Tu n’as pas besoin, d’être le plus grand ou le plus rapide, d’être le plus intelligent, ou le plus intrépide. Pas besoin d’être le plus beau, le plus vif ou le meilleur. Tu battras tous les records, si tu parles avec ton Cœur.

Dimanche 5 février 2012 à 19:03

Mon pays ce n'est pas un pays, C'est l'hiver.
Mon jardin ce n'est pas un jardin, C'est la plaine.
Mon chemin ce n'est pas un chemin, C'est la neige. 

Dans le silence de l'hiver,
Je veux revoir ce lac étrange,
Entre le cristal et le verre,
Où viennent se poser des anges. 

La neige qui danse,
En ronde monotone,
Met le blanc sur le tableau noir,
Qu'est celui du monde. 

Les couleurs disparaissent,
Le blanc les a toutes volées.
Car le monde,
Est un palais glacial. 

La neige qui tombe,
Qui fond puis se balade,
A travers le monde,
Ensorcelle les habitants,
Qui dorment doucement,
Doucement, doucement... 

Sous la neige,
Les arbres dansent,
Ils se dandinent,
Sur la violente musique du vent.
Et les branches craquent,
De ne pouvoir applaudir. 

Qu'il est doux...
Qu'il est doux d'écouter des histoires,
Des histoires du temps passé,
Quand les branches d'arbres sont noires,
Quand la neige est épaisse et charge un sol glacé ! 

Les vases ont des fleurs de givre,
Sous la charmille aux blancs réseaux.
Et sur la neige on voit se suivre,
Les pas étoilés des oiseaux.
La neige blanche danse,
Avec l'herbe et les fleurs. 

La neige blanche chante,
Avec le ciel et les nuages.
La neige joue,
Avec l'air et le vent.
La neige meurt
Avec le soleil.

Dimanche 5 février 2012 à 18:57

Brrr...
Il fait froid.
Claque, claque tes mains,
Elles ont chauds, elles sont bien.
Frotte, frotte ton front,
Il rougit comme un lampion.
Tape, tape tes joues,
Mais pas comme un petit fou.
Dring, dring ton nez,
C'est pour bien le réchauffer.
Gratte, gratte ton menton,
Barbichette, barbichon. 

Regardez la neige qui danse,
Derrière le carreau fermé.
Qui là-haut peut bien s'amuser,
À déchirer le ciel immense,
En petits morceaux de papier ? 

Je suis un petit flocon,
Tout menu, tout blanc, tout rond,
Je voltige dans l'air léger,
Je me balance?
Au bout des branches,
Et puis je viens me percher,
Au bout de ton petit nez. 

Je suis un peu froid.
Tu crois ?
C'est tant pis pour toi,
Voilà ! 

Je suis un petit flocon,
Tout menu, tout blanc, tout rond,
Qui aime beaucoup s'amuser
Dans le vent... et sur ton nez ! 

Il à si doucement neigé,
Que le chaton croit rêver.
C'est à peine s'il ose,
Tout simplement,
Encore marcher. 

Toute blanche,
Dans la nuit brune,
La neige tombe en voletant,
Ô pâquerettes! une à une,
Toutes blanches dans la nuit brune ! 

Qui donc là-haut plume la lune ?
Ô frais duvet ! flocons flottants !
Toute blanche dans la nuit brune
La neige tombe en voletant. 

La neige tombe, monotone,
Monotonement, par les cieux ;
Dans le silence qui chantonne,
La neige tombe monotone,
Elle file, tisse, ourle et festonne
Un suaire silencieux.
La neige tombe, monotone,
Monotonement par les cieux.

Jeudi 2 février 2012 à 16:17

La nature est un temple où de vivants piliers
Laissent parfois sortir de confuses paroles ;
L'homme y passe à travers des forêts de symboles
Qui l'observent avec des regards familiers. 

Comme de longs échos qui de loin se confondent
Dans une ténébreuse et profonde unité,
Vaste comme la nuit et comme la clarté,
Les parfums, les couleurs et les sons se répondent. 

Il est des parfums frais comme des chairs d'enfants,
Doux comme les hautbois, verts comme les prairies,
- Et d'autres, corrompus, riches et triomphants, 

Ayant l'expansion des choses infinies,
Comme l'ambre, le musc, le benjoin et l'encens
Qui chantent les transports de l'esprit et des sens

Vendredi 27 janvier 2012 à 14:08

Qu’est ce que le soleil ?
C’est une merveille,
Qui chaque jour,
A chaque tour,
Réchauffe notre cœur,
Et nous comble de bonheur. 

Astre du jour,
Lumière de chaque jour,
Ouvre nos yeux,
A ce monde si merveilleux,
A chaque instant,
Il y a quelqu’un qui attend,
Un signe de la vie.

Le bonheur qui nous sourie,
Ton monde,
C’est une ronde,
Où tout s’enlace,
Et rien ne trépasse. 

Oui ton père,
Qui j’espère,
Lira ces quelques mots,
D’en haut,
Lui aussi il est soleil. 

Chaque jour je m’émerveille,
D’entendre des mots si doux,
Et de joie ça me rend fou,
Que te dire,
Tout est sourire,
Du bonheur tu en propages,
Et nous voulons lire tes pages. 

Demain sera un autre jour,
Tu te lèveras à ton tour,
De tes rayons de bonheur,
Tu empliras nos cœurs.

Vendredi 27 janvier 2012 à 13:56

Oh toi,
La plus belle,
De toutes les roses,
Je te regarde,
Mes yeux,
Se reposent,
Mon pauvre petit esprit,
Vagabonde,
S’enflamme,
Et pour finir,
Se transforme en ronde.

Vendredi 27 janvier 2012 à 13:52

Le soleil se couche,
La lune prend sa place,
Une fleur fane,
Une autre éclot,
Une planète tourne,
Une autre s'arrête,
Une vie s'achève,
Une autre commence. 

Tant de choses changent,
Mais la seule chose qui ne peut changer,
Ce sont les personnes qui sont dans mon coeur,
Toujours elles y seront,
Et à jamais elles s'y trouveront.

Vendredi 27 janvier 2012 à 13:33

Petite fleur dans le désert,
Petite fleur qui désespère,
Ne te fâches pas,
Ne te fânes pas. 

Tu m'a appris qu'après la pluie,
Le soleil reviendra,
Qu'après la peine,
La joie reviendra,
Et qu'après la solitude,
Quelqu'un t'aimera.

Lundi 16 mai 2011 à 18:27

Assieds toi près d'un vieux Chêne,
Et compare le à la race humaine,
L'oxygène et l'ombre qu'il t'amène,
Méritent-ils les coups de Hache qui le saignent? 

Prend soin de la Terre,
Car elle saura te recompenser,
Arrêtons donc de la polluer,
Car on ne sais pas de quoi demain sera fait. 

Nous n'appelons pas notre belle planète,
La Planète BLEUE pour rien,
Cela lui vient de ses couleurs,
De ses senteurs,
Qui font que jamais on ne voudrait la quitter. 

Commençons donc à faire quelque chose,
Car comme tout le monde le sait,
L'homme est un destructeur en puissance,
Vu qu'il ne prend pas la peine de réfléchir,
A tout le mal qu'il commet. 

Reveillons tous nos consciences,
Si ce n'est pour nous-même,
Faisons le pour notre futur,
Et pour celui de nos enfants,
Car il serait dommage que nôtre belle planète disparaisse,
Comme le ferais une étoile qui se meurt.

Dimanche 6 février 2011 à 17:29

Aux accords de la mandoline,
Lorsque je chantes pour ton coeur,
Une sérénade divine,
L'écho la répète moqueur.
Le merle joyeux accompagne,
Ce chant jusqu'au petit jour,
C'est l'heure de s'élancer au clair de lune.
L'amour qui vient de passer cherche fortune,
Mignonne dans un baiser au clair du jour,
C'est l'heure de s'enlacer sous la fôret brune.
Par la fenêtre oh mon idole,
Daignons jeter au troubadour
Qui soupire une chanson folle,
Un doux mot d'espoir et d'amour.
Ah ! Viens les brises caressantes,
Murmurant parmi les roseaux,
Dont les tiges toutes tremblantes,
Te murmurais dans le fond des eaux,
Viens mon amour,
Tu seras reine,
Au royaume de mon bonheur,
Et ton âme,
Sera la souveraine de mon coeur.
Ah ! Deserte la chambre mauve,
Où se meurt le dernier soupir,
Sous le bois,
Il y a maintes alvéoles,
Plus douce qu'est le doux zéphir.

Mardi 28 septembre 2010 à 16:52

Venez entendre le doux chant de l'alouette,
Qui du haut de son arbre perché,
Chante le renouveau du passé.

La nature rit,
La nature chante,
Toute personne sachant l'écouter,
Découvrira ses milles secrets.

Venez humez la terre,
Venez découvrir ses couleurs,
Ainsi comme dans un tableau de grands maîtres,
Celle - ci demeurera dans l'éternité.

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