Toi qui me regardes comme ça !
Toi qui me dévisages à tout va !
Mais dis-moi ce que tu as...
C'est ce bourrelet qui t'attires à ce point là ?
C'est la taille de mes fesses
Qui t'intrigue tellement ?
Que jamais tu ne cesses
De me regarder bêtement ?
Ou peut-être la largeur de mes hanches
Qui à ce point te dérange,
Elles font deux fois les tiennes ?
Et alors ? Qu'à celà ne tienne !
Peut-être es-tu jalouse
De n'avoir qu'un seul menton,
Ma pauvre fille, n'aies pas le blues,
Un jour je te prêterais peut-être mes pantalons...
Lèves les yeux un peu !
Tu verras la couleur de mes yeux,
Tu verras mon sourire,
Et la gaîté que j'inspire.
Tu verras autre chose
Que mon corps embarrassant,
Car malgré celui-ci, moi j'ose
Dire que les gens sont médisants.
A l'égard de tous ceux qui sortent de la norme,
En l'occurrence moi, qui suis énorme,
A tes yeux uniquement,
Car pour certaines personnes,
Je vaux plus que tout l'or du monde !
Toi qui me dévisages à tout va !
Mais dis-moi ce que tu as...
C'est ce bourrelet qui t'attires à ce point là ?
C'est la taille de mes fesses
Qui t'intrigue tellement ?
Que jamais tu ne cesses
De me regarder bêtement ?
Ou peut-être la largeur de mes hanches
Qui à ce point te dérange,
Elles font deux fois les tiennes ?
Et alors ? Qu'à celà ne tienne !
Peut-être es-tu jalouse
De n'avoir qu'un seul menton,
Ma pauvre fille, n'aies pas le blues,
Un jour je te prêterais peut-être mes pantalons...
Lèves les yeux un peu !
Tu verras la couleur de mes yeux,
Tu verras mon sourire,
Et la gaîté que j'inspire.
Tu verras autre chose
Que mon corps embarrassant,
Car malgré celui-ci, moi j'ose
Dire que les gens sont médisants.
A l'égard de tous ceux qui sortent de la norme,
En l'occurrence moi, qui suis énorme,
A tes yeux uniquement,
Car pour certaines personnes,
Je vaux plus que tout l'or du monde !