Tu n’as pas besoin, d’être le plus grand ou le plus rapide, d’être le plus intelligent, ou le plus intrépide. Pas besoin d’être le plus beau, le plus vif ou le meilleur. Tu battras tous les records, si tu parles avec ton Cœur.

Samedi 9 juin 2012 à 22:46

Devant la porte sombre,
De la vieille prison.
Des gens dans l'ombre,
Descendent d'un fourgon. 

Soudain la sinistre machine,
Se dresse dans la nuit.
C'est ainsi que la bourreau,
Monte sa guillotine. 

Lentement, sûrement, sans bruit...
Dans un silence profond,
La foule observe ce qu'ils font. 

C'est à ce moment,
Qu'une porte sombre s'ouvre.
Un homme en sort,
Revêtut d'un habit gris. 

Il marche sans but jusqu'à la guillotine,
Sans un regard ni même une parole.
Puis vint l'heure du couperet,
Et tout est finit.

Dimanche 3 juin 2012 à 17:30

Maman,

 

J'ai cherché dans les poèmes,
Comment dire je t'aime.
J'ai trouvé des mots savants
Bien trop longs malheureusement,
Pour mes jeunes années. 

Alors, j'ai cherché ailleurs
Et j'ai trouvé dans mon coeur
Les mots que tu m'as appris
Quand j'étais encore petit. 

Tu ne t'y attendais pas,
Mais ce poème est pour Toi.
J'aimerais te remercier infiniment,
Pour tout ce que tu as fait, Maman. 

Tu sais que je t'aime vraiment,
Et je le pense sincèrement.
Je vais tenter de te le démontrer,
Même si j'ai du mal à l'exprimer. 

Grâce à ce bien modeste poème,
Enfin, je t'affirme que je t'aime.
Si trop souvent, je ne le prouve pas,
Saches que ce sentiment est toujours là.

Dans la vie, quoiqu'il arrivera,
Tu sera ma petite Maman à moi.
Je veux te serrer contre moi,
Comme tu l'a fait pour moi, Déjà.

 

♥♥ Bonne Fête à toutes les Mamans ♥♥

Dimanche 3 juin 2012 à 17:29

Pour l'amour d'un enfant,
Moi, je suis prête à tout !

Tout donner , Tout offrir.
De mes jours , de ma vie.
Juste pour qu'il sourie
Et me tende sa main !

Pour l'amour d'un enfant,
Moi, je suis prête à tout !

Tout défier, Juges et Lois,
Pour lui donner le Droit.
A une enfance, A apprendre.
A avoir une vraie vie.

Pour l'amour d'un enfant,
Moi, je suis prête a tout !

A lui offrir l'amour,
Celui qu'il donnera,
Lorsque viendra le jour,
De le rendre à son tour.

Pour l'amour d'un enfant,
Moi, je suis prête à tout !

Et pendant mes vieux jours,
Je leur donnerais mon coeur.
Une mamie pour toujours,
La mamie du bonheur.

Pour l'amour d'un enfant,
Moi, je suis prête à tout !

Et pour voir un sourire,
Eclairant son visage,
Je ferais s'il le faut :
Bien plus qu'il n'est permis.

Pour l'amour d'un enfant,
Moi, je suis prête à tout !

S'il me fallait souffrir
S'il me fallait mourir
Pour lui je le ferais
Je donnerais ma vie ...

Dimanche 3 juin 2012 à 17:29

Je suis debout au bord de la plage.
Un voilier passe dans la brise du matin et part vers l'océan.
Il est la beauté, il est la vie.
Je le regarde jusqu'à ce qu'il disparaisse à l'horizon.
Quelqu'un à mon coté dit : "Il est parti ! "
Parti ? Vers où ?
Parti de mon regard, c'est tout !
Son mât est toujours aussi haut,
sa coque a toujours la force de porter sa charge humaine.
Sa disparition totale de ma vue est en moi, pas en lui.
Et juste au moment où quelqu'un près de moi dit : "Il est parti ! "
Il y en d'autres qui, le voyant poindre à l'horizon et venir vers eux,
s'exclament avec joie : "Le voilà ! "
C'est ça la mort.

Dimanche 3 juin 2012 à 17:28

Pour tous ceux et celles qui ont perdu un enfant.

Je vous en prie,
Ne me demandez pas si j'ai réussi à le surmonter,
Je ne le surmonterai jamais.

Je vous en prie,
Ne me dites pas qu'il est mieux là où il est maintenant,
Il n'est pas ici auprès de moi.

Je vous en prie,
Ne me dites pas qu'il ne souffre plus,
Je n'ai jamais accepté qu'il ait dût souffrir.

Je vous en prie,
ne me dites pas que vous savez ce que je ressens,
A moins que vous ayez aussi perdu un enfant.

Je vous en prie,
Ne me demandez pas de guérir,
Le deuil n'est pas une maladie,
Dont on peut se débarrasser.

Je vous en prie,
Ne me dites pas :
"Au moins vous l'avez eu pendant tant de temps".
Selon vous, à quel âge votre enfant devrait-il mourir ?

Je vous en prie,
Ne me dites pas :
Que Dieu n'infliges pas plus que ce que l'homme peut supporter.

Je vous en prie,
Dites-moi simplement que vous êtes désolés.

Je vous en prie,
dites-moi simplement que vous vous souvenez de mon enfant,
si vous vous rappelez de lui.

Je vous en prie,
Laissez-moi simplement parler de mon enfant.

Je vous en prie,
Mentionnez le nom de mon enfant.

Je vous en prie,
Laissez-moi simplement pleurer.

Dimanche 3 juin 2012 à 17:27

On ne saurait apprendre la sagesse,
En restant simplement assis,
Au pied d'un sage.

Chacun doit vivre sa propre vie,
Commettre ses propres erreurs,
Connaître soi-même l'extase,
Pour apprendre le vrai sens de l'existence,
Car il est différent chez chaque individu.

Tomber,
Se relever,
Tout recommencer
Dans un contexte différent.

L'expérience.
Et l'apprentissage.
C'est la seule méthode.

Dimanche 3 juin 2012 à 17:26

 Notre peur la plus profonde,
N'est pas d'être incapable de réaliser certaines tâches,
Ou d'être non conformes face aux autres,
Mais bien de se révéler plus puissant,
Et plus fort que ce que nous aurions pu croire possible.

C'est notre lumière,
Et non pas notre obscurité qui nous fait le plus peur.
Jouer petit et se faire petit,
Ne sert pas le monde dans lequel nous vivons.

Il n'y a rien de lumineux,
A se faire petit pour empêcher les autres,
De se sentir insécures ou inférieurs,
En notre présence.

Enfants,
Nous étions tous destinés à briller.
Et cela ne vaut pas pour certaines personnes.
Cela vaut pour tout le monde :
Nous sommes tous destinés à briller.

Lorsque nous laissons notre propre lumière briller,
Nous donnons inconsciemment aux autres,
L'autorisation d'en faire autant.

En étant libéré de nos peurs,
Notre présence libère les autres des leurs.
Notre peur la plus profonde est :
D'être puissant au-delà de toute mesure.

Dimanche 3 juin 2012 à 17:25

 Chaque jour la vie vous offre une page blanche,
Dans le livre de votre existence.
Votre passé est déjà écrit,
Vous ne pouvez le changer.

Dans ses pages vous retrouverez votre histoire,
Quelques pages sont coloriées,
D’autre sont plus sombres,
De beaux souvenirs des temps heureux,
Ou des pages que vous désirez arracher à tout jamais…

Aujourd’hui vous avez l’opportunité d’écrire une nouvelle page.
C’est à vous seul(e),
d’en choisir les couleurs,
même dans les adversités,
Vous pouvez ajouter des rayons de sérénité,
Pour les changer en une belle expérience.

Aujourd’hui…
Comment écrirez-vous votre journée ?

Tout dépend de votre optimisme,
Et de votre volonté de transformer la page d’aujourd’hui,
qui fera partie des souvenirs de demain…
Une page qui peut-être sera thésaurisée dans vos beaux souvenirs…

Si l’on vous révèle,
Qu’il vous reste quelques temps à vivre !!
Que feriez vous ?
Sans doute :
Vous feriez la paix avec Dieu,
Et avec ceux qui vous entourent.
Vous apprécieriez les rayons dorés du soleil,
La brise douce, l’amour et l’affection de certaines personnes,
Et les nombreuses bénédictions que le Seigneur nous donne,
Que nous considérons, parfois comme acquis.

Appréciez ce jour nouveau !
Rappelez-vous de toutes les bonnes choses de votre vie,
Vivez chaque heure avec acclamation,
En lui donnant votre meilleur.

Ne faites pas du mal à d’autres,
Et soyez heureux d’être vivant,
Et capable de donner un sourire,
et offrir une main aidante….

Il n’est jamais trop tard,
Pour changer le cours,
Commencer à nouveau :
En écrivant de nouvelles pages fraîches de bonheur et de paix,
Dans le livre de votre vie !

Remerciez Dieu de son cadeau d’Aujourd’hui,
Pour l’opportunité de transformer ce jour,
En une belle nouvelle page ,
Dans le livre de votre existence.

Souvenez-vous que malgré les malheurs,
Les problèmes et les difficultés,
C’est à vous de décider comment vivre le présent…
comme si c’était votre premier jour,
Comme si c’était le dernier…
Le seul jour dans le livre de votre vie !

Dimanche 3 juin 2012 à 17:24

J'aime appuyer ma main,
Sur le tronc d'un arbre,
Devant lequel je passe.

Non pour m'assurer de l'existence de l'arbre,
Dont je ne doute pas
Mais de la mienne.

Dimanche 3 juin 2012 à 17:24

 Libérez-vous de vos vieilles colères,
Des rancunes...
Des regrets et des ressentiments du passé.

Le passé ne vous a-t-il pas déjà,
Fait suffisamment souffrir ?
Devez-vous encore :
Continuer à le porter sur vos épaules ?

Laissez le sac de cailloux au bord de la route,
Et continuez votre chemin,
Allégé de ce fardeau !!!

Lorsque vous voyagerez léger et soulagé,
Vous aurez alors à votre disposition,
Davantage d'énergie pour que votre vie,
Soit meilleure et plus conforme à vos souhaits.

On n'est pas responsable de ce qu'on nous a fait,
Mais on est responsable de ce qu'on fait,
Avec ce qu'on nous a fait.

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