Je voudrais tant que tu m'enlèves
Comme ce dimanche si beau
Le vent, le soleil et les mots
Caressaient tendrement mes rêves.
Tu me racontais l'eau et sa douceur
Et qu'il est doux de s'y laisser bercer
Je t'écoutais noyé dans un bonheur
Coulant vers toi l'envie de t'embrasser
Quel bonheur d'être ainsi seuls tous les deux
Nous naviguions sur le lac endormi
En savourant cet instant si précieux
Car nous flottions entre deux infinis.
Blottis juste à la limite du ciel
Où s'envolent les rêveries bleutées
Et des fonds marins où un carrousel
De sirènes intriguent nos pensées
Alors pour que le tableau soit parfait
Tu t'es tournée pour trouver la montagne
Qui se cachait derrière la forêt
Comme un pudique sein sous un pagne
Derrière ton sein j'entendais ton coeur
Cogner si fort... Était-il heureux ?
Le clapotis de l'eau battait en choeur
Et je crois bien que j'étais amoureux
Et j'aurais mieux fait d'écouter le vent
Me soufflant de déposer un baiser
Sur ton petit sourire si charmant
M'aurais-tu laissé ainsi t'embrasser ?
Comme ce dimanche si beau
Le vent, le soleil et les mots
Caressaient tendrement mes rêves.
Tu me racontais l'eau et sa douceur
Et qu'il est doux de s'y laisser bercer
Je t'écoutais noyé dans un bonheur
Coulant vers toi l'envie de t'embrasser
Quel bonheur d'être ainsi seuls tous les deux
Nous naviguions sur le lac endormi
En savourant cet instant si précieux
Car nous flottions entre deux infinis.
Blottis juste à la limite du ciel
Où s'envolent les rêveries bleutées
Et des fonds marins où un carrousel
De sirènes intriguent nos pensées
Alors pour que le tableau soit parfait
Tu t'es tournée pour trouver la montagne
Qui se cachait derrière la forêt
Comme un pudique sein sous un pagne
Derrière ton sein j'entendais ton coeur
Cogner si fort... Était-il heureux ?
Le clapotis de l'eau battait en choeur
Et je crois bien que j'étais amoureux
Et j'aurais mieux fait d'écouter le vent
Me soufflant de déposer un baiser
Sur ton petit sourire si charmant
M'aurais-tu laissé ainsi t'embrasser ?