Tu n’as pas besoin, d’être le plus grand ou le plus rapide, d’être le plus intelligent, ou le plus intrépide. Pas besoin d’être le plus beau, le plus vif ou le meilleur. Tu battras tous les records, si tu parles avec ton Cœur.

Dimanche 20 mai 2012 à 23:14

 Toi, que je considérais comme mon maître,
Toi, que j'aimais encore plus que mon être,
Hier, tu as pris ma laisse et tu m'as dis...
''Viens... on va se promener...
Viens mon chien''.

En voiture, on a roulé longtemps,
Si longtemps que j'ai cru,
Que cela duré une éternité.
Malgré tout,
J'ai bien vu à ton regard.
Tu essayais d'éviter le mien,
Tu n'osais pas me regarder dans les yeux.
Que se passe-il, bon dieu ???
Où allons nous ?

Quand enfin, on arrive.
Tu a ouvert la porte de la voiture.
La, je suis descendu,
Mais toi,
Toi tu es reparti,
Sans moi.....

Je cours après la voiture,
Je ne comprends pas ???
M'as tu oublié ???
Pourquoi me laisses tu là ???

Puis enfin vint le moment,
Ou tu me sème.
Pourquoi tu pars seul ???
Alors que Moi je t'aime...

Je m'assieds sur le béton brûlant,
Tu vas revenir me chercher,
Je le sais, et je t'attends.
Mais les jours passent,
Et moi, je trépasse.

Tu me manques mon maître adoré,
Jamais je ne cesserai de t'aimer.
Je pose mon museau sur le sol,
Qui est pour moi aussi chaud,
Que le sable du désert.

J'ai faim, j'ai soif, j'en ai marre de vivre.
Sans toi, je préfère mourir....
Je ferme les yeux,
Et je sens mon âme,
Qui s'envole doucement vers d'autres cieux.

Mon maître,
C'est à toi et à ton doux rire,
Que j'ai repensé juste avant de mourir,
Juste avant de partir.
Saches que jamais je ne t'oublierais,
Même si tu m'a abandonné.

Dimanche 20 mai 2012 à 23:05

 Comment espérer combler cette absence
Comment étouffer cet affreux silence
Comment compenser ta non présence
Comment accepter cette terrible distance

Pourquoi subir encore et encore cette absence
Pourquoi devoir écouter toujours ce silence
Pourquoi ne plus pouvoir sentir ta présence
Pourquoi, à tout jamais, se creuse la distance

Que faire face à cette incommensurable absence
Que faire sinon, hélas, souffrir en silence
Que faire pour garder l'image de ta présence
Que faire pour espérer effacer la distance

Vivre, exister, malgré la douleur de ton absence
Vivre en essayant de combler ce lourd silence
Vivre avec au cœur le souvenir vivant de ta présence
Vivre car l'amour fait fi à jamais de la distance.

Espérons pouvoir franchir le gouffre de ton absence
Espérons surmonter les hurlements de ton silence
Espérons qu'aux cieux nous serons de nouveau en présence
Espérons qu'un jour à jamais sera effacée la distance

Dimanche 20 mai 2012 à 23:03

Mon cœur pris en étau
Se promène en vaisseau,
Tentant d’imiter Bouddha
Mon cœur s’emplit d’amour et de toi,
Toi qui respectes les lois
Qui enrichissent ta foi,

Si tu fais confiance à ta douceur
Tu aimeras les autres comme des frères et des sœurs,
Faisant taire les milliards de pleurs
Qui résonnent comme un écho de terreur,

Que tu lises la Bible, la Thora ou le Coran
L’important c’est qu’en l’amour tu crois vraiment,
Et même si seul l’amour est ton fil directeur,
Tu seras un grand architecte de nos bonheurs.

Dimanche 20 mai 2012 à 22:49

J’ai défait les lacets de ton coeur
Pour capturer avec délicatesse
La flamme qui fait chavirer mon coeur.
J’ai défait la couture de tes lèvres
Pour envelopper tes mots
Dans une soie parfumée.

J’ai cousu les plaies béantes de ton coeur
Pour saupoudré ton corps de ma présence
Et j’ai façonné ton être
Pour y bâtir le temple de notre AMOUR.
Rien ne t’enlèvera à moi
Tu es cette partie de moi
Qu’aucun Roi ne convoitera
Tu es cette partie de moi
Qui veut croire en toi.

Dimanche 20 mai 2012 à 22:44

Mon coeur clos de souffrance,
Ne peut que mourir au souffle de l’oubli.
Il ne reste qu’une lueur dans tes yeux qui te consume,
Pourtant tout en toi résonne d’adieux.

Le temps ne s’est pas réfugié,
Dans mes bras pour m’épargner,
Il m’a giflé, embrasé, consumé, submergé,
Comme si les rafales du vent l’avait conduit jusqu’à moi.

Je t’aime,
Ces mots me condamne,
Dans l’immensité d’une solitude qui te délaisse,
Pour emprisonner en secret,
les coeurs exaltés de deux êtres épargnés.

Où faudra t-il que je le conduise ?
Mes forces s’amenuisent,
A mesure que le temps s’étiole,
Et je n’ai d’autres regrets,
Que d’admirer l’aurore sur ton visage.

Adieu !
Mon bien aimé, ma source vive.
Les fleurs seront fanées à ton réveil,
Et les ponts engloutis,
Cela voudra dire que toi et moi c’est fini dans l’éternité.

L’espoir balayera mon dernier baiser,
Pour le déposer langoureusement sur tes lèvres encore closes,
Alors tu saura, sans peur et sans joie, que tu es une partie de moi.

Dimanche 20 mai 2012 à 22:40

J’aimerais être une écharpe d’amour
Pour te protéger contre les mauvais jours
J’aimerais être le vent
Pour te siffloter des mots doux
Mais plus que tout j’aimerais être moi-même
Pour t’aimer comme on ne t’a jamais aimé.

Dimanche 20 mai 2012 à 22:26

Je t'ai admiré, écouté....
Je t'ai envoyé,
Pleins de courriers,
Avec que des beaux mots.

Chaque matin,
J'ai droit à un câlin,
De mon beau valentin,
Car voyez-vous :
C'est vraiment un coquin.

Tu fais mon bonheur,
Car sans toi je pleurs.
Je ne vis pas dans le malheur,
Je vis dans les fleurs.

Je vis l'amour chaque jour,
Car chaque jour pour moi
N'est fait qu'amour,
Puisque tu es là.

Dimanche 20 mai 2012 à 22:24

Tu es entré dans ma vie,
Comme un rayon de soleil.
M'apportant chaque jour,
Toute la douceur que j'espérais.

Tu as déposé à mes pieds,
Le monde et ses merveilles.
Mais la chose la plus importante,
Tu m'a permis de me sentir aimée.

Comment expliquer ce doux sentiment,
Qui nous empêche de dormir,
Quand la nuit vint.

Cette sensation qui nous emporte,
Nous gardes éveillé jusqu'au petit matin.
Car tu as vêtu mon âme,
Des plus belles mélodies.
Dont j'entends encore leurs notes languissantes,

En effleurant mes lèvres,
Tu m'as donné la vie,
Et tu as ainsi crée :
Une symphonie envoûtante.

Dimanche 20 mai 2012 à 22:22

L'amour est facétieux,
Même un peu malicieux,
Quand de ces flèches tendres,
Il vient nous surprendre.

Il distille en douceur,
Un parfum de bonheur,
Emanant des fragances,
Aux suaves sentences.

Elles nous font prisonniers,
Pour la vie, des années,
De la plus belle histoire,
A laquelle on veux croire.

Voyageurs en partance,
Destination Toujours,
Pensez à votre chance,
Et remerciez l'amour.

Dimanche 20 mai 2012 à 22:13

 Tout a commencé,
Quand nos regards se sont croisés.
Tu as renversé mon coeur,
Tu l'a fait chavirer.
Un vent d'amour,
m'a fait perdre la tête,
Notre histoire est née,
Pour ne pas qu'elle s'arrête.
Notre amour grandit,
De jour en jour.
Je te laisse entrer,
et ferme mon coeur à double tour.

Tout devient beau et merveilleux,
Quand je vais me noyer,
Au large de te yeux.
Des sentiments encore ignorés se sont crées,
Il faut les conserver,
Et ne jamais les briser.
Dans tes bras je pars m'envoler,
Dans un monde doux et sucré.

La flamme de tes yeux s'est allumé,
Le soir ou nos lèvres se sont touchées.
Aujourd'hui le destin nous appartient
A nous seul de savoir prendre le chemin.

Mon amour pour toi,
Est le plus grand,
Je n'ai aucun doute,
Sur nos sentiments.

Je t'aime

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