Tu n’as pas besoin, d’être le plus grand ou le plus rapide, d’être le plus intelligent, ou le plus intrépide. Pas besoin d’être le plus beau, le plus vif ou le meilleur. Tu battras tous les records, si tu parles avec ton Cœur.

Jeudi 5 juillet 2012 à 22:13

Je vais les tenir,
Quand tu auras peur,
Je les réchaufferais,
Quand tu auras froid,
Je les caresserais,
Quand tu sera triste
Et je les lâcherais,
Quand tu voudras être libre et partir.

Lundi 2 juillet 2012 à 22:02

Un rêve, une rencontre, un baiser
Une caresse, un amour.

Puis...

Un jour
Un adieu, un silence,
Un plus jamais.

Que de mal m'a fait ce rêve.

Lundi 2 juillet 2012 à 21:06

 Pourquoi tant de haine,
Qui ne créera que des peines.
Assassiner des hommes, femmes, enfants,
Qui ne verront plus le soleil levant.

Pour un Dieu,
Des hommes ont tués...
Pour un Dieu,
Des familles ont priés,
Leurs morts, leurs proches....

En ce jour,
Des hommes qui au nom de leur Dieu :
Assassine sans pitié.
Tue sans penser,
À la souffrance des familles,
Qui ont perdu un de leurs proches,

Que dois-je penser ????
Que dois-je imaginer ????

Puis-je espérer qu'un jour
Sur notre terre
Toutes les personnes,
Noir, blanc, catholique, islamique,
Ou d'autres cultures,
Petit, grand, blond ou brun,
Arriverons-nous à vivre avec la paix.

En ce jour funeste,
J'ai vu des gens mourir...
J'ai vu des flammes...
J'ai vu l'horreur...
J'ai vu la mort...

Et pourquoi ?
Je pense que personne,
A une réponse à cela.

Lundi 2 juillet 2012 à 21:05

J'avais rêvé d'un amour
Un amour qui ne me jouerait pas de tour
Un amour merveilleux
Qui se construit à deux

J'avais rêvé de bonheur
Au bonheur que mon coeur
N'écoute plus sa peur
Pour découvrir enfin cette lueur
Qui chaque heure
Grandit dans mon coeur

J'avais rêvé de cet homme
À cet homme qui comprenne
Toutes mes peines
Et effacent toutes mes haines

J'avais rêvé de mon passé
Mon passé que je devais effacer
Afin de pouvoir goûter
À ce bonheur tellement mérité

Mais un beau jour
Mes rêves se sont effacés pour toujours
Par un manque d'amour
Je perdais
À tout jamais
L'homme que j'aimais
 

Lundi 2 juillet 2012 à 21:04

 
Quel heure, il pouvait bien être,
Je ne m'en souviens plus !
J'étais assise sur un grosse pierre grise
Tout près de la rivière,
J'écoutais,
Un peu hébétée,
Le chant de l'eau qui coule,
Qui a coulée,
Qui coulera encore lorsque je partirai.

Je regardais,
Les yeux un peu vague le bleu du ciel,
Puis mon regard s'attardait aux vert des arbres
Et revenait encore à la pureté du ciel.

Tout à coup
Un joli papillon vint danser,
Bleu je crois, rien d'extraordinaire,
Mais il voletait à cinq ou six pieds,
Au dessus de ma tête.
Il zizzaggait,
En prenant soin de rester dans mon champs de vision
Quant tout à coup,
Le bruit d'un battement d'ail associé à un claquement de bec.
Le petit papillon qui réussit à s'échapper,
Fut pris bien malgré lui,
Dans un second claquement de bec
C'est ainsi que le papillon n'existait plus...
L'oiseau a passé son chemin,
A la recherche, déjà, d'un autre insecte...

A nouveau
Le bruit de la rivière parvint à mes oreilles...
Bruissement d'éternité !!!!
Mon regard tangua un moment,
Vers cette rivière jusqu'au point de ciel bleu,
Ou voletait l'instant d'avant un joli petit papillon.

Il était :
Sûrement à l'heure ou le vent tombe,
Ou l'air est le plus calme.
Hébétée, je l'étais un peu plus,
Malgré tout cela,
J'écoutais le bruit de la rivière,
Le chant de l'eau qui coule,
Qui a coulé et qui coulera.

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