Les plaisirs de l'union,
Sont grands comme la mer,
Mais les tourments de la séparation,
Sont immenses comme l'océan.
Aucune séparation n'est simple,
Et ne consiste à simplement tourner la page.
Car des êtres anciens résonnent en vous,
Longtemps après leur départ.
Ils reviennent vous hanter,
Pour vous tirer par la manche.
Ils te serinent :
Si tu pars, je te suivrai...
Je ne pourrai pas supporter l'idée de t'avoir laissée partir....
Tant de pourquoi sans réponse,
Malgré tout,
On ne manque jamais d'expressions,
Pour peindre la douleur ou l'absence,
La mort ou a séparation.
Juste avant d'arriver à ce point de rupture,
Où tout va être dit, le bon et le mauvais,
Les lamentations se mêlant aux injures,
Les plus beaux souvenirs se muant en regrets.
Juste avant de franchir la frêle frontière,
Séparant la rancoeur des anciens amours,
Recouvrant nos serments de sombre poussière,
Nier cette folie de nos tous premiers jours.
Juste avant d'envoyer dans d'obscures ténèbres,
Le brillant de nos yeux, la chaleur de nos corps,
La rauque mélopée devenue chant funèbre,
Amertume et venin crachés sans trop d'efforts.
N'oublie pas cet enfant qui fut l'oeuvre suprême,
Qui n'a rien demandé et qui est innocent,
Qui appartient au temps où nous disions "je t'aime",
Qui n'a pas à subir la haine des parents.
Allons, regarde-moi,
Et taisons nos blessures.
Puisque tout doit finir,
Que ce soit dignement.
Laissons lui découvrir,
Cette belle aventure.
Que peut être la vie...
Parfois...
De temps en temps...
Sont grands comme la mer,
Mais les tourments de la séparation,
Sont immenses comme l'océan.
Aucune séparation n'est simple,
Et ne consiste à simplement tourner la page.
Car des êtres anciens résonnent en vous,
Longtemps après leur départ.
Ils reviennent vous hanter,
Pour vous tirer par la manche.
Ils te serinent :
Si tu pars, je te suivrai...
Je ne pourrai pas supporter l'idée de t'avoir laissée partir....
Tant de pourquoi sans réponse,
Malgré tout,
On ne manque jamais d'expressions,
Pour peindre la douleur ou l'absence,
La mort ou a séparation.
Juste avant d'arriver à ce point de rupture,
Où tout va être dit, le bon et le mauvais,
Les lamentations se mêlant aux injures,
Les plus beaux souvenirs se muant en regrets.
Juste avant de franchir la frêle frontière,
Séparant la rancoeur des anciens amours,
Recouvrant nos serments de sombre poussière,
Nier cette folie de nos tous premiers jours.
Juste avant d'envoyer dans d'obscures ténèbres,
Le brillant de nos yeux, la chaleur de nos corps,
La rauque mélopée devenue chant funèbre,
Amertume et venin crachés sans trop d'efforts.
N'oublie pas cet enfant qui fut l'oeuvre suprême,
Qui n'a rien demandé et qui est innocent,
Qui appartient au temps où nous disions "je t'aime",
Qui n'a pas à subir la haine des parents.
Allons, regarde-moi,
Et taisons nos blessures.
Puisque tout doit finir,
Que ce soit dignement.
Laissons lui découvrir,
Cette belle aventure.
Que peut être la vie...
Parfois...
De temps en temps...