Mon coeur clos de souffrance,
Ne peut que mourir au souffle de l’oubli.
Il ne reste qu’une lueur dans tes yeux qui te consume,
Pourtant tout en toi résonne d’adieux.
Le temps ne s’est pas réfugié,
Dans mes bras pour m’épargner,
Il m’a giflé, embrasé, consumé, submergé,
Comme si les rafales du vent l’avait conduit jusqu’à moi.
Je t’aime,
Ces mots me condamne,
Dans l’immensité d’une solitude qui te délaisse,
Pour emprisonner en secret,
les coeurs exaltés de deux êtres épargnés.
Où faudra t-il que je le conduise ?
Mes forces s’amenuisent,
A mesure que le temps s’étiole,
Et je n’ai d’autres regrets,
Que d’admirer l’aurore sur ton visage.
Adieu !
Mon bien aimé, ma source vive.
Les fleurs seront fanées à ton réveil,
Et les ponts engloutis,
Cela voudra dire que toi et moi c’est fini dans l’éternité.
L’espoir balayera mon dernier baiser,
Pour le déposer langoureusement sur tes lèvres encore closes,
Alors tu saura, sans peur et sans joie, que tu es une partie de moi.
Ne peut que mourir au souffle de l’oubli.
Il ne reste qu’une lueur dans tes yeux qui te consume,
Pourtant tout en toi résonne d’adieux.
Le temps ne s’est pas réfugié,
Dans mes bras pour m’épargner,
Il m’a giflé, embrasé, consumé, submergé,
Comme si les rafales du vent l’avait conduit jusqu’à moi.
Je t’aime,
Ces mots me condamne,
Dans l’immensité d’une solitude qui te délaisse,
Pour emprisonner en secret,
les coeurs exaltés de deux êtres épargnés.
Où faudra t-il que je le conduise ?
Mes forces s’amenuisent,
A mesure que le temps s’étiole,
Et je n’ai d’autres regrets,
Que d’admirer l’aurore sur ton visage.
Adieu !
Mon bien aimé, ma source vive.
Les fleurs seront fanées à ton réveil,
Et les ponts engloutis,
Cela voudra dire que toi et moi c’est fini dans l’éternité.
L’espoir balayera mon dernier baiser,
Pour le déposer langoureusement sur tes lèvres encore closes,
Alors tu saura, sans peur et sans joie, que tu es une partie de moi.