J’aurais pu invoquer la magie de tes mots,
Le contour de tes lèvres ou le creux de tes reins,
La beauté de tes yeux, le soyeux de ta peau,
Je me suis inspirée de la douceur des mains.
Je me souviens jadis, déjà elles m’enchantaient,
Elles semblaient si belles et pourtant si modestes,
J’inventais des folies, mais je me contentais
D’effleurer leur contour par de timides gestes.
Timides et douces, elles s’approchaient tout bas,
Je ne suis pas surprise du bien qu’elles m’ont fait.
Elles remplaçaient des mots que l’on ne dira pas,
En caressant ma peau avec des doigts de fée.
Elles ne sont pas pianistes et ne guérissent point,
Dans leur simplicité elles n’en sont que plus belles,
Mets ta main dans la mienne, compose nos besoins,
Mélange nos secrets en accord avec elles.
Je demande ta main au dieu de l’univers,
Avec toute la foi que ma paume détient.
Un baiser sur ta bouche et mes mains en prière,
Pour que tu aies toujours ma vie entre tes mains.
Le contour de tes lèvres ou le creux de tes reins,
La beauté de tes yeux, le soyeux de ta peau,
Je me suis inspirée de la douceur des mains.
Je me souviens jadis, déjà elles m’enchantaient,
Elles semblaient si belles et pourtant si modestes,
J’inventais des folies, mais je me contentais
D’effleurer leur contour par de timides gestes.
Timides et douces, elles s’approchaient tout bas,
Je ne suis pas surprise du bien qu’elles m’ont fait.
Elles remplaçaient des mots que l’on ne dira pas,
En caressant ma peau avec des doigts de fée.
Elles ne sont pas pianistes et ne guérissent point,
Dans leur simplicité elles n’en sont que plus belles,
Mets ta main dans la mienne, compose nos besoins,
Mélange nos secrets en accord avec elles.
Je demande ta main au dieu de l’univers,
Avec toute la foi que ma paume détient.
Un baiser sur ta bouche et mes mains en prière,
Pour que tu aies toujours ma vie entre tes mains.