Le partage,
C'est distribué,
Un peu de nous-mêmes,
Un peu d'humanité.
C'est compatir et sympathiser avec les autres,
C'est se rassembler pour ne pas rester isoler.
C'est la participation à une action commune,
Pour chaque être vivant.
C'est aimez- vous les uns les autres,
Sans jugement et dans le respect.
Le partage ce n'est pas se diviser mais être allié.
Le partage c'est un don de soi,
Qui appelle la coopération de tous et chacun.
Partager pour aider,
Partager pour encourager,
Partager pour se soutenir dans la joie et la peine,
Dans la réussite ou l'échec,
Dans le bonheur où le malheur et encore plus.
Le partage ce sont les fleurs de l'avenir,
Ses fleurs que l'on sème maintenant,
Et que les générations futures conserverons.
Tu n’as pas besoin, d’être le plus grand ou le plus rapide, d’être le plus intelligent, ou le plus intrépide. Pas besoin d’être le plus beau, le plus vif ou le meilleur. Tu battras tous les records, si tu parles avec ton Cœur.
Date de création
MAI 2010
Mise à jour
DECEMBRE 2016
MAI 2010
Mise à jour
DECEMBRE 2016
Samedi 26 mai 2012 à 21:51
Lundi 21 mai 2012 à 21:16
Tu as mis un brin de folie dans ma vie,
Dans le souffle de mes pensées,
J’explore ma créativité
Et caresse le velours,
De mes mots enjoués
Ces mots que je tiens
A te faire partager.
Je te confie,
Oh à toi Lecteur,
Tous ces écrits,
Ces éloges, ces odes,
Ces complaintes et ces aubades.
Maxime d’un soir,
Ses quelques mots virevoltent,
Avec tant de souplesse, de finesse et de subtilité.
Projetant mes souvenirs d’une suave émotion
J’ouvre le livre du plaisir des sens par mes écrits
C'est ainsi que :
Je vie, je souffle...
Je construis, j’apprends...
Je découvre, je contemple...
Je note, je survole...
J’écris...
De part ses mots,
Je te laisse l'empreinte,
L'empreinte,
De mes compositions enjouées.
Lundi 21 mai 2012 à 21:15
Oublie tout ce qu'il t'es arrivé,
Durant ton passé.
Car sinon tu n'avanceras jamais,
Au cours de toute ta vie.
Quand plusieurs routes s'offriront à toi,
Et que tu ne sauras pas laquelle choisir,
N'en prends pas une au hasard,
Mais assieds-toi et attends.
Attends encore et encore,
Ne bouge pas,
Tais-toi et écoute ton coeur.
Puis, quand il te parlera,
Lève-toi et va où il te porte.
Lundi 21 mai 2012 à 14:51
On peut conquérir des milliers d'hommes,
Dans une bataille ou une guerre.
Mais celui qui se conquiert lui-même,
Lui seul est le plus noble des conquérants.
Se connaître soi-même,
C'est s'oublier.
S'oublier soi-même,
C'est s'ouvrir à toutes choses.
Et si nous nous ouvrons à toutes choses,
Nous découvrirons,
Dans quelque domaine que ce soit,
De nouvelles merveilles.
Dans une bataille ou une guerre.
Mais celui qui se conquiert lui-même,
Lui seul est le plus noble des conquérants.
Se connaître soi-même,
C'est s'oublier.
S'oublier soi-même,
C'est s'ouvrir à toutes choses.
Et si nous nous ouvrons à toutes choses,
Nous découvrirons,
Dans quelque domaine que ce soit,
De nouvelles merveilles.
Lundi 21 mai 2012 à 14:50
Regarder un atome,
Le change.
Regarder un homme,
Le transforme,
Regarder l'avenir,
Le bouleverse.
Prenons le temps de regarder nos proches,
Et les personnes qui croisent notre route.
Regardons aussi notre avenir,
Avec des yeux positifs,
Et bouleversons-le merveilleusement.
Que cette journée vous apporte,
A chacune et à chacun,
Un bonheur renouvelé.
Le change.
Regarder un homme,
Le transforme,
Regarder l'avenir,
Le bouleverse.
Prenons le temps de regarder nos proches,
Et les personnes qui croisent notre route.
Regardons aussi notre avenir,
Avec des yeux positifs,
Et bouleversons-le merveilleusement.
Que cette journée vous apporte,
A chacune et à chacun,
Un bonheur renouvelé.
Lundi 21 mai 2012 à 14:49
La liberté, comme le courage,
Est un escalier qu'il faut gravir,
Marche par marche.
Impossibilité d'enjamber !!!
Et il en faut du courage,
Car les marches sont nombreuses.
Mais à chaque marche,
Contrairement à un interminable escalier qui nous épuiserait,
Nous ressentons une légèreté et une liberté croissante.
Est un escalier qu'il faut gravir,
Marche par marche.
Impossibilité d'enjamber !!!
Et il en faut du courage,
Car les marches sont nombreuses.
Mais à chaque marche,
Contrairement à un interminable escalier qui nous épuiserait,
Nous ressentons une légèreté et une liberté croissante.
Dimanche 20 mai 2012 à 23:50
Pourquoi me raconter des histoires,
Alors que j’étais prête,
A toujours te croire.
De par ton mensonge,
Maintenant le doute me ronge !
Tu as ébranlé mon existence,
En me mentant avec insolence.
En toi j’avais une grande confiance,
Mais maintenant,
Tu as semé en moi la méfiance.
Plus rien n’est plus comme avant,
J’avais confiance en toi pourtant...
Désormais je parle à un inconnu,
Je te regarde, je ne te reconnais plus.
Même quand tu dis la vérité,
Je doute souvent de ta fiabilité.
Tu sais pourtant que je suis entière,
Je réagis au mensonge par la colère.
Tu connais également ma sincérité,
Je ne supporterai pas ta duplicité.
Tes mensonges t'ont perdu,
Pour moi tu n’existes plus.
Je regrette notre beau paradis que tu as détruit,
Tu l’as sacrifié à de minables mensonges.
Pas une seconde ne t’est venu à l’esprit,
Que mentir tue l’amour et que le doute ronge.
Tu étais tout pour moi, je t’adorais...
Tu as choisi de mentir, tu m’as trompée...
Tu m’as blessée, je ne peux plus t’aimer...
Je ne t’estime même plus, je préfère te quitter.
Tu as tué notre amour,
De même que ma confiance.
Je te quitte pour toujours,
Tu as signé ta sentence.
Alors que j’étais prête,
A toujours te croire.
De par ton mensonge,
Maintenant le doute me ronge !
Tu as ébranlé mon existence,
En me mentant avec insolence.
En toi j’avais une grande confiance,
Mais maintenant,
Tu as semé en moi la méfiance.
Plus rien n’est plus comme avant,
J’avais confiance en toi pourtant...
Désormais je parle à un inconnu,
Je te regarde, je ne te reconnais plus.
Même quand tu dis la vérité,
Je doute souvent de ta fiabilité.
Tu sais pourtant que je suis entière,
Je réagis au mensonge par la colère.
Tu connais également ma sincérité,
Je ne supporterai pas ta duplicité.
Tes mensonges t'ont perdu,
Pour moi tu n’existes plus.
Je regrette notre beau paradis que tu as détruit,
Tu l’as sacrifié à de minables mensonges.
Pas une seconde ne t’est venu à l’esprit,
Que mentir tue l’amour et que le doute ronge.
Tu étais tout pour moi, je t’adorais...
Tu as choisi de mentir, tu m’as trompée...
Tu m’as blessée, je ne peux plus t’aimer...
Je ne t’estime même plus, je préfère te quitter.
Tu as tué notre amour,
De même que ma confiance.
Je te quitte pour toujours,
Tu as signé ta sentence.
Dimanche 20 mai 2012 à 23:49
Le mensonge,
La trahison,
Je les connais.
C'est comme une blessure,
Qui chaque jour renait.
Un fléau qui empoisonne les gens parfait,
Alors aujourd'hui,
Maintenant,
Disons-nous halte au secret.
Tout le monde à un jour,
Un mensonge à avoué.
Puisque la vie,
Parfois nous a révéler des moments cachés.
Des mots qui parfois nous ont blesser.
Par conséquent,
Arrêtons de mentir et de dissimuler la vérité,
Car un jour notre confiance en ce jour disparait.
Cela vous effraie,
Vous avez raison le monde n'est pas parfait.
Mais si seulement,
Nous ouvrions nos coeurs enchaînés.
Nous pourrions voir alors,
Une flamme argentée.
Cette flamme,
C'est celle de la tendresse,
Qui en nous disparaît.
Car la confiance les uns en les autres,
C'est petit à petit effiloché.
Croyez en la confiance,
Ne cachez jamais la vérité.
Laissez parler votre coeur,
Pour construire un monde de paix.
La trahison,
Je les connais.
C'est comme une blessure,
Qui chaque jour renait.
Un fléau qui empoisonne les gens parfait,
Alors aujourd'hui,
Maintenant,
Disons-nous halte au secret.
Tout le monde à un jour,
Un mensonge à avoué.
Puisque la vie,
Parfois nous a révéler des moments cachés.
Des mots qui parfois nous ont blesser.
Par conséquent,
Arrêtons de mentir et de dissimuler la vérité,
Car un jour notre confiance en ce jour disparait.
Cela vous effraie,
Vous avez raison le monde n'est pas parfait.
Mais si seulement,
Nous ouvrions nos coeurs enchaînés.
Nous pourrions voir alors,
Une flamme argentée.
Cette flamme,
C'est celle de la tendresse,
Qui en nous disparaît.
Car la confiance les uns en les autres,
C'est petit à petit effiloché.
Croyez en la confiance,
Ne cachez jamais la vérité.
Laissez parler votre coeur,
Pour construire un monde de paix.
Dimanche 20 mai 2012 à 23:48
Par tes mensonges,
Je n’ai plus goût à rien.
J'ai espéré chaque jour,
De meilleurs lendemains.
Tu disais que tu m’aimais,
Que j’étais tout pour toi.
Et que toujours je pourrais compter sur toi
Et bla bla bla…
Comment veux- tu que je te croie ?
Après tout ça ! Comment ? dis moi !
Et ce n’est pas la première fois !
Ou bien peut être ai-je mérité cela ?
A chacune de tes promesses,
Doit on doit en arriver là ?
Et moi, stupide que je suis,
Je t’ai cru à chaque fois…
Et pourtant, les faits, les résultats étaient bien là.
Je n’ai eu que mensonge, mépris et ignorance.
Bien trop aveugle pour déceler ton indifférence,
Et tout le plaisir que tu prends à te moquer de moi !
Je continue le cœur brisé, fatigué et écoeuré…
Résigné à tout et à ton absence si lourde à porter !
Je me sens trahi, trompé, desservi et abandonné…
Avec souvent l’envie de m’arrêter, de tout arrêter !
Pourtant et sans relâche je me bats…
Et je me demande encore pourquoi !
Mon cœur est exténué et fatigué d’aimer.
Je n’ai plus confiance en toi, ni en tes regrets.
Tu atteins des sommets.
Et tu continues à monter seule ! Sur le Mont Blanc,
Le Elbrouz et bientôt l’Everest ! Mont après mont,
sans même te retourner…
Alors monte, je n’ai pas cette prétention.
Je suis bien trop harassé par la déception.
Toute cette tristesse qui m'a tant fait souffrir.
Je veux quitter ce gouffre sans fin qui m’aspire…
J’ai tellement cru en toi, tes paroles, ta sincérité...
Mais aucun de tes mots ne comptaient pour toi.
Aussitôt écrits, aussitôt oubliés... Quel triste constat
Toutes ces belles promesses semblaient s’être envolées
J’aurais voulu un peu d’amour…
Pouvoir croire en toi chaque jour…
Mais je sais que je n’en aurai jamais.
Car tu ne m’as jamais vraiment aimé.
Je n’ai plus goût à rien.
J'ai espéré chaque jour,
De meilleurs lendemains.
Tu disais que tu m’aimais,
Que j’étais tout pour toi.
Et que toujours je pourrais compter sur toi
Et bla bla bla…
Comment veux- tu que je te croie ?
Après tout ça ! Comment ? dis moi !
Et ce n’est pas la première fois !
Ou bien peut être ai-je mérité cela ?
A chacune de tes promesses,
Doit on doit en arriver là ?
Et moi, stupide que je suis,
Je t’ai cru à chaque fois…
Et pourtant, les faits, les résultats étaient bien là.
Je n’ai eu que mensonge, mépris et ignorance.
Bien trop aveugle pour déceler ton indifférence,
Et tout le plaisir que tu prends à te moquer de moi !
Je continue le cœur brisé, fatigué et écoeuré…
Résigné à tout et à ton absence si lourde à porter !
Je me sens trahi, trompé, desservi et abandonné…
Avec souvent l’envie de m’arrêter, de tout arrêter !
Pourtant et sans relâche je me bats…
Et je me demande encore pourquoi !
Mon cœur est exténué et fatigué d’aimer.
Je n’ai plus confiance en toi, ni en tes regrets.
Tu atteins des sommets.
Et tu continues à monter seule ! Sur le Mont Blanc,
Le Elbrouz et bientôt l’Everest ! Mont après mont,
sans même te retourner…
Alors monte, je n’ai pas cette prétention.
Je suis bien trop harassé par la déception.
Toute cette tristesse qui m'a tant fait souffrir.
Je veux quitter ce gouffre sans fin qui m’aspire…
J’ai tellement cru en toi, tes paroles, ta sincérité...
Mais aucun de tes mots ne comptaient pour toi.
Aussitôt écrits, aussitôt oubliés... Quel triste constat
Toutes ces belles promesses semblaient s’être envolées
J’aurais voulu un peu d’amour…
Pouvoir croire en toi chaque jour…
Mais je sais que je n’en aurai jamais.
Car tu ne m’as jamais vraiment aimé.
Dimanche 20 mai 2012 à 23:47
J'ai tendu la main,
On me l'a arrachée.
J'ai donné mon coeur,
On me l'a brisé..
J'ai été sincère,
On m'a mentie.
J'ai fait confiance,
on m'a trahie..
J'ai voulu soigner,
On m'a blessée.
J'ai tissé des rêves,
On me les a déchirés..
Alors, je n'ose plus aimer la vie,
De peur qu'on me tue.
On me l'a arrachée.
J'ai donné mon coeur,
On me l'a brisé..
J'ai été sincère,
On m'a mentie.
J'ai fait confiance,
on m'a trahie..
J'ai voulu soigner,
On m'a blessée.
J'ai tissé des rêves,
On me les a déchirés..
Alors, je n'ose plus aimer la vie,
De peur qu'on me tue.