar les clients buvaient le champagne
Et que c’était ton refuge pour ne plus avoir mal.
Quand je pleurais tu me serrais dans tes bras
Et je t’aimais malgré tout ça
J’étais ton enfant, seulement un peu plus différent
Car je t’ai toujours aimée Maman.
Je te regardais avec amour
Moi, l’enfant que j’étais,
Tu étais si belle dans tes discours
Où tes absences m’habitaient.
Je me souviens aussi de tous ces amants
Qui souillaient ses draps blancs
Pour un quart d’heure ou pour une heure,
Ces hommes payaient toujours comptant.
Tu étais si belle à mon regard d’enfant
Qu’aujourd’hui je me demande encore
Si le temps a été le plus fort
De pouvoir te dire, je t’aime Maman.
Et un jour sans le vouloir, je t’avais suivie
A l’époque ma surprise fut très grande
Car j’étais trop petit pour comprendre.
J’ai encore cette vision musicale
Où pour Strasbourg Saint Denis c’était normal,
Dans ce bar les clients buvaient le champagne
Et que c’était ton refuge pour ne plus avoir mal.
Quand je pleurais tu me serrais dans tes bras
Et je t’aimais malgré tout ça
J’étais ton enfant, seulement un peu plus différent
Car je t’ai toujours aimée Maman.
Je te regardais avec amour
Moi, l’enfant que j’étais,
Tu étais si belle dans tes discours
Où tes absences m’habitaient.
Je me souviens aussi de tous ces amants
Qui souillaient ses draps blancs
Pour un quart d’heure ou pour une heure,
Ces hommes payaient toujours comptant.
Tu étais si belle à mon regard d’enfant
Qu’aujourd’hui je me demande encore
Si le temps a été le plus fort
De pouvoir te dire, je t’aime Maman.