Tu n’as pas besoin, d’être le plus grand ou le plus rapide, d’être le plus intelligent, ou le plus intrépide. Pas besoin d’être le plus beau, le plus vif ou le meilleur. Tu battras tous les records, si tu parles avec ton Cœur.

Lundi 2 juillet 2012 à 21:05

J'avais rêvé d'un amour
Un amour qui ne me jouerait pas de tour
Un amour merveilleux
Qui se construit à deux

J'avais rêvé de bonheur
Au bonheur que mon coeur
N'écoute plus sa peur
Pour découvrir enfin cette lueur
Qui chaque heure
Grandit dans mon coeur

J'avais rêvé de cet homme
À cet homme qui comprenne
Toutes mes peines
Et effacent toutes mes haines

J'avais rêvé de mon passé
Mon passé que je devais effacer
Afin de pouvoir goûter
À ce bonheur tellement mérité

Mais un beau jour
Mes rêves se sont effacés pour toujours
Par un manque d'amour
Je perdais
À tout jamais
L'homme que j'aimais
 

Lundi 2 juillet 2012 à 21:04

 
Quel heure, il pouvait bien être,
Je ne m'en souviens plus !
J'étais assise sur un grosse pierre grise
Tout près de la rivière,
J'écoutais,
Un peu hébétée,
Le chant de l'eau qui coule,
Qui a coulée,
Qui coulera encore lorsque je partirai.

Je regardais,
Les yeux un peu vague le bleu du ciel,
Puis mon regard s'attardait aux vert des arbres
Et revenait encore à la pureté du ciel.

Tout à coup
Un joli papillon vint danser,
Bleu je crois, rien d'extraordinaire,
Mais il voletait à cinq ou six pieds,
Au dessus de ma tête.
Il zizzaggait,
En prenant soin de rester dans mon champs de vision
Quant tout à coup,
Le bruit d'un battement d'ail associé à un claquement de bec.
Le petit papillon qui réussit à s'échapper,
Fut pris bien malgré lui,
Dans un second claquement de bec
C'est ainsi que le papillon n'existait plus...
L'oiseau a passé son chemin,
A la recherche, déjà, d'un autre insecte...

A nouveau
Le bruit de la rivière parvint à mes oreilles...
Bruissement d'éternité !!!!
Mon regard tangua un moment,
Vers cette rivière jusqu'au point de ciel bleu,
Ou voletait l'instant d'avant un joli petit papillon.

Il était :
Sûrement à l'heure ou le vent tombe,
Ou l'air est le plus calme.
Hébétée, je l'étais un peu plus,
Malgré tout cela,
J'écoutais le bruit de la rivière,
Le chant de l'eau qui coule,
Qui a coulé et qui coulera.

Dimanche 17 juin 2012 à 0:13

Papa,

Aujourd'hui c'est ta fête,
Alors je saisie cette occasion,
Pour t'écrire ses quelques mots,
Qui reposent depuis longtemps,
Au fond de mon coeur.

Même si je ne te l'ai pas dit souvent,
Tu es pour moi,
Quelqu'un de FORMIDABLE !!!!!
Et de GRAND !!!!

Papa,

Que nous soyons,
Semblable ou différent,
Cela importe peu.
Car à jamais tu resteras,
Mon petit Papounet.

Etre père ! c'est quoi :
C'est donner tout son amour,
Et sa protection à ses enfants.
C'est les aimez du tréfond de son être,
Dans les bons et les mauvais moments.
Tout cela tu nous le montre,
Tous les jours que dieu fait.

Par conséquent,
Du fond de nos coeurs.
Nous te souhaitons,
Ainsi qu'à tous les autres papas du monde

Une Bonne Fête !!!!!

Lundi 11 juin 2012 à 15:49

L'amour,
C'est accepter de partager son coeur,
C'est regarder vers l'avant,
C'est savoir épauler l'autre,

L'amour,
Ce n'est ne pas juger l'autre,
C'est pardonner, se respecter et se tenir les mains.
C'est se dire qu'on s'aime les uns et les autres.
Car rien n'est plus beau que l'amour vrai et pur.

L'amour,
C'est aimer sans voir les défauts,
C’est accepter les différentes cultures,
Et tolérer les religions différentes,
Car aimer c'est :
C'est comprendre la personne qui est en face de vous
Sans la juger.
Sinon, mieux vaut rester seul !!!!

L'amour,
C'est une chose rare.
C'est mieux quand il est partagé.
Il faut se donner à fond.
Etre au petit soin pour l'autre.
S'est ce remettre en question,
Et surtout écouter l'autre,
Car le dialogue est vital.
Puisque ce dialogue permet,
D'entretenir la flamme.

L'amour est un feu,
Qui demande d'être entretenue et nourri,
Pour vivre éternellement.
Il y as plein de petite chose,
Des chose toutes simples et gratuites,
Que nous pouvons donner généreusement à l'être aimé,
Afin d'entretenir la passion, la tendresse et les sentiments.

Ces petites choses :
C'est un sourire, un mot, une petite phrase.
C'est je t'aime mon coeur, une balade main dans la main.
C'est un baiser, un câlin etc...
Par conséquent :
Nourrisez chaque jour vôtre amour,
Comme si c'étais le premier jour.
Dite le haut et fort avec tendresse et passion,
Et surtout alimentez la flamme qui vous habite.

Dimanche 3 juin 2012 à 17:30

Maman,

 

J'ai cherché dans les poèmes,
Comment dire je t'aime.
J'ai trouvé des mots savants
Bien trop longs malheureusement,
Pour mes jeunes années. 

Alors, j'ai cherché ailleurs
Et j'ai trouvé dans mon coeur
Les mots que tu m'as appris
Quand j'étais encore petit. 

Tu ne t'y attendais pas,
Mais ce poème est pour Toi.
J'aimerais te remercier infiniment,
Pour tout ce que tu as fait, Maman. 

Tu sais que je t'aime vraiment,
Et je le pense sincèrement.
Je vais tenter de te le démontrer,
Même si j'ai du mal à l'exprimer. 

Grâce à ce bien modeste poème,
Enfin, je t'affirme que je t'aime.
Si trop souvent, je ne le prouve pas,
Saches que ce sentiment est toujours là.

Dans la vie, quoiqu'il arrivera,
Tu sera ma petite Maman à moi.
Je veux te serrer contre moi,
Comme tu l'a fait pour moi, Déjà.

 

♥♥ Bonne Fête à toutes les Mamans ♥♥

Dimanche 3 juin 2012 à 17:29

Pour l'amour d'un enfant,
Moi, je suis prête à tout !

Tout donner , Tout offrir.
De mes jours , de ma vie.
Juste pour qu'il sourie
Et me tende sa main !

Pour l'amour d'un enfant,
Moi, je suis prête à tout !

Tout défier, Juges et Lois,
Pour lui donner le Droit.
A une enfance, A apprendre.
A avoir une vraie vie.

Pour l'amour d'un enfant,
Moi, je suis prête a tout !

A lui offrir l'amour,
Celui qu'il donnera,
Lorsque viendra le jour,
De le rendre à son tour.

Pour l'amour d'un enfant,
Moi, je suis prête à tout !

Et pendant mes vieux jours,
Je leur donnerais mon coeur.
Une mamie pour toujours,
La mamie du bonheur.

Pour l'amour d'un enfant,
Moi, je suis prête à tout !

Et pour voir un sourire,
Eclairant son visage,
Je ferais s'il le faut :
Bien plus qu'il n'est permis.

Pour l'amour d'un enfant,
Moi, je suis prête à tout !

S'il me fallait souffrir
S'il me fallait mourir
Pour lui je le ferais
Je donnerais ma vie ...

Mercredi 30 mai 2012 à 22:13

L’amour n’est pas une habitude,
Un compromis, ou une dette.
Il n’est pas ce qu'on nous enseignent,
Dans les chansons romantiques.

L’amour est,
Sans définitions.
Aime,
Et ne pose pas trop de questions,
Aime simplement.

Très souvent,
Au cours de notre existence,
Nous voyons nos rêves déçus,
Et nos désirs frustrés,
Mais il faut continuer à rêver,
Sinon notre âme meurt.

Samedi 26 mai 2012 à 21:57

Voudrais tu être le poème de mon corps
Y écrire de tes doigts les plus belles poésies
Y dessiner par tes caresses les plus belles des symphonies
Voudrais tu être le poète de mon coeur
Y insuffler une note de bonheur
T'y introduire avec tant de douceur
Voudrais tu être mon soleil
et me caresser de tes rayons au réveil
Voudrais tu être ne serait-ce qu'une fois
Simplement là tout prés de moi
Voudrais tu par la suite
Me revoir ensuite
Voudrions nous tout simplement nous aimer
Sans arrière pensée, être là l'un pour l'autre
Ecrire ensemble le plus des poèmes
Qui se terminerait par un JE T'AIME

Dimanche 20 mai 2012 à 23:44

 J’aurais pu invoquer la magie de tes mots,
Le contour de tes lèvres ou le creux de tes reins,
La beauté de tes yeux, le soyeux de ta peau,
Je me suis inspirée de la douceur des mains.

Je me souviens jadis, déjà elles m’enchantaient,
Elles semblaient si belles et pourtant si modestes,
J’inventais des folies, mais je me contentais
D’effleurer leur contour par de timides gestes.

Timides et douces, elles s’approchaient tout bas,
Je ne suis pas surprise du bien qu’elles m’ont fait.
Elles remplaçaient des mots que l’on ne dira pas,
En caressant ma peau avec des doigts de fée.

Elles ne sont pas pianistes et ne guérissent point,
Dans leur simplicité elles n’en sont que plus belles,
Mets ta main dans la mienne, compose nos besoins,
Mélange nos secrets en accord avec elles.

Je demande ta main au dieu de l’univers,
Avec toute la foi que ma paume détient.
Un baiser sur ta bouche et mes mains en prière,
Pour que tu aies toujours ma vie entre tes mains.

Dimanche 20 mai 2012 à 23:30

 Les plaisirs de l'union,
Sont grands comme la mer,
Mais les tourments de la séparation,
Sont immenses comme l'océan.

Aucune séparation n'est simple,
Et ne consiste à simplement tourner la page.
Car des êtres anciens résonnent en vous,
Longtemps après leur départ.

Ils reviennent vous hanter,
Pour vous tirer par la manche.
Ils te serinent :
Si tu pars, je te suivrai...
Je ne pourrai pas supporter l'idée de t'avoir laissée partir....

Tant de pourquoi sans réponse,
Malgré tout,
On ne manque jamais d'expressions,
Pour peindre la douleur ou l'absence,
La mort ou a séparation.

Juste avant d'arriver à ce point de rupture,
Où tout va être dit, le bon et le mauvais,
Les lamentations se mêlant aux injures,
Les plus beaux souvenirs se muant en regrets.

Juste avant de franchir la frêle frontière,
Séparant la rancoeur des anciens amours,
Recouvrant nos serments de sombre poussière,
Nier cette folie de nos tous premiers jours.

Juste avant d'envoyer dans d'obscures ténèbres,
Le brillant de nos yeux, la chaleur de nos corps,
La rauque mélopée devenue chant funèbre,
Amertume et venin crachés sans trop d'efforts.

N'oublie pas cet enfant qui fut l'oeuvre suprême,
Qui n'a rien demandé et qui est innocent,
Qui appartient au temps où nous disions "je t'aime",
Qui n'a pas à subir la haine des parents.

Allons, regarde-moi,
Et taisons nos blessures.
Puisque tout doit finir,
Que ce soit dignement.
Laissons lui découvrir,
Cette belle aventure.
Que peut être la vie...
Parfois...
De temps en temps...

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